Certes une vraie déception mais reste le plaisir d'un univers considérablement enrichi

Il m'est très difficile de faire une critique pertinente de Dragon Age II car j'ai adoré le premier, qui est pour moi l'un des meilleurs RPG occidentaux auquel j'ai joué. Peut-être le second (ou troisième) après les Baldur's Gate.

Et presque tout ce qui faisait du premier est un RPG génial disparaît ici ! Il serait donc très facile de s'étendre sur mes multiples déconvenues, outre une petite perte d'identité notamment niveau gameplay, il faut avouer un foutage de gueule concernant le level-design mais j'y reviendrais plus tard. Pour autant, j'ai en réalité trouvé ce jeu agréable à jouer et qu'il ne trahit pas "l'univers" de dragon age mais au contraire l'enrichit considérablement.

Il me semblerait donc malvenu d'écrire une critique négative sur dix pages pour parler en quelques lignes des qualités de celui-ci, la critique ne retranscrirait pas ma véritable expérience du jeu. Je vais donc commencer par justifier le plaisir pris, puis rapidement mentionner les multiples de défauts qui empêchent malgré tout cet opus d'être à la hauteur du chef-d'oeuvre précédent.


Enrichir l'univers de Dragon Age, ou en tout cas le rendre bien plus percutant, c'est probablement le point fort de cet opus. D'un point de vue visuel notamment, on ne peut pas dire que Flemeth était gâtée dans le premier Opus, ici il apparaît dans toute sa splendeur. Réellement impressionnante, elle fascine et son caractère légendaire prend vie ici. Le prologue de Dragon Age II se situe en parallèle du début du premier Opus, outre le clin d’œil évident, il permet de rendre encore plus mystérieux le personnage de Flemeth.
Visuellement elle n'a plus rien à voir, et ce n'est pas la seule, un certain nombre de personnage secondaire se voit complètement relookés ! Notamment Merryl qu'on avait rapidement aperçu dans le prologue Dalatien qui est ici un compagnon à part entière, et je dois avouer trouver très intriguant ce mage de sang aux grands yeux ronds et humides ! Assez amusant ce paradoxe du mignon mage de sang !
Le personnage aussi, si on ne rajoute pas de mod est bien plus limité dans sa personnalisation ! MAIS il faut avouer qu'il est définitivement plus charismatique, même si vous le personnalisez, surtout si vous le personnalisez je dirais. Je trouve le mien visuellement génial.
Et c'était pareil pour Flemeth. En réalité, on voit clairement que dragon age origins avait un petit défaut graphique qui consistait à vouloir rendre les visages plus réalistes, ce qui provoquait de nombreux couacs, notamment des personnages visuellement peu charismatique précédemment comme Flemeth mais aussi bien d'autres. Cool ou réaliste et un peu laid ? il faut choisir, et je choisis personnellement le charisme visuel de Dragon Age 2.
Tout n'est pourtant pas pour le mieux dans le meilleur des mondes, le réalisme voulu par DAO, rencontrait parfois quelques problèmes, mais certains personnages étaient réussis, et leur transposition dans DA 2 est assez foireuse. Alistaire qu'on entraperçoit très rapidement n'est pas vraiment réussi, mais surtout Zevran est complètement raté, et Anders moins bien aussi que dans Awakening. Bon tout ceci reste probablement très subjectif, certains préféreront peut-être le visuel d'Anders maintenant....

Quand est-il de l'évolution des personnages de DAO à DA2, et de nos nouveaux compagnons ?
Anders était un compagnon à part entière dans l'extension Awakening du premier opus, et Justice aussi (un esprit s'incarnant alors dans le cadavre d'un ancien garde des ombres). Si l'esprit de l'immatériel ne m'avait pas fait spécialement bonne impression dans Awakening, j'avais adoré le mage apostat devenu garde des ombres qu'était Anders, caustique, joyeux, indépendant et rebelle mais de manière désinvolte, je trouvais le personnage très réussi.
Ici, il perd beaucoup de son charme ! Pleurnichard, hanté par l'esprit de Justice, il devient obsédé par la cause mage. J'exagère quelque peu son côté agaçant, en réalité, il est pendant une bonne partie du jeu un de mes personnages préférés, mais ce n'est pas un nouveau personnage, on ne peut donc QUE le comparer à ce qu'il était dans Awakening, et on en ressort alors très grandement déçu !
Varrick nouveau personnage, qui conte l'histoire, est lui une véritable bonne surprise, toujours à vous suivre, pas casse-couille pour un sou, c'est un peu le nouvel Oghren mais sans l'aspect cliché paradoxalement très agréable de ce dernier. Varrick a une forte personnalité comme TOUS Les autres personnages, mais son côté dilettante et désinvolte lui permet de ne jamais devenir chiant.
Les autres personnages au contraire sont tous mus par une idéologie très précise ! Ce qui est proprement casse-couille, puisqu'on ne peut alors pas développer sa propre vision sans se faire emmerder par ses compagnons.
Fenris est notamment un personnage très charismatique, malgré son côté légèrement émo, mais qui se révèle dès sa rencontre un fanatique anti-magicien. On se doute rapidement que si l'on prend le parti des mages, il devient rapidement un fun-killer en tant que compagnon ! Avina la garde, ancienne épouse de templier si je ne m'abuse, est aussi une maniaque, qui considère qu'il faut suivre la loi à la lettre et prône l'ordre avant tout. Un compagnon chiant au possible dans tous les cas selon moi ! Anders est donc lui du côté des mages, et enfin point ridicule selon moi l'un de nos compagnon est Merryl une PUTAIN de mage du sang !!!! Tout DAO et même DA2 se passe à combattre directement ou indirectement ces putains de mage du sang, et l'un d'entre eux devient notre compagnon ? il y a pour moi une incompatibilité profonde ! Même moi qui adore les mages apostats, j'étais gêné par la présence d'une mage du sang à mes côtés, moi dont la majeur partie des quêtes consistait à traquer des mages du sang ! Qu'est-ce que cela aurait été si j'avais été du côté templier ?
Enfin il reste Isabella, un personnage qui se trouve finalement moins casse couille. Reprise de Dao, elle n'a physiquement rien à voir avec celle-ci, de Rousse, elle passe à brune, et se fait clairement pirate libertine. L'aspect pirate/voleur est d'ailleurs renforcée ! J'ai développé avec plaisir mais aussi un peu de frustration une romance avec elle, (moi qui l'avais déjà poutré dans DAO avec mon héros Fereldien), agréable frustration, puisque son aspect "je suis une femme libre sans attache" semble un obstacle à une vraie romance. Une relation pimentée donc !

Mais les romances ont un gros défaut dans ce dragon age 2, on ne les voit pas vraiment se construire, l'absence de campement pour aller discuter avec ces compagnons, ôte un incontestable charme à cet opus. Celui-ci étant divisé en plusieurs chapitres, chacun séparé par plusieurs années, on se retrouve alors avec une évolution dérangeante des relation par pallier. Pendant chaque chapitre, la relation reste stagnante, jusqu'au début du chapitre suivant où elle saute quatre marche d'un coup. Aucune évolution ne se fait ressentir, on passe directement d'une étape à une autre. Le côté romance progressive est donc selon moi assez raté !


Outre l'idéologie trop marquée de chaque individu, la personnalisation de ceux-là est aussi extrêmement limité si on le compare au premier opus ! Pour simplifier le gameplay, la personnalisation des personnages a subi une extrême simplification. Oublié les compétences, ne restent plus que ce qui étaient les talents et sorts. Ce n'est pas totalement un mauvais point. par exemple la compétence de crochetage ne dépend plus que de la caractéristique ruse. C'est plus simple et l'absence de particularité de chaque individu reste selon moi négligeable. D'ailleurs l'augmentation des caractéristiques est beaucoup plus claire, on aperçoit dorénavant très clairement l'effet concret sur le personnage des points attribués,. une clarté qui ne peut-être qu'appréciable selon moi.
Mais au-delà de la clarté ce sont nos compagnons eux-même qui se trouvent plus que limité dans leur personnalisation. On ne choisit plus leurs armes, et donc les talents liés à ses armes précisément, puisque à chacun est attribué un type d'arme précis. Fenris les armes à deux mains, Aveline l'épée et bouclier, nos deux mages les bons de mage, Isabella une dague dans chaque mains, et Varrick Bianca, petit nom de son arbalète. Les mages gardent comme dans dao un plus grand nombre de variations possibles, mais clairement Aveline est le tank, Fenris le DPS bourrin, Isabella le dps voleur....

On perd donc en liberté, ce qui amène des phases de combat très simplifiées, la pause tactique devient secondaire (même si je l'utilisais beaucoup par principe), on se tourne finalement davantage vers un hack'n Slash classique qu'un jeu de rôle traditionnel. On perd beaucoup en intérêt sur pc selon moi. Il convient de préciser je pense le sur PC, parce la version console de DAO était pour moi très décevante l'addictivité du gameplay avait disparu et tout devenait assez laborieux. Je pense que le gameplay de DA2 est CLAIREMENT plus approprié aux consoles, et doit y être plus agréable, bien que ce ne soit pas non plus un calvaire sur PC.

D'ailleurs cet aspect du jeu est au début très impressionnant, il rajoute un côté percutant cool, au combat. Enfin pour mon personnage de voleur qui disparaissait pour frapper par derrière, j'ai trouvé mon combat un peu brouillon certes mais visuellement impressionnant !
Je ne peux m'empêcher cependant d'être profondément attristé par ce changement de gameplay, assez réussi en tant que tel, il n'a pas ma préférence, c'est finalement petit à petit tous les gameplay typés pc qui sont en voies de disparaître, privilégiant ainsi des gameplay manette et tuant réellement des types de jeu très précis comme le J-RPG au tour par tour, le jeu de stratégie au tour par tour, le RPG occidental, le jeu de stratégie de manière général.... Des types de gameplay qui sont naturellement plus adaptés au clavier et à la souris. Mais comme le joueur console est le joueur type moyen, c'est lui qu'on va viser. Je ne peux m'empêcher d'en être écœurée quand cette tendance marketing en vient à dénaturé des licences qui doivent justement leur succès à cette particularité !
Si Dragon age II existe, c'est parce que Dragon Age Origins a été un succès, qu'énormément de fan ont plébiscité ce jeu qui osait retourner à l'esprit des Baldur's Gate ! Ils (et j'en fais partie) ont donné l'argent qui a permis après de faire un nouveau jeu qui n'est plus pour nous, mais pour un autre type de joueur. Trahison d'une certaine manière ! On séduit d'abord un public désespéré, pour l'abandonner au profit des masses, une fois qu'on a pomper tout l'argent qu'on pouvait dessus. Casualisation de la série donc.


Heureusement les critique très acerbes sur le jeu vont avec un peu de chance provoquer un certain retour à l'esprit du premier opus pour le troisième.
Car l'un des points qui suffit à justifier à la fois ce deuxième opus dans la saga tout en le rendant moins plaisant, c'est le scénario bien plus dirigiste. On se souvient des maints prologues possibles au début d'Origins, et des multiples fins possibles. Ici, un seul début avec deux variations très légères selon la classe choisi (mage ou non), tout le reste du scénario est centré sur une problématique très précise, es-tu pour ou contre les mages !

Seule problématique, l'attitude de tous nos compagnons quasiment, presque toutes les quêtes, tout nous ramène à cette problématique. Dans DAO, on appréciait à la fin de savoir le devenir de tous les endroits, que sont devenus les nains sous le nouveau roi choisi, les Dalatiens, le temple d'Andrasté, la monarchie Féreldienne... Ici donc tous se résume à la guerre mage/templier, toutes nos relations, toutes nos décisions.... Je trouve ça vraiment dommage, A l'évidence, c'est un scénario nécessaire pour nous introduire l'univers de Dragon Age Inquisition. Et j'ai adoré justement voir cet univers s'étoffer, le comprendre un peu mieux. Sten le Qunari de Dragon age Origins était à priori un humain, bien que très grand et très large, mais les Qunari sont issus d'une race très charismatique et impressionnante qu'on découvre dans cet opus.
Outre la partie scénaristique qui leur est consacré, on apprend alors que les Ogres viennent donc de cette race. Grâce à Awakening on commençait à comprendre plus clairement, que les Hurlock dérivaient de la race humaine, les Gemlock des nains, et les Hurleurs des elfes. Mais les Ogres, on ne comprenait pas forcément leur origine alors qu'ils permettaient toujours des affrontements marquants. ! Il est donc plaisant de voir enfin la race à l'origine de ces engeances !
De plus, si DA2 en fait un peu trop sur la problématique mage/templier, j'avoue personnellement que dans DAO j'étais frustré de ne pas voir cette problématique plus développée, ayant tendance à ne pas apprécier la Chantrie et l'ordre des templiers.
Ce scénario est-il bien développée ? Et bien là encore, oui et non, toute l'histoire nous amène trop clairement à une fin bien précise qui servira de point de départ unique au troisième opus, donc clairement on sent très bien qu'on est qu'un pur grain de sable dans cette mécanique malheureusement très bien huilée ! Malgré la classe du personnage, on perd en épique, le personnage principal bien que visuellement charismatique est loin du héros Fereldien, qui met en marche une guerre contre l'enclin bien plus courte que toutes les précédentes.

On perd aussi en identification à cause d'une nouveauté la voix du héros. Enfin diront-certains notre héros a une voix. C'est pour moi l'une des choses les plus terribles que l'on peut faire dans un RPG, subir la voix d'un autre ! Un frein à l'immersion, à l'attachement très important, bien qu’inconscient ! Puisqu'il a notre voix, du moins celle imaginée dans notre esprit, il est davantage nous et c'est très important. Ce fut d'ailleurs un frein pour moi quand j'ai découvert FFX (même si j'ai fini par m'y faire), ce basculement par rapport à ce prédécesseurs.
Surtout qu'ici contrairement à FFX, la voix du héros est moins réussi sur la longueur. Le double n'est pas mauvais loin de là ! Mon héros avait adopté un ton sarcastique, il était assez bien réussi et assez égal sur la longueur. Mais clairement, toutes les phrases se révèlent alors prononcés sur le même ton. Le ton peut être aussi réussi que possible, il n'est pas adapté à chaque situation, sa voix m'a donc clairement ennuyé, ou du moins a limité l'impact de certains dialogues ! On ne peut doubler autant de possibilité de dialogue et les réussir avec subtilité ! L'une des qualités de DAO et de DA2, c'est les multiples choix de dialogue, il faut donc abandonner l'idée du doublage selon moi ! Mais là encore, on veut toucher un public plus large, un public qui n'exclue pas les feignants qui n'aiment pas lire donc....

Par maints détails donc, ce second opus est l'objet d'une grande déception, perdant énormément du charme de son prédécesseur au profit d'un public visé bien plus large. Le résultat décevant certes n'est pas mauvais, pour l'amateur de Dragon Age que je suis, en plus d'avoir passé un agréablement moment à le finir totalement, je ne regrette pas un seul instant d'y avoir jouer, car par touche il enrichit considérablement l'univers de Dragon Age, certes il dénature son gameplay, mais renforce franchement son univers, et ce n'est pas rien. Son scénario est frustrant parce qu'il nous dirige trop clairement, ne réussit pas à nous donner vraiment une illusion de liberté. Mais ce parti-pris nous mène à une situation finale qui est franchement intriguant, et sera une bonne base pour le troisième opus. Une oeuvre nécessaire de transition.


Je pourrais conclure avec cette min-conclusion, il faut tout de même revenir rapidement sur un point qui explique pourquoi un jeu très grand public comme celui-ci, relativement réussi, a fait l'objet de critiques aussi négatives. De la part des amateurs de DAO, c'est évident, mais de la part de la critique presse cela l'est beaucoup moins. Une franchise victime de la casualisation s'ouvrant à un public bien plus large, est souvent bien noté, malgré quelques remarques légères ça et là, sur le changement de ton. Mais développé en un an, Dragon Age 2 est clairement sorti de manière prématuré. Avouons-le, ce jeu par certains aspects n'hésite pas à se foutre de notre gueule de manière plus qu'évidente via son Level-Design !

Le choix de limiter l'histoire à une ville et ses environs peut-être un choix scénaristique ! L'aspect couloir des maps ne me gêne pas, au contraire. j'ai toujours préféré personnellement l'illusion de liberté via mon personnage, qu'une réelle liberté via une sorte d'OpenWorld comme dans les Elder's scroll. Mais l'idée de nous faire retraverser AU MINIMUM trois fois par chaque zone, une fois par chapitre, et ce n'est qu'un minimum on revisite une dizaine de fois certaines zones en faisant toutes les quêtes ! Là on commence à se foutre de la gueule du monde !
Mais on commence seulement ! L'idée de nous faire croire que c'est pas totalement pareil, par contre parce que certains passages sont bloqués dorénavant, d'autres accessible alors que non. Ou encore mieux parce qu'on entre par la porte de sortie, et qu'on sort par la porte d'entrée, donc ça n'a plus rien à voir... Là on est dans du foutage de gueule éhonté ! Mais DA2 va encore plus loin, dans les mini zones souterraine de la ville, il nous ressort sans aucune logique les mini zones souterraines des environs !!!! C'est à dire qu'on va dans un égout de la ville et on se retrouve dans un zone des Tréfonds, puis on descend un petit escalier pas loin dans la ville et on se retrouve alors dans une grotte de la jungle ! Aucune cohérence ! aucune logique ! Ces mini-zones, on les refait donc des dizaines de fois.
Sans parler des bugs graphiques, je viens de m'acheter un tout nouvel ordinateur de gamer, pour être sûr de pouvoir jouer au dernier jeu qui vont sortir, autant vous dire donc qu'il ne pose pas problème. Tous les patchs sont installés et régulièrement malgré tout lors de cinématique ou en phase de jeu, les corps disparaissent je discute donc avec une tête volante !
ou parfois la moitié d'un corps, la moitié d'un homme invisible !!


Tout cela n'a pas réussi à me gâcher le jeu, mais c'est tout de même un véritable foutage de gueule que d'oser fournir un jeu bâclé à ce point à la fin. Bon après, si ce sont des points très voyants, ce ne sont pas les points les plus gênant ! Mais tout de même il aurait été facile en quelques mois supplémentaires de régler ne serait ce que ce problème de paysage !

PS : Au passage, si DAO m'avait rappelé avec grand plaisir Bladur's Gate 1 et 2, d'une manière assez amusante, ce Dragon Age 2 me rappelle étrangement Baldur's Gate Dark Alliance ! Un très bon jeu console (que je recommande vraiment notamment pour son mod coopératif) qui dénature aussi le gameplay original de la série dont il est issu mais n'en reste pas moins plaisant ! D'ailleurs je recherche absolument une version matérielle de ces Baldur's Gate Dark alliance, s'il y a vendeur, je suis preneur ! Comme quoi un opus Hack'n Slash réussi issu d'un rpg classique, ça existe et heureusement ! Ne soyons donc pas si rétifs à DA2, si vous avez aimé DAO, essayez-le avec bienveillance et s'il vous décevra forcément si vous espérez y retrouver tout le seul du premier opus, vous pourriez malgré tout l'apprécier ! ( Grand Dieu, j'espère seulement que le trois reviendra malgré tout à un gameplay plus classique...)