Dans threnody, Dorsky explore ce qui se cache dans l'ombre du réel, comme si sa caméra avait la faculté d'ouvrir les plis. C'est pourquoi la lumière est toujours teintée d'obscurité, et semble nous parvenir qu'à travers de fines couches de matières, comme par des effets de verres, ou de transparence. Le monde retrouve dans un état aqueux sa nostalgie du rêve, et de ses débuts archaïques, dans une unité parfaitement plurielle, où chaque strate du vivant porte en elle l'écho de toutes les autres formes de vie, passées et en devenir.
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Créée
le 20 sept. 2024
Critique lue 17 fois
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Ce livre vous glace les os. Pas parce que c’est triste, ou merveilleusement bien écrit, mais parce que c’est essentiel. C’est le tout petit peu de vie qu’il reste, le tout petit peu d’espoir, le tout...
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le 16 févr. 2020
11 j'aime
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Des images qui se suivent et qui sont commentés; voilà peut-être un être qui nous livre timidement la nature exacte de la mémoire, c'est pourquoi le film fascine. Des séquences se suivent dans une...
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le 2 janv. 2018
7 j'aime
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comme quoi cela ne suffit pas de faire de jolis cadres et de jolies lumières, encore faut-il se positionner, offrir un regard, pour pouvoir incarner le temps qui passe en expérience de vie. car c'est...
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le 18 déc. 2020
5 j'aime
