La série mass effect, du pas mal au mauvais (goût).
Pour moi Mass effect a toujours était un jeu grand public avec tout ce que cela contient de péjoratif mais de positif aussi :
- Pas un jeu de compétition qui a une grande marge de progression et ou l'adversaire est un esprit humain comme starcraft 1/2 ou quake 3/live.
-Pas un jeu qui demande une grande implication, tout le monde peut le finir assez facilement, l'assimiler facilement et tout comprendre facilement, sans aucun effort.
-Ce que j'attend d'un jeu grand public ce n'est donc pas un gameplay riche ou un jeu "prise de tête" mais un bon moment de divertissement avec au moins un minimum syndical d'implication émotionnelles et le moins d'ennuie possible.
C'est donc sous cette angle que je vois la série mass effect , sinon je serais beaucoup plus dur.
Un bon exemple d'un très bon jeu grand public, si bon qu'il est à la limite d'un jeu disons hard core gamer ,pour trouver un mauvais terme en opposition à grand public , en faite un meilleur terme serait le contraire de joueur occasionnel, un joueur régulier ..
donc un bon jeu grand public, pratiquement un jeu pour joueur régulier serait Bioshock ( après bien sûr on accroche ou pas) : Une pâte graphique particulière, une narration recherché, un monde original, un minimum de difficulté et gameplay, et une atmosphère originale.
Pour mass effect 1, je n'en attendais rien, et j'ai donc était surpris en bien à partir du moment ou on rencontre Sovereigne, et ou toute l'histoire changede visage, se découvre. Bien q'un peu grossier, il y avait un minimum d'illusion de liberté, de choix de dialogues, de personnalisation de compétences , de l'univers et ses flash info et ça faunes.. Bien que le gameplay était franchement mauvais et ennuyeux , la découverte du reste l'emporter. Mass effect 1 07/10
Pour mass effect 2, il m'a semblé si court subjectivement que j'ai eu plus l'impression de joué à un add one qu'à un vrai jeu, mais un addon à l'envers, moins de choix pour l'inventaire, moins de gameplay, moins de détails ce qui donne l'impression d'avoir moins de chose à faire, d'être encore plus spectateur que acteur. D'ailleurs le découpage de la narration manque particulièrement de finesse , on passe son temps à recruter une équipe, puis c'est le final et c'est fini. De plus le plaisir de la découverte du 1 n'est plus là , on connait l'univers et l'histoire, les enjeu ; il n'y a pas de surprises , pas de changements. Un ou deux personnage comme l'homme trouble ou le méchant qui prend possession d'un corps pour s'incarner sont sympa. Mass effect 2 05,5/10
Pour Mass effect 3, on attend le grand final, la conclusion décisive. On sait que ça va blaster de tout les côtés. Encore plus court que le 2 (subjectivement) , plus de scène cinématique, plus de dialogue mais moins de choix de réponses , donc encore plus spectateur, mais spectateur d'une narration calamiteuse : En voulant en faire plus dans la quantité, la quantité d'émotions, de pathos comme disent les médias ça devient grotesque(et puis c'est mal fait). De plus le spectacle ne suit pas , on affronte peu d'ennemis à la fois , avec peu de personnes, on a pas l'air plus puissant qu'au début du 1, la technique ne suit pas , on n'en n'a pas plein la vue, c'est un film à petit budget, pas de nouveaux personnages intéressants, le ninja électronique est ridicule , les limitations consoles (et surtout les limitations des programmeurs) font qu'on a toujours une arme brandit devant soi, et comme par hasard je jouai un pure psychique/adepte qui n'utilisait jamais son arme, pour l'immersion ... autre exemple de ridicule, il n' y a qu'une fin, seul 5 secondes de cinématique change et la couleur du rayon. Dans cette opus-ci il m'est arrivé de sauter des dialogues, même à la fin. Mass effect 3 03/10
Pour quelqu'un qui aime vraiment les jeu d'aventures sf, je pourrai lui recommander le 1, pour le 2 si il a vraiment aimer l'histoire du 1 et qu'il est très curieux, mais pour le 3, je le préviendrai que ça risque de gâcher l'univers et sa propre imagination, et que c'est à tenter à ses risques et périls.