Skyrim, enfin devrais-je dire The Elder Scrolls V: Skyrim vu comment nombreux sont ceux qui ont oublié le nom de la série au profit de l'épisode qui a popularisé une série mais surtout un genre au près du grand public.
Parce que Skyrim c'est ça, c'est le jeu qui vous fout une claque durant les 10eres heures de jeu comme n'importe quel nouvel épisode de Gta ou Zelda:
Graphismes enchanteur, sentiment de liberté immense, bande son grandiose, innombrables quêtes et le sempiternel effet scenaristique du héros sortie de nul part qui a pour but de sauver le monde entier (Rien que ça !). Tout pour plaire au plus grand nombre.
Autour de tout ces bons points, le Kinder s'ouvre et l'intérieur paraît un peu vide..
En effet les plus gros problèmes du genre apparaissent et ils sont bien grossiers: système de combat bancal qui n'évolue jamais, sensation de frappe un sac de patates, facilité déconcertante (une classe permet d'avoir n'importe quel compétences), des quêtes FedEx qui noient les rares bonnes quêtes et bien écrites.
Les environnements se répètent beaucoup trop souvent, surtout ces donjons copie/collé.
Bien sûr le jeu n'est pas si mauvais que ça, il aura juste un jugement de valeur différent selon la personne qui y joue: un novice le jugera comme son meilleur rpg, tandis qu'un joueur ayant déjà goûté à de bons scénarios, rangera ce jeu aux côtés des bons divertissements sans plus.
Un bel enrobage qui s'essouffle sur le long terme.