Un gris philosophe.

Je propose de nous assoir, expirer, s’acquitter de cette agitation constante.

Écoutez, cet orchestre apaisant qui s’échappe de votre boîte, mais surtout, observez ce spectacle, cet artifice de couleurs ou encore ce trait précieux qui s’offre à votre vue. Ce n’est pas un musée, mais plutôt un lieu d’art qui ne s’effrite pas par son immobilité, mais qui vous emmène dans un recueil de nouveautés.

C’est une visite d’un tout autre monde, fantastique, où vous ne vous égarerez jamais, et finirez par trouver sa fin, avant d’avoir le mal du pays. Un univers — surpassant beaucoup de ses voisins —, au parcours qui trace de curieuses énigmes et de jolies chimères.

Son format n’est pas un défaut, mais une qualité qui pousse son œuvre à être attachante.