7
Dernier coup !
Nonobstant 5 dernières minutes un peu « WTF faut que ça finisse », j'ai éprouvé un vrai plaisir tout au long du flim. Humour grinçant et noir distillé avec justesse, l'évolution limite « crypto-gay...
le 4 oct. 2010
5 j'aime
2
Chien perdu avec collier
La chronique d'une servitude volontaire est souvent un point de départ réjouissant pour un film.
Il faut dire que Christophe Lambert excelle dans le rôle du chien perdu, de l'orphelin aboulique qui trouve en Noiret un père de substitution, un maître à penser ( pour autant que le personnage en soit capable), voire un dieu à vénérer.
Noiret-Max exerce une fascination intense sur Jérémie, et pas seulement. On est bluffé par la maitrise de l'acteur qui campe ce tueur à gages à la retraite avec une économie de moyens qui force l'admiration.
Noiret, ce génie non remplacé, hélas !
Les différentes péripéties liées aux contrats de meurtres, avec liquidations, chantages, opérations rondement menées, ne servent que de prétexte au développement de cette relation plus que filiale.
6
Écrit par
Créée
le 25 juin 2023
Critique lue 10 fois
D'autres avis sur Max et Jérémie
7
Critique de Max et Jérémie par XipeTotec
6,75/10 Prouesse de Claire Devers qui fait exister un peu Christophe Lambert à côté des monstres sacrés que sont Philippe Noiret, fabuleux tueur à gages retraité, et Jean-Pierre Marielle, en pensant...
Par
le 11 déc. 2020
1 j'aime
6
Critique de Max et Jérémie par Caine78
À la frontière entre drame et comédie (schéma osé mais très casse-gueule), Claire Devers réussit plutôt bien son coup avec « Max et Jérémie », polar atypique pas totalement abouti mais plutôt...
Par
le 13 avr. 2018
1 j'aime
Du même critique
6
La jeunesse de Boëldieu
Certes il y a dans ce film d'Abel Gance toutes les caractéristiques de l'œuvre destinée à l'édification des populations: "bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée", "labor omnia vincit improbus",...
le 14 sept. 2019
5 j'aime
1
Snob flatulence
L'onanisme cinématographique ne date, hélas, pas d'hier. On trouve dans cette longue logorrhée un exemple de choix. Outre la réalisation pompeuse, le jeu des acteurs est totalement au diapason de...
le 18 avr. 2020
4 j'aime
5
L'amicale des ocarinistes de Bagnolet
Il serait facile de resservir le mot d'esprit d' Henri Jeanson (qui n'en manquait pas) au sujet de ce film :"Clouzot a fait Kafka dans sa culotte." En effet il y a du Kafkaïen dans cette histoire un...
le 12 sept. 2019
4 j'aime
