Assassin's Creed: Revelations par cedstw
J'attendais avec une indescriptible impatience ce nouvel épisode de la fameuse série des Assassins Creed.
Il faut le dire, historien de formation, c'est Brotherhood qui m'avait finalement convaincu de briser ma bourse pour m'offrir et la console, et le jeu. Évoluer dans ce décor des républiques italiennes de la Renaissance! Autant le dire : le pied!
Depuis, j'ai pratiqué du premier au dernier épisode de la saga.
Dès lors, l'annonce de la sortie de Révélations m'a poussé à commettre un geste dont je ne me serais jamais cru capable : pré-commander l'opus plus de six mois avant sa sortie.
J'en suis devenu comme fou, scrutant la progression, presque minute par minute, de mon colis entre son lieu d'expédition et mon home sweet home.
Entre temps, de l'eau a coulé sous les ponts, et je suis arrivé au bout de ce dernier épisode qui me promettait tant. Un épisode riche, aux décors époustouflants et qui nous transporte cette-fois sur les rives du Bosphore dans le dédale de la célèbre cité aux multiples noms : Constantinople.
Premier constat :ce nouvel épisode calme la sensation de manque...
On y retrouve ce qui fit le succès des épisodes précédents. Mais si l'on y regarde de plus près, on remarquera que les innovations ne sont guère nombreuses. L'arrivée du crochet, et le développement des bombes et de leurs diverses déclinaisons. En dehors de ça, le fil d'une histoire à suivre, au rythme imposé par les scénaristes de la série, histoire qui se termine...jusqu'à la sortie du prochain épisode.
En effet, une fin qui laisse sur sa faim...un scénario bien ficelé, passionnant même, mais à la fin abrupte et décevante tant on aimerait peut-être qu'un jour la série connaisse un épilogue scénaristique réel.
On sent qu'Ubi a déniché le bon filon, et comme le film du même nom, AC s'apparente à une histoire sans fin.
Mais bon, ne boudons pas notre plaisir : J'ai à nouveau passé un bon moment, certes court, avec ce "bon vieux" Ezio Auditore.