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Jack use
... ou pas Tout ceci va être un peu monomaniaque, mais j'en ai besoin, pardonnez-moi. J'ai récemment écrit sur Tintin que l'intention était pour beaucoup dans ma perception d'un film, et d'une oeuvre...
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le 6 nov. 2011
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... ou pas
Tout ceci va être un peu monomaniaque, mais j'en ai besoin, pardonnez-moi.
J'ai récemment écrit sur Tintin que l'intention était pour beaucoup dans ma perception d'un film, et d'une oeuvre au sens plus large.
Tenacious D in the Pick of Destiny en est pour moi une illustration flagrante.
Je n'ai aucun scrupule à attribuer 8 à ce film.
J'ai dans mon assiette exactement ce que j'ai commandé à la carte : un film déjanté dans son ensemble, un bien beau clin d'oeil au Rock dans tout ce qu'il a de varié et décalé, de la bonne zik et de l'humour rarement subtil, souvent efficace.
J'adore Jack Black.
Tenacious D j'aimais le groupe, maintenant j'aime le film.
Logique, c'est leur style étalé partout sur les murs et sur notre écran.
Pseudo-biographie du groupe, pseudo-road movie, scénario minimaliste et gags foireux.
C'est un plaisir auditif et zygomatique qu'il ne faut pas bouder.
Pour paraphraser au bas mot deux autres SensCritiqueurs c'est aussi, mine de rien, DAVE FUCKING GROHL DANS LE ROLE DU DIABLE, FUCK, FUCK, FUCK, et ça ça déchire le string léopard de sa grand-mère avec les dents.
Tout ceci va être un peu monomaniaque, mais j'en ai besoin, pardonnez-moi.
J'ai récemment écrit sur Tintin que l'intention était pour beaucoup dans ma perception d'un film, et d'une oeuvre au sens plus large.
Tenacious D in the Pick of Destiny en est pour moi une illustration flagrante.
Je n'ai aucun scrupule à attribuer 8 à ce film.
J'ai dans mon assiette exactement ce que j'ai commandé à la carte : un film déjanté dans son ensemble, un bien beau clin d'oeil au Rock dans tout ce qu'il a de varié et décalé, de la bonne zik et de l'humour rarement subtil, souvent efficace.
J'adore Jack Black.
Tenacious D j'aimais le groupe, maintenant j'aime le film.
Logique, c'est leur style étalé partout sur les murs et sur notre écran.
Pseudo-biographie du groupe, pseudo-road movie, scénario minimaliste et gags foireux.
C'est un plaisir auditif et zygomatique qu'il ne faut pas bouder.
Pour paraphraser au bas mot deux autres SensCritiqueurs c'est aussi, mine de rien, DAVE FUCKING GROHL DANS LE ROLE DU DIABLE, FUCK, FUCK, FUCK, et ça ça déchire le string léopard de sa grand-mère avec les dents.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Top 'Les 15 premières minutes' et Je n'aime pas les films où ça chante, mais ça j'aime bien
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le 6 nov. 2011
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