Une vraie perte de temps

Amy semble avoir une vie parfaite, un bon emploi d'institutrice, une jolie maison et un copain qui l'aime et qui décide de la surprendre avec une demande en mariage. Troublée, elle décide de réfléchir à la réponse mais durant la journée, son amoureux et elle sont victimes d'un sérieux accident de la route et elle se retrouve seule, avec son conjoint amené mystérieusement par ambulance dans un endroit inconnu. Amy cherche sans succès tous les hôpitaux et rencontre un jeune homme avec le même problème, sa soeur a elle aussi disparu. Ensemble, ils découvrent que l'hôpital spécial est en fait un lieu maléfique, habité par des êtres maléfiques qui se nourrissent des patients.

Je me rappelle de de Christine Taylor quand dans ma jeunesse j'avais loué le film NIGHT OF THE DEMONS 2`et puis à la fin du visionnement, j'étais amoureux. 11 ans plus tard, je ma tape ROOM 6, probablement un des pires films que j'ai pu voir dernièrement et je dois le dire, madame Taylor en a perdu depuis le temps. Il faut dire aussi que ce fuck fest de n'importe quoi et d'idées lancées au hasard n'est certainement pas pour la mettre en avantage. L'histoire est hyper confuse et comme dans l'aussi très mauvais VOODOO MOON, on se dit constamment '' Ok pourquoi le monstre vient l'attaquer? '' et ensuite '' Pourquoi il tente de nous faire peur à ce moment précis? '' pour finalement croire que plus tard, on pourra y faire du sens mais non, on doit endurer ce festival de n'importe quoi horrifique, de moments d'horreur qui tendent souvent au ridicule et ce, dirigé en incompétence complète par un certain Michael Hurtz, qui n'a vraiment pas l'air de savoir dans quel sens aller. Toutes les scènes chocs tombent à plat, tous les éléments dramatiques tombent dans l'indiférence totale et le suspense est inexistant. La seule chose pas mal est la scène où le patient ouvre une pièce de rangement pour découvrir les quatre infirmières sexy complètement nue qui peu à peu se mettent à déguster du sang mais pour le reste, c'est un échec total.