Sous ce titre étrange mais quand même trop cool (parce que faut pas déconner quoi) se cache un jeu de tir se déroulant à l'époque de l'Ouest sauvage en plus d'être lointain. On incarne El Tejon, un bandit trahit par son propre camp et même abattu par ce dernier dans la rue et laissé pour mort. Et comme vous êtes mort vous ne jouez pas.

Voila.

...

Mais non ! Car tartiflette et pizza à l'oignon, en fait vous n'êtes pas mort ! En effet, vous êtes un vrai cow-boy loin de sa maison, et donc vous ne craignez pas les balles. Vous décidez donc de vous venger, en tuant les Neufs personnes qui constituaient votre clan. Vous vous retrouvez d'abord en prison (de laquelle vous vous échappez tranquillou, vous êtes un cow-boy après tout) et allez directement tuer tout le monde.
Sous ce scénario des plus rocambolesque et quand même assez accrocheur, car sans aucun retournement de situation (Enfin El Tejon va en tuant tout le monde sans vraiment trop de problèmes...), se trouve un jeu de tir à la première personne, vous donnant dans les mains un shotgun, un fusil et un pistolet, parfois de la dynamite, des cocktails molotov ou rien du tout (Ah si un couteau ; mais sérieux qui l'utilise wtf ?). Le jeu dans son ensemble est très linéaire, et se déroule en deux phase : l'une vous tuez des dizaines de desperados dans un niveau au chemin toujours identique et l'autre vous tuez un boss qui est en fait l'un des Neufs.
Les niveaux se dérouleront en train, en bateau, à cheval, ou à pied. Sachant qu'à cheval vous ne dirigez pas le cheval, et qu'en train c'est juste que ça bouge. Les situations de niveaux sont plutôt variés et vous font aller tout autour des État Unis de l'West (stern). Le tout est très bourrin et vous ne compterez même plus combien d'ennemi vous tuerez, même si parfois en comparaison avec des jeux récents l'action n'est pas vraiment omniprésente. Le jeu est assez facile, sauf lors des boss qui peuvent souvent vous donner du fil à tordre, retordre et re-retordre.
Les phases de Poker précédant le début d'un niveau et permettant d'obtenir des bonus de munitions peuvent facilement changer l'issue de la partie et son très plaisantes et cette phrase est très longue et très haletante car je n'ai pas envie de la finir immédiatement et j'aimerais qu'elle reste dans votre esprit durant très longtemps voire même jusqu'à ce que vous ayez acheté le jeu avec vos sousous qui viennent de votre porte-monnaie qui peine à payer toutes les factures et impôts que notre état nous impose.

De part son prix pas cher et son fun quand même au rendez vous, Dead Man's Hand est un assez bon jeu et passer du temps dessus amuse. Peut être que la nostalgie me fait mentir ?, car c'est le premier FPS auquel j'ai joué. Je n'étais qu'un enfant, et le niveau avec le cannibale m'avait traumatisé. Bouhouhou.
AristA
7
Écrit par

Créée

le 21 févr. 2011

Critique lue 421 fois

3 j'aime

AristA

Écrit par

Critique lue 421 fois

3

Du même critique

The Saboteur
AristA
10

"Saboteuren, Ahhh !"

The Saboteur met en scène en Irlandais pendant la seconde guerre mondiale qui se retrouve à Paris sous l'occupation nazie et qui piapiapia piapiapia etc. Le scénario, et même la mise en scène de The...

le 31 janv. 2011

5 j'aime

3

Poney, Part 1
AristA
8

Critique de Poney, Part 1 par AristA

Il est presque impossible de décrire une musique, parce que... et bien déjà c'est impossible. Mais c'est aussi complexe de décrire une impression qui est particulière à celui qui écoute la musique,...

le 23 sept. 2012

3 j'aime

1

Dead Man's Hand
AristA
7

La main de l'homme mort

Sous ce titre étrange mais quand même trop cool (parce que faut pas déconner quoi) se cache un jeu de tir se déroulant à l'époque de l'Ouest sauvage en plus d'être lointain. On incarne El Tejon, un...

le 21 févr. 2011

3 j'aime