La relation entre l’autiste et le frère est brillamment exploitée. On est stupéfait de voir Hoffman, comme un chat, accepter la tendresse des autres sans la comprendre C’est le principal enjeu du film, il est traité avec réalisme, donc forcément touchant.
Quant au reste, c’est décevant. La trame est un peu pâle, on comprend qu’elle n’est là que pour justifier la relation entre les deux hommes. L’interprétation est passable. Mais ce qui m’a le plus choqué, c’est le look de Tom Cruise. Je sais qu’on est dans les années 80, mais y’a des limites.