Dans ce film culte des années 90, Jan de Bont enchaîne les scènes de tornades (et les clichés) comme d'autres enfilent des perles, c'est à dire sans temps mort. Et franchement c'est tant mieux car on s'emmerde un peu entre 2 scènes de destruction massive. Et ce n'est pas le traitement très superficielle des personnages et l'inévitable mais assommante histoire d'amour qui vont venir arranger les choses. Et puis merde, tant pis si les effets spéciaux ont un peu/beaucoup mal viellis, j'ai pris un certain plaisir à rererevoir ce film, le parfait exemple du plaisir coupable.
Pour l'anecdote: 11 décembre 2021: Par un malencontreux hasard, j'ai zappé dès la fin du film sur les chaines d'info pour tomber sur les vraies images celles-ci de destruction aux Etats Unis suite à une incroyable séries de tornades destructrices avec malheureusement de nombreuses victimes.