L'amalgame de références par excellence, aux service d'un univers commun
qui n'est -comme Uedalisé- presque plus rien.
Mais ici c'est du post-apocalipstick qu'on est amené parcourir.
Parcourir tant bien que mal se porte notre avatar qui, dans un ultime soubresaut de vie, touché par une maladie tout aussi flashy, semble s'être échappé d'une bien trop monotone journey.
Cette maladie dont il pâlit, est au cœur du gameplay, elle rend ses déplacements lents.
Il va falloir le doper, à la manière d'un RPG, par petits à-coups d'upgrades mêlant habilement efficacité et sobriété de par leur nombre restreint qui permet de ne pas s'éparpiller, rester concentré.
Double sensation de décrépitude contre laquelle il faut lutter, dans des affrontements dynamiques incitant à alterner gunfight et combat rapproché; là non plus on ne se fait pas chier, comme un ersatz de Sang Transmis par barre de vie régénérative, avec des munitions à gérer.
Leur issue parfois fatale finit toujours par nous gratifier, telle la licence sus-citée, d’animations détaillées et parfaitement réalisées, d'un simple coup de pistolet.