A n'en pas douter, cette oeuvre dépeint et nous montre avec brio, le concept de décompensation et du passage vers une psychose aiguë. Tout est très bien traité, que ce soit la photographie, les couleurs, le jeu brillant des actrices, la puissante montée dans l'horreur et la folie (sans sombrer dans le "too much")... néanmoins Rose Glass aurait t elle dû/pu aller encore un peu plus loin, ou rester sur ce fil qui est, somme toute très réaliste, et très intéressant... je me pose la question. Par ailleurs, le festival Géradmer nous sort encore un petit diamant brut, dont le polissage devrait révéler dans les années à venir, tout l'éclat de Rose Glass et Morfydd Clarck! Belle promesse...