le 22 août 2014
Les injures du temps.
Se souvenir des belles choses : voilà le programme de l’humanité, ou de ce qu’il en reste, dans un 2022 imaginé par les années 70. «People were always lousy, but there was a world, once », assène...
J'ai vu ce film en 1994. Je le montre désomrais à mes infos. J'adore les films de scienc fiction ambiance année 60.
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Créée
le 17 déc. 2017
Critique lue 90 fois
le 22 août 2014
Se souvenir des belles choses : voilà le programme de l’humanité, ou de ce qu’il en reste, dans un 2022 imaginé par les années 70. «People were always lousy, but there was a world, once », assène...
le 22 oct. 2010
Pour un supposé chef d'œuvre, Soylent Green possède à mon goût pas mal de défauts. Des personnages simplistes, une intrigue qui se laisse suivre mais n'emballe jamais vraiment, une morale prout-prout...
8
le 3 août 2017
Richard Fleischer a choisi de placer une intrigue policière classique dans le cadre de la science-fiction, ça permet de creuser en profondeur le sujet adapté de l'excellent roman de Harry Harrison...
10
le 17 déc. 2017
4
le 17 déc. 2017
Voilà un livre qu'on faire lire en première. Plus rien d'actuel, un pensum !
10
le 17 déc. 2017
Que dire face à un tel chef d'oeuvre. Lisez le et vous comprendrez pourquoi le film vient de sortir
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