C’est l’histoire d’un mec piégé dans un truc qu’il est payé pour prévoir pour les autres. A la fin, il comprend que les deux seules bonnes réponses émotionnelles à un quotidien chiant c’est soit se rendre utile un peu, soit la depression. Ce film est un tel classique qu’il a fait d’une obscure fête américaine d’origine néerlandaise une expression idiomatique pour les bidasses en opex dans des trous à rats. Évidemment il n’en a pas été de même pour nous, cause que nous on traduit pas les titres, on les trahit. L’idée initiale de Danny Rubin (c’est le scénariste) c’était l’immortalité. Tout est parti d’une phrase qu’il ressassait : « Bon, c’est l’histoire d’un mec qui vit pour toujours et… » donc qui change jamais. Or, tous les récits au cinéma reposent sur un changement. Comme cette critique bancale que je reviendrai changer le 2 Février prochain. J’espère qu’il fera beau.