Bienvenue dans un monde inspiré du cinéma (une habitude chez Rockstar) et plus particulièrement des westerns spaghetti ; seulement la conquête de l'Ouest sauvage, comme pour une certaine Horde éponyme, en est à son crépuscule et les vieux gangsters fatigués tentent d'échapper à leur passé dans un combat perdu d'avance.
Parcourir les plaines enneigées, les marais et les déserts mexicains (qui sont certes seulement séparés d'une centaine de mètres), à cheval plutôt qu'en voiture était probablement la meilleure façon de renouveler la série qui à toujours été chiante à jouer.
Et à défaut d'autoradio, par je ne sais quel bon goût venant de leur part, une sempiternelle mais particulièrement touchante galopée vers un ultime repos, s'est permit de graver à la manière d'un Compass, l'air de Jamie Lidell dans mes souvenirs, sinon mémorables, agréables.
p.s. : à l'instar de John Marson, l'industrie moderne et l'administration a eu raison de nombreux développeurs de Rockstar San Diego poussés à bout jusqu'au burnout, mais bon on s'en fout, ce qui compte c'est notre immersion contemplative pas vrai ?
FunFact : ça à l'air d'être toujours le cas, même douze ans plus tôt.