Évaluation : Ratchet & Clank : Quest for Booty

Éditeur : Sony Computer Entertainment
Développeur : Insomniac Games

Ce qui m'a plu

L'OST

Les thèmes que j'ai appréciés

Hoolefar Turbines - Fixing the Supply Beacon - Entering Morrow Caverns (petit coté Fable ce thème) - The Curse of Darkwater

• Une bonne entrée en matière remplie d'humour avec comme thème la piraterie.




• Le jeu est très fluide ce qui fait extrêmement plaisir.




• L'île d'oulefar est tout simplement géniale, level design bien recherché avec quelques missions par-ci par-là.




• Pete le rouillé est un excellent personnage.




• Une interface épurée qui fait plaisir, c'est tellement plaisant d'avoir rien sur l'écran, aucun hub visible lorsqu'on se promène avec Ratchet.




• Le thème de la piraterie est intéressant dans ce Ratchet.




• Graphiquement, ce n'est pas moche, mais pas très beau non plus. Quest for booty reste dans le standard du genre, à savoir que le jeu est très fluide.




• Toujours une très grande panoplie d'armes en tous genre. Il y a en a moins que dans les autres opus, mais pour la durée de l'aventure & le prix du jeu, je ne vais pas me plaindre.




• Une narration avec Pete le rouillé & le pirate Darkwater rempli d'humour.




• Le personnage syndiqué, il m'a fait extrêmement rire, car c'est un personnage qui me fait penser à des gens que je connais, et oui, les profiteurs :p.




• Le dernier chapitre (acte) est génial.

Ce qui m'a déplu

• Les choix de dialogues ne sont pas très intéressants. Ratchet ne parle pas non plus après avoir choisi une phrase.




• Un aspect verdâtre d'un effet trop prononcé à certains moments du jeu.




• Où sont les boss ? Dommage de ne pas avoir beaucoup de combats de boss dans cet opus.




• Un manque flagrant de difficulté, les armes augmentent très rapidement & les combats sont très faciles.




• Un manque de variété dans les environnements, encore une fois, il souffre de la comparaison avec les autres Ratchet.




• Les énigmes de Darkwater ne sont pas très casse-tête. J'aurais aimé par exemple, si on rate, des ennemis arrivent pour se défendre d'un intrus. Disons qu'on peu rater pleins de fois sans réel problème.