Comment peut-on oser affirmer dénoncer le racisme en utilisant les pires clichés ? Il faut reconnaître que cela avait flirté avec cette limite lors des deux premiers films, la dépassant même allègrement, mais pour toujours plus ou moins retomber dans un politiquement correct qui sauvait le tout (même si en étudiant plus en profondeur, on s’apercevait du fond un peu rance des morales).
Ici, le curseur se décale sur les familles des gendres. Et c’est donc ici que le bât blesse, car sous prétexte de dénoncer le racisme, le scénario nous fait rire des différentes ethnies ou races, et non pas rire avec eux.
C’est indigeste au possible.