J'aime bien ces films qui traitent, certes facilement mais avec une certaines vulgarisation et justesse, la maladie ou les problèmes sociaux.
Ici Alzheimer, la dégénérescence et l'amnésie les tracas du quotidien. Un Bernard Campan bien loin des Inconnus et pourtant tellement touchant.
Une Isabelle Carré (je n'ai jamais apprécié sa carrière en général peu être parce qu'elle manque de charisme, je critique son travail (ou la place que l'on lui donne au cinéma, si ça se trouve elle vaut mieux que ça) et non sa personne) qui m'a laissé pour une fois une agréable surprise de joué parfaitement la femme en pleine dégénérescence cognitive.
Personnellement j'aurai mis une Audrey Tautou ou bien une Isabelle Nanty à sa place.
Mais le film est toujours porté par son acolyte comme pour les émotifs anonymes (heureusement qu'il y a Benoît Poelvoorde)
Savez vous quand est la date de journée mondiale pour la lutte contre Alzheimer?
Non et bien c'est le 21 septembre depuis 7 ans (malheureusement les attentats en 2001 ont fait oubliés cette date
réponse pour la question de l'entête : Aloïs (sans Clark)