Jason Bourne VIEUX !

Luc Besson a donné une image d'action héro à Jean Reno avec Léon, à Liam Neeson avec Taken et bientôt pour Kevin Cotsner.

Aujourd'hui je vais vous parler brièvement du film Taken et non du deuxième qui est une suite du premier produit par les USA.

Pierre Morel a été choisi à la réalisation de ce film de 93 minutes sortie en 2008.
Je dois avouer qu'il se laisser regarder et passe à une vitesse phénoménale.

Liam Neeson joue le rôle de Bryan Mills, un papa poule, surprotecteur de sa magnifique fille Kim jouée par la ravissante Maggie Grace.
Ancien agent des service secret pour les états unis, il refuse de laisser sa fille partir pour Paris avec sa meilleure amie.
Ayant des remords et voulant être aux yeux de cette dernière un bon père pour s'excuser de l'absence dut à ses nombreuses missions passée,
il accepte de signer une décharge laissant sa fille non majeure quitté les USA.

Il apprendra qu'à son arrivée, elle et sa meilleure amie ont été kidnappé par des Albanais.
Bryan Mills va donc remuer ciel et terre en France pour l'a retrouver.

"Ce que j’ai en revanche ce sont des compétences très particulières".
"Je les ai acquises au cours d’une longue, très longue carrière et elles feront de moi un véritable cauchemar pour vous…"

Alors oui, le scénario et là encore du made in besson à ses pires heures. Il tient là encore sur un Tampax.
Et encore je suis gentil.
Il a toutefois l'honnêteté de s'intéresser à un sujet tabou : le trafic des jeunes filles en France et sur la prostitution.
Liam Neeson est émotionnellement juste et il fait plaisir à voir casser de la gueule d'autant plus qu'il est non violent.
Les chorégraphies sont extrêmement bien ficelées pour une production française autant que les quelques courses poursuites.

Ce film n'est pourtant pas apprécié par une majorité de cinéphiles, tout comme la majorité des productions de Luc Besson.
Néanmoins il faut savoir que ce dernier est l'un des films français ayant rapporté le plus d'argent dans le monde (USA inclus) sauf en France ...
Luc Besson décidément détesté par la critique française.