Un retour sur Mars, décidément vortex de passage pour les entités diaboliques les plus farfelues. Plus renfermé, moins massivement fréquenté, la terreur fait une entrée remarquée au détour des corridors mal éclairés et tortueux. Les codes du satanisme le plus clinquant sont de retour : profanations, possessions, sacrifices et autres messes noires, tout y passe pour alourdir une atmosphère déjà rendue bien pesante par la présence de gros flingues incapables d’être utilisés en même temps que la lampe de poche, pourtant bien utile à l’exploration des zones les plus obscures.