A la suite des excellents Arkham Asylum et Arkham City, Rocksteady prépare cette suite, conclusion d'une trilogie. Entre les deux derniers épisodes, voulant exploiter le filon, Warner crée son propre épisode, prequel aux premiers. Et c'est, finalement, ce qui est le plus dommageable à Arkham Knight. C'est le troisième Batman open world, et le quatrième qui inclut les système de combat "free flow" et les passages d'infiltration "prédateur". Le sentiment de déjà vu arrive très vite, la fatigue s'installe, et ce n'est pas la batmobile, fort sympathique au demeurant, qui va changer la donner. Le jeu est bon dans l'absolu, mais l'épisode peine à renouveler la formule qui a fait son succès.