C’est bien simple. Quand on télécharge un jeu sur Steam, on peut soit prendre un livre, surfer sur Internet ou bien regarder leurs recommandations. C’est cette dernière solution qui m’a permis de découvrir tout un tas de jeux, notamment Ryse son of Rome. J’avoue que j’ai été intrigué par une Rome antique. J’ai regardé les avis sur les différents sites web, assez pour me laisser séduire.


La bonne nouvelle, c’est que l’on est directement parachuté dans l’aventure. C’est simple, en un peu plus de deux heures, les commandes utiles sont au nombre de cinq : clic gauche, clic droit, bouton central, entrée et maj droit. Enfin, ce sont les touches qui me sont assignées, car on a le choix sur 3 configurations prédéfinies, pas le choix donc de les attribuer manuellement.
Le clic gauche permet de donner un coup d’épée, le clic droit un coup de bouclier, le central pour récupérer soit des points d’Exp ou de santé lors des mises à mort (sinon c’est pour parer), entrée pour le coup de grâce et maj droit pour envoyé des javelots. C’est tout !


Moi qui me voyais me balader dans les rues de Rome ou sur les champs de batailles, c’est raté. On suit un chemin unique, des couloirs. Rien à récolter, à part des parchemins, trouvé tout à fait au hasard sur une plage. L’arbre de compétences est très limité.


L’action se limite à tuer, encore tuer et toujours tuer des barbares. Ils arrivent par paquets. On enchaîne l’éternel coup de bouclier, épée et coup de grâce. Les interactions avec le décor sont aux minima. On arrive devant un obstacle, le personnage se hisse tout seul, on doit casser un truc, c’est le bouton droit à utiliser.


Un jeu c’est avant tout à prendre du plaisir. Durant ces deux heures, je n’en’ai pas pris. Pire, rester bloqué vingt minutes à recommencer à tuer les mêmes hordes de barbares, c’en ai trop. Je désinstalle le jeu et maudit ces recommandations ! Du temps de perdu, de l’argent de perdu.


Oh, c’est beau, mais c’est tout, même si Tomb Raider (sortie de la même année) est plus joli. Tout juste une coquille vide sans âme. J’ai eu beaucoup de bug, comme la souris non reconnu lors de parties, un temps aléatoire de chargement parfois très long, d’autres courtes. Pour ces bugs, c’est peut-être dû au fait que j’utilise Proton et donc non compatible d’origine avec ma distribution Linux ?

Dktango
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le 20 mars 2020

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Dktango

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