Kururin

Histoire/Scénario : On ne peut pas parler vraiment dans un scénario. Kururin doit aller sauver plusieurs personnes à travers divers mondes, c’est très enfantin et naïf mais cela suffit à partir à l’aventure.

Musique/Son : Une bonne bande son, pas trop répétitive, plutôt calme, qui fonctionne bien avec l’univers du jeu.

Visuel/Réalisation : C’est très mignon, très enfantin, extrêmement coloré. Le tout est tout fait visible, très simple dans son design.

Acteur/Doublage : Il n’y a pas de doublage.

Gameplay/Maniabilité : C’est un jeu de réflexion tout à fait original et simple à comprendre. On dispose de plusieurs mondes et dans chaque monde plusieurs niveaux. On dirige notre personnage dans une espèce de vaisseau en forme de long bâton qui tourne sur lui-même. Le niveau se compose d’un parcours bien délimité avec des murs assez étroits. Le but étant de faire avancer le vaisseau bâton à travers le niveau sans toucher les murs ni les différents obstacles qui nous barrent le chemin. Plus on avance plus les parcours vont être complexes, jusqu’à devenir de vrai casse-têtes. On dispose de 3 cœurs qui correspondent au nombre de coups auxquels on peut résister avant de mourir. Sur le chemin, on retrouvera des zones de répits où qui nous soignent et également des espèces de tremplins permettant de faire tourner notre vaisseau dans l’autre sens. On ramassera différents éléments de customisation sur le chemin ainsi que les personnes que l’on doit sauver. Un système très simple mais très addictif.

Avis : Un très bon jeu, original, addictif et simple à appréhender.