le 10 oct. 2024
Elle en pire
Elisabeth Sparkle (Demi Moore) ne fait plus rêver. Son corps se fissure un peu plus chaque jour sur Hollywood Boulevard. Une étoile sur le Walk of Fame qui ressemble désormais aux scènes fanées d'un...
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The substance n’est pas si extraordinaire que ça, cinématographiquement parlant.
Mais après coup, il créé des remous, quant au rapport à soi-même, aux conflits intérieurs mais aussi au regard qu’on porte sur l’autre soi-même qu’on a été plus jeune. Je dirais qu’il parle directement à l’ « organique » de notre humanité.
Comment cohabiter avec son passé, sa gamine intérieure qui est toujours là, et aussi bien sûr sa rage face au regard critique si superficiel d’une grand partie de la gente masculine ?
Par contre toutes les références à Lynch, Kubrick … franchement dommage, ça enlève toute sa personnalité au film.
Créée
le 17 nov. 2024
Critique lue 9 fois
le 10 oct. 2024
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le 6 nov. 2024
Idée maline que d’avoir sélectionné The Substance en compétition à Cannes : on ne pouvait rêver plus bel écrin pour ce film, écrit et réalisé pour l’impact qui aura sur les spectateurs, et la manière...
le 10 nov. 2024
Bon... Eum...On en parle de ce film ?Non mais je veux dire : on en parle SÉRIEUSEMENT de ce film ?Parce que, bon, moi, à la base, il se trouve que je n'en savais strictement rien avant d'aller le...
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