Les quatre premiers niveaux de Traitor servent à installer l'histoire... et faire de nous un traître à son camp. On l'assume. On l'a choisi. Il va maintenant falloir se battre contre l'Empire qu'on a quitté, et endosser, progressivement, le costume de héros de la rébellion. Nos nouveaux alliés filent un coup de main précieux en mettant à notre disposition diverses boutiques d'améliorations. Attention, rien de mirobolant ni de prolifique comme dans les shooters les plus courants : chaque point de vie, chaque demi-seconde de rechargement d'arme se paye cher. Mais on remplit vite son portefeuille et sa jauge de réputation en s'attaquant à tous les repaires ennemis truffés de petits vaisseaux, fusées retorses et astéroïdes géants.
C'est long, c'est bon, c'est beau, et la musique est top. Traitor nous tient une semaine... au moins.