Ce documentaire très foisonnant révèle la richesse des artistes féminines de l'époque mais il manque d'un fil conducteur solide et pertinent. J'aurais aimé par exemple qu'il se concentre sur la manière genrée de s'emparer des thèmes artistiques, ou sur les réseaux d'artistes féminines. L'exercice vire au catalogue. Mais il m'a donné envie de découvrir le catalogue de l'exposition dont ce documentaire est tiré, Pionnières, Artistes dans le Paris des Années folles, en espérant qu'il soit plus structuré.
Au passage, voici des cinéastes citées dans ce documentaire : Musidora, Marie-Louise Iribe, Germaine Dulac, Marie Epstein.