Assassin's Creed Unity - PS4 (2014)
7ème épisode de la saga Assassin’s Creed. Cet épisode vous place dans la peau d'Arno Dorian, un jeune Assassin officiant à Paris en pleine Révolution française.
Un jeu qui fait un plouf. Alors que j'attendais d'y jouer avec grande impatience, adorant la période choisie par les développeurs. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que l'histoire prenant place APRES la révolution finalement, et de voir également que le scénario ( qui tient sur un string d'Afida Turner ) ne pose même pas les assassins comme décisifs dans l'Histoire de France!
Quelques personnages célèbre y sont croisés (Bonaparte notamment), mais j'aurais préféré effectuer des missions qui ont du sens à Versailles au temps de Louis XIV ou alors pur régler l'affaire du collier de Marie-Antoinette ou le cabinet noir de Louis XV...
Bref.
Au delà de ça, les multiples bug annoncés lors del a sortie sont tous gommés par la méga MAJ de plusieurs gigas, doncpas de souci. Le personnage court vite et bien, grimpe et descend également avec rapidité.
Les combats ont été modifiés depuis les précédents épisodes, les armes ne sont plus les mêmes etl es esquives non plus, ce qui corse les batailles car le pauvre Arno se retrouve souvent inondé d'ennemis armés avec des pistolets et il prend cher !
Si l'histoire est anecdotique, le keu reste un gros mode de lot ultime avec encore une foultitude de coffres et autres objets à collecter. Chiant mais j'ai tout fait je suis psychomaniquerigidedu je fais le jeu bien...
Gros plus, les tenues, modifiables comme les armes et qui prennent place sur le personnage directement mais les modifs comprennent aussi les couleurs, mode online en coop oblige... Pas fait, et on s'en fout ! Par contre le design des tenues est magnifique !!!
Au final, un jeu certes magnifique concernant la modélisation de Paris et le nombres de citoyens qui peuplent les rues, assez dynamique niveau déplacement et combats, mais très pauvre niveau scénario et contenu concret pour enrichir la mythologie de la saga.
Un jeu donc dispensable, qui pour moi aurait du faire office de trilogie de Louis XIV à Louis XVI, pour explorer en détail une potentielle influence réelle des assassins sur l'Histoire, mais l'histoire des sorties de consoles et de la course au fric en a décidé autrement.