Objectivement, ce film est mauvais mais qu'importe...
Qu'importe le fait que les effets spéciaux aient mal vieilli (un crocodile grimé en dino, ça n'a pas de prix), qu'un ptérodactyle soit plus facile à vaincre qu'un crabe, que les hommes préhistoriques aient un langage composé de quatre mots (ou sons ? grognements ?), que les hommes des cavernes vivent dans des cabanes en bois sur la plage, qu'un radeau puisse résister à un tsunami, que les scènes de sacrifices soient grotesques, que les moments d'hystérie collective soient risibles, que la cohabitation hommes/dinosaures soit improbable, qu'importe...
Parce que, je l'affirme solennellement (avec la musique et tout) :
"Quand les dinosaures dominaient le monde" rendra quiconque envieux d'un monde peuplé exclusivement de bimbos aux corps huilés, vêtues de bikinis en peau de bête.
Absolument !
Et je crois que la vision de Victoria Vetri allongée dans sa cabane me hantera longtemps.
Oui, longtemps.