Il me faudrait deux notations pour ce jeux, la première pour la partie scénarisée, grandiose, magnifique, épique et qui m'a complètement embarquée. Peut être même une des expérience vidéoludique les plus forte que j'ai eu dans les mains. Arthur Morgane restera dans mon panthéon des héros les plus charismatique et attachant qu'il m'ait été donné d'incarner. Et l'histoire, l'ambiance est d'une telle maestria qu'a aucun moment je n'ai ressenti ni vécu de "défauts" dans l’expérience qui m'était proposée. Allant même jusqu'à être dans l'incompréhension devant les critiques de certains amis qui eux n'ont pas apprécié l'aventure.
Et il y a la seconde partie du jeu, le end-game, lorsque on laisse le scénario derrière soit et qu'il ne nous reste qu'un objet vidéo ludique... et malheureusement la chute est vertigineuse ! hormis les graphisme incroyable et la bande son impeccable, je me suis pris tout les défauts du jeu en pleine gueule !
- Un gamplay has been d'une lourdeur pénible
- des "petits trucs" de réalisme qui finalement ne servent à rien sauf mettre en avant ce qui n'est pas réaliste
- un end game à base de mission sans âme consistant à chevaucher 15 minutes, descendre de cheval, galérer avec la lourdeur de personnage pour réussir le challenge et c'est tout...
Finalement RDR2 c'est un peu comme une Ferrari F40, magique tant qu'on est dans le circuit, c'est beau, c'est envoutant et la rudesse des commandes fait ressentir encore plus fortement l'aventure mais sorti du circuit il reste un truc lourdingue sans aucune agilité.