Noirceur, sensualité, envoûtement
Noir, envoûtant bref Fincher-isée! Voilà ce que je dirai de cette version par rapport à la première adaptation qui avait été faîte par Niels Arden Oplev (Dead man down, We shall overcome) en 2009. L'ambiance sombre, mystérieuse et oppressante est ici parfaitement retranscrite, et ce, dès le générique d'ouverture. Parlons-en justement, parce qu'il mérite qu'on s'y attarde quelque peu. Original, complètement enivrant, sensuel et noir, cruel et beau. Voilà un générique d'ouverture digne de ce nom qui nous plonge directement dans l'environnement glauque du film. Ensuite, c'est l'ambiance sonore qui donne à l'ensemble son côté intriguant et dérangeant. C'est vraiment le point le plus important pour ce qui est de différencier les deux versions de l'histoire. [•••]
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