Certes, ce n'est pas du cinéma qui va amener à une grande réflexion politique sur le sens de la guerre, ou sur les grands débats historiques de 39-45.
Mais cette septième compagnie a ce petit côté charmant des films sur la guerre prise à la légère.
Pas mal de clichés sur les tir-au-flancs de l'armée, qui prennent du bon temps alors que les camarades sont prisonniers des allemands et sur les chefs un peu butés. Mais on retiendra la scène de la rencontre allemande en char d'assaut, où, il faut l'avouer, il est difficile de ne pas sourire en voyant Jean Lefèbvre essayer de parler teuton.
Bien que je sois une anti-fan de Jean Lefèbvre et de son côté niais et mou, il passa pas mal dans ce premier volet de la saga "Septième compagnie" et le trio "églantine" forme une équipe plutôt sympathique.
Rien de bien prétentieux dans ce film donc, mais un moment agréable...