Bourgeois-land New York

Un film et un Coppola qui se regarde un peu beaucoup lui même dans le miroir et qui se tire peut-être une balle dans le pied ? Opposition de la "bourgeoisie cultivée" contre la "bourgeoisie aculturé" New-Yorkaise. ça retse une belle caricature du milieu bourgeois, du système et de l'entre soi des plus hautes sphères de la société américaine. Les élus du peuple( le maire) ne servent à rien dans les sociétés occidentales, ce sont les ultras-riches qui gouvernent. Ce qui est remarquablement bien fait dans ce film, et bienvenu, c'est qu'on voit que les bourgeois des classes dominates sont tous membre de la même famille et se reproduisent e,tre eux, dans leur cercle fermé. La classe médiatique représentée par la femme folle hystérique, l'ultra Riche et son héritier dégénéré, le bourgeois cultivé tiraillé et le maire complètement à la ramasse se reproduisent entre eux, ce qui est la réalité de toute les sociétés occidentales. Exactement comme en France avec Niel qui épouse la fille de Bernard Arnaud... Macron ami de Niel... Brigitte Macron ancienne prof des enfants de B.Arnaud... Mais contrairement aux Etats-Unis qui savent plus ou moins tout ça, en France on veut encore nous faire croire le contraire et qu'on vit en démocratie... lol !

Là ou ça devient compliqué c'est niveau mise en scène ça semble trop tout le temps, trop d'effets numériques, trop de clichés, le film aurait gagné à être plus subtil dans tout ce qu'il propose que ce soit esthétique ou dans la mise en scène, ou alors c'est un parti-pris que je ne comprends pas. Est-ce que Coppola se voit au travers d'Adam Driver ? Si c'est le cas c'est tout son message est grotesque et très prétentieux... Pareil pour les acteurs c'est surjoué, et l'ensemble devient indigeste même si j'ai quand même été embarqué sans avoir envie d'arrêter le visonnage du film.