Serpico
le 4 oct. 2013
Le journal de l’âne Frank
Serpico est un des seuls Lumet que j'aie eu l'occasion de voir dans ma vie. Je sais, j'ai honte. Mais je me soigne ! Le trouver à petit prix dans un bac DVD tout récemment m'aura donc permis de le...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Quand c'est trop c'est Serpico
Moins prenant que Dog day Afternoon, cette autre collaboration Lumet/Pacino est cependant un très bon brûlot sur la corruption au sein de la police New-Yorkaise. Jamais un pot de vin n'a paru aussi imbuvable.
Une fois encore c'est mister Pacino qui porte le film sur ces épaules campant un personnage droit dans ses bottes, seul contre tous, mais servi par une réalisation qui évite les pièges trop dramatiques. Que l'on soit un modèle de vertu ou un redoutable salop amoral (je penche plutôt de ce côté) on est quasiment obligé d'être admiratif devant ce flic qui perd presque tout au nom de son intégrité.
Un bon film très typé nouvel Hollywood dans sa réal et qui souligne une nouvelle fois le talent de Sydney Lumet à traiter des histoires de façon réaliste et poignante
Une fois encore c'est mister Pacino qui porte le film sur ces épaules campant un personnage droit dans ses bottes, seul contre tous, mais servi par une réalisation qui évite les pièges trop dramatiques. Que l'on soit un modèle de vertu ou un redoutable salop amoral (je penche plutôt de ce côté) on est quasiment obligé d'être admiratif devant ce flic qui perd presque tout au nom de son intégrité.
Un bon film très typé nouvel Hollywood dans sa réal et qui souligne une nouvelle fois le talent de Sydney Lumet à traiter des histoires de façon réaliste et poignante
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le 12 janv. 2012
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