Adam et crève

Mes chères amies, mes chers amis – puisque l'on peut maintenant arrêter les simagrées et assumer la proximité de nos relations – il n'est pas facile, mais alors pas facile du tout d'écrire correctement sur un jeu de la trempe de Deus Ex: Human Revolution. Les fanboys du premier Deus Ex seront forcément aux aguets, prêts à me sauter à la gorge à la moindre effluve de laxisme, tandis que les joueurs n'ayant jamais connu cet épisode se foutent royalement de savoir qu'un mec sifflote le thème principal du jeu original dans un ascenseur de Human Revolution. Pour couvrir toute éventualité et essayer de m'en sortir, il me fallait me préparer. Faire tout mon possible pour trouver le bon équilibre entre objectivité et fanboyisme, admiration et cartésianisme, professionnalisme et idiotie.

J'ai donc décidé, comme Adam Jensen, le héros du jeu, de me faire augmenter. Rien d'incroyable, pas de jambes pour faire des bonds de neuf mètres ou de système d'invisibilité, hein. Juste quelques petites astuces permettant de me faciliter la lourde tâche qu'est la rédaction d'une critique de Deus Ex: Human Revolution.


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