(Test originellement publié le 8 juin 2021 sur Gamekult.com)

Cela faisait un petit moment que l'aventurier poilu et son sac à dos chromé n'avaient pas envahi nos étals, et c'est directement sur PlayStation 5 que nos compères décident de débarquer après cinq ans d'absence. Un constat d'autant plus étonnant quand on sait que la série Ratchet & Clank a longtemps fait profiter ses fans de sorties annuelles, et que l'épisode précédent avait été à la fois un succès critique et commercial. On assiste en tout cas ici à un retour en force de la saga, avec la volonté de vous en mettre plein les rétines et des ambitions revues à la hausse, grâce aux capacités de la PS5 et de son fameux "SSD magique". Pari réussi ?

Il fait un (Ratchet &) Prank, ça tourne mal


Replaçons les choses dans leur contexte, car le remake de 2016 sur PlayStation 4 a pu brouiller les pistes de votre côté : vous n'êtes pas ici en présence de la suite de cet opus (qui est donc le dernier en date), mais de la suite de Ratchet & Clank Nexus, qui est lui-même la suite de la trilogie rassemblant Opération Destruction, Quest for Booty et A Crack in Time. Une quadrilogie qui a démarré il y a un peu moins de 15 ans et qui aurait bien bénéficié d'une remastérisation, tant les enjeux de cet opus font directement suite à ceux des épisodes PS3, et que le récapitulatif est expédié en quelques phrases au début de cette nouvelle aventure.

Histoire que tout le monde soit à la page, posons les bases du scénario : cela fait un moment que la galaxie n'a plus besoin d'être sauvée et que Ratchet n'a pas joué les gros bras, ce qui lui fait un peu perdre confiance en lui et en ses capacités de "héros". Pour lui mettre du baume au coeur, son acolyte robotique lui offre un dispositif permettant d'ouvrir des portails dimensionnels afin de rencontrer (enfin) le reste de l'espèce lombax. Patatras : le Docteur Néfarious, antagoniste récurrent de la série et dont les plans de domination galactique finissent toujours par être contrés par nos héros, parvient à lui dérober son cadeau, et ils finissent tous les trois dans un monde parallèle dans lequel ce grand méchant est l'empereur incontesté de la galaxie. Ratchet et Clank se retrouvent quant à eux séparés par la force des choses, et ce dernier tombe nez-à-nez avec Rivet, qui est (on s'en doute rapidement) une version alternative de Ratchet de cette dimension. Tous les enjeux reposent alors sur le fait de récupérer au plus vite le dispositif des mains dangereuses de Néfarious, pour sauver la galaxie et ramener nos deux héros sains et saufs chez eux. Rien de trop inhabituel pour eux, donc.


Ce simple pitch permet également d'influer sur le game design du jeu et de le pimenter un peu, puisque l'outil aux mains du Docteur Néfarious est un peu défaillant et a tendance à créer des portails dimensionnels un peu partout. Mais avant d'expliciter ses implications sur le gameplay, rappelons déjà les bases du dispositif : nous voici face à un jeu d'action/plates-formes assez classique, dans lequel le joueur a accès à toute une panoplie d'armes et une flopée de planètes à explorer. Ces armes vont devenir de plus en plus puissantes à mesure qu'elles sont utilisées, pour permettre par exemple d'arroser les ennemis en face, d'en exploser d'autres par le biais de grenades, de faire appel à des acolytes qui combattront à vos côtés, d'effectuer des tirs de précision, et ainsi de suite. La série a toujours brillé jusqu'à présent dans la créativité des effets de ses armes, et cet épisode ne déroge pas à la règle : certains pistolets vont tirer sur trois axes à la fois, d'autres peuvent immobiliser des adversaires en les électrocutant, certaines grenades peuvent se multiplier au contact du sol ou alors transformer les cibles en glaçons géants... Il y a vraiment de quoi s'amuser pour torturer ses opposants, qu'ils soient des ennemis "de base" ou des boss.


Cependant, quelques premières déceptions pointent déjà le bout de leur nez, comme le fait que l'offre d'armes est tellement pléthorique (on en compte vingt au total) que certaines se répètent un peu entre elles : on retrouve ainsi plusieurs exemplaires de pistolets, de lance-grenades, de fusils à pompe, et seuls les effets visuels vont apporter un peu de variations. Une autre déception vient aussi du fait que les ennemis ont également tendance à se répéter entre eux, avec un bestiaire relativement limité et surtout hérité des épisodes précédents : la très grande majorité des ennemis est par exemple directement tirée de l'opus de 2016, repris telle quelle (animations, modèles 3D et textures) et placés un peu partout, sans se soucier de la cohérence de l'univers - puisqu'après tout les failles dimensionnelles mettent l'écosystème de la galaxie sens dessus dessous. Le côté redite est également confirmé par les mini-boss que l'on recroise souvent (et qui ne sont qu'au nombre de trois), qui se recyclent également entre eux au niveau de leurs patterns et qui ne posent pas vraiment de difficulté au joueur.


Fourrure de tout dans la vie


Aussi éculé soit-il en l'espace de vingt ans, le gameplay reste malgré tout très efficace : Ratchet & Clank Rift Apart hérite de nombre d'éléments de ses prédécesseurs, avec notamment le retour des Hoverbottes directement reprises de A Crack In Time. Celles-ci permettent de se mouvoir plus facilement dans les niveaux un peu ouverts, des phases en glisso-rails qui font appel aux réflexes du joueur et qui offrent de beaux moments de mise en scène, ainsi que des passages de plates-formes malheureusement un peu plus en retrait et peu exigeantes par rapport au versant "action" du titre, alors qu'elles ont fait tout le sel de la série jusqu'à présent. Mais la véritable nouveauté du titre vient des failles, apportées par le fameux "SSD magique", et qui permettent donc de se téléporter en un clin d'oeil de l'autre côté d'une arène remplie d'ennemis par le biais d'une simple pression de bouton et d'un joli effet visuel. Si la fonctionnalité peut légèrement désorienter le joueur en début de partie (et nécessitera un certain temps d'adaptation avant qu'il ne les utilise à foison), l'intérêt qui consiste à "semer" les ennemis est quant à lui un peu limité, dans la mesure où ils remontent votre trace assez vite, et que le reste du gameplay est largement suffisant pour vous permettre de les esquiver et de les contre-attaquer.


L'autre nouveauté apportée par la console concerne les fonctionnalités de la DualSense, avec des "crans" configurés par les développeurs sur les gâchettes adaptatives, qui permettent par exemple d'utiliser différentes fonctionnalités sur une même arme : il est notamment possible d'appuyer sur la détente jusqu'à un premier cran pour activer un bouclier, puis de l'enfoncer complètement pour tirer. Cette idée doit composer avec quelques limites cela dit, puisque l'arme "Ricochet" nécessite plusieurs pressions d'affilée pour tirer sur un même ennemi. Et avec la résistance de la gâchette, vous pouvez facilement vous retrouver avec une petite crampe à l'index au terme de votre session de jeu : pas de panique en tout cas, car vous pouvez atténuer (voire éliminer) cet aspect par le biais des menus du jeu ou de la console. Le jeu propose également, et de façon régulière, des phases de puzzle avec Clank pour varier un peu les plaisirs.


Clé de bras, pas de chocolat


Malgré ces quelques nouveautés et ce confort non-négligeable en l'absence de temps de chargement visibles (ni même masqués derrière des cinématiques pré-rendues), le mot "convenu" est celui qui est revenu le plus souvent lors de notre route vers le Platine. Le titre d'Insomniac Games, à l'instar de leurs jeux sortis ces dix dernières années, ne prend pas spécialement de risques, que ce soit au niveau du scénario, du game design ou du contenu : les redites côté gameplay vis-à-vis des jeux précédents ne posent pas spécialement de problème, mais c'est surtout le scénario qui s'avère décevant. Si les fans de la série vont très probablement rester sur leur faim côté lore - très peu d'éléments viendront compléter les bases déjà établies par les opus PS3 - le reste des joueurs risque de ne pas accrocher à un scénario aussi plat et sans audace. La "morale" véhiculée ici consiste à répéter un message déjà bien éculé dans d'autres oeuvres, et qui s'applique à beaucoup de personnages que vous croiserez : ça manque vraiment de subtilité, et les retournements de situation sont également visibles bien en amont de leur apparition. Un joueur régulier de la série ne sera pas non-plus satisfait par les enjeux posés par l'intrigue, eux aussi assez sages, puisque l'objectif sera "seulement" de sauver la galaxie (une nouvelle fois), et ni le joueur, ni les héros éponymes ne sont vraiment portés par les événements : c'est une aventure comme une autre, sans vraiment de motivation personnelle.


C'est d'autant plus dommage au regard des premiers épisodes sur PS2 et PS3, qui savaient surprendre le joueur sur tous ces aspects, et le faire rire (ou au moins sourire). D'ailleurs, l'humour, qui est un élément pourtant caractéristique de la saga depuis ses débuts, est également une denrée rare ici, malgré le nombre impressionnant de lignes de dialogue débitées à la minute. Tout comme le remake de 2016, les personnages n'arrêtent jamais de parler, que ce soit lors des cinématiques, des phases d'exploration des planètes, des combats, etc. : la plupart des conversations ne consistent donc qu'à faire du simple remplissage, sans grande originalité, et qui va même parfois créer des problèmes de compréhension. Il arrive en effet très régulièrement que certaines phrases soient coupées en plein milieu par d'autres, ou que deux personnages parlent en même temps, ou que certains dialogues in-game continuent pendant une cinématique...


Mais Né(pas)farious qui veut


Ces différents problèmes d'ambition et de ton vont probablement de pair avec une volonté peu dissimulée de rajeunir le public de la série : à l'image de la majorité des films d'animation de ces dernières années, celui-ci est infantilisé et ne lui laisse pas vraiment de quoi envisager une seconde lecture, de l'interprétation, de l'analyse. Ratchet & Clank Rift Apart ne laisse pas non plus place à la débrouillardise car le joueur est tout le temps tenu par la main, avec des niveaux souvent linéaires et, malgré tout, des personnages qui ne laissent pas le temps au joueur de réfléchir à comment atteindre son objectif : même en étant sur la voie pour accomplir l'action à effectuer, votre héros ou votre acolyte va vous rabâcher ce que vous devez faire jusqu'à valider l'étape. Alors il est possible que tout cela ait pour but d'éviter toute frustration, mais ces artifices renforcent le côté "convenu" que l'on peut facilement apposer à l'aventure globale. D'autant plus dans un jeu où le doublage français, pourtant de qualité, ne soutient pas la comparaison avec la version originale : certains traits d'humour passent un peu à l'as, que ce soit à cause d'un ton ou d'une incarnation qui ne va pas dans le même sens que les voix anglaises, de traductions qui remplacent une forme infinitive par un impératif (ce qui fait que Rivet va par exemple vouvoyer quelqu'un qui n'existe pas au lieu de se parler à elle-même), ou alors dire le contraire du texte original. Heureusement, et pour la première fois sur cette licence, il est possible d'activer les voix anglaises avec des sous-titres en français, même s'ils ne pallient pas forcément les problèmes cités précédemment.


On peut apprécier quelques petites tentatives d'originalité, comme le fait que chaque planète à explorer ait un héros prédéfini : Sargasso ne pourra être explorée qu'en compagnie de Rivet, tandis que Nefarious City ne le sera qu'avec Ratchet, et cette répartition sera respectée (et équilibrée) sur le reste des niveaux. Mais ces essais ne vont pas très loin non plus, puisqu'il n'y a aucune différence de prise en main entre ces deux personnages jouables, et que l'argent, les armes, améliorations et armures acquis avec l'un sont automatiquement transférés à l'autre. C'est d'autant plus dommage au vu du nombre aussi important d'armes, qui aurait ainsi pu être réparti de façon égalitaire entre les héros, et qui aurait permis de rendre le gameplay un peu moins monotone.


Kit à faire un jeu, autant le rendre joli


A l'opposé, Ratchet & Clank Rift Apart brille par sa direction artistique qui ne manque pas de faire mouche : grâce à des graphismes éblouissants et une mise en scène qui peut faire décrocher la mâchoire, nombreuses sont les fois où on se surprend à s'arrêter et admirer les panoramas offerts par le jeu, souvent dès l'atterrissage sur une nouvelle planète. C'est là aussi la force de la saga, et cet épisode ne déroge pas à la règle tant les décors peuvent fourmiller de détails, baignés d'éclairages subtils. C'est d'autant plus remarquable lorsque "deux versions" radicalement différentes sont proposées sur un même niveau, qui permet au joueur de passer librement de l'une à l'autre d'un simple coup de clé à molette : la transition fait toujours son effet et confirme que le jeu ne peut tourner que sur les consoles de nouvelle génération. On regrettera juste les quelques allers-retours forcés par le scénario du jeu, qui nous demandent de revenir sur des planètes déjà visitées (sous des conditions différentes, parfois), et surtout de revoir des environnements qui avaient déjà été exploités dans le reste de la série : on peut éprouver un petit sentiment de nostalgie en revoyant des paysages repris d'épisodes sortis il y a quinze ans, mais on aurait préféré être encore plus dépaysé.


Un autre point fort à souligner concerne la stabilité de la fluidité du jeu, impeccable peu importe le nombre d'éléments et d'effets affichés à l'écran, grâce à un système de résolution 4K dynamique dont les fluctuations sont à peine perceptibles. A l'image de Marvel's Spider-Man sur PS5, le studio californien vous laisse d'ailleurs le choix entre trois modes : "Fidélité" (avec ray tracing mais à 30ips), "Performance" (sans ray tracing mais à 60ips) et "Performance RT" (qui offre le meilleur des deux mondes). Elle aussi de qualité et composée par Mark Mothersbaugh, qui avait supervisé le compositeur des deux premiers Jak and Daxter, la bande-son parachève ce bilan irréprochable : s'il n'est pas forcément évident de faire le parallèle musical entre ces deux séries de prime abord, on se surprendra à laisser trainer l'oreille (lorsque les dialogues nous le permettent) et reconnaître, par exemple, quelques tonalités du thème "d'exploration libre" de la planète Sargasso qui évoquent le doux souvenir de l'ambiance dégagée par certaines compositions de Jak II Hors-la-Loi. Les différents thèmes principaux, déclinés tout au long du jeu, sont eux aussi efficaces et assez entraînants, même si certains d'entre eux ont tendance à être un peu trop réutilisés.


Avec un boulon, on peut plaire


Côté rejouabilité, la campagne peut être bouclée en un peu plus de huit heures en ligne droite, sans que l'on ait envie de lâcher la manette entre temps, et ce malgré les quelques aspects répétitifs cités plus hauts qui n'entachent pas tant que ça l'expérience globale. C'est donc avec plaisir que l'on entamera une partie en "New Game +", en conservant ses armes et leurs niveaux d'évolution afin d'affronter des ennemis plus résistants, mais surtout pour explorer plus longuement les planètes du jeu afin d'y trouver des collectibles, accomplir des quêtes annexes (malheureusement assez rares elles aussi) et cumuler assez d'argent pour s'acheter les dernières armes auprès du vendeur. Comptez donc une bonne vingtaine d'heures pour éplucher toutes les planètes de Rift Apart au peigne fin et remplir toutes les jauges d'évolution de vos armes au maximum. Hélas, ce n'est pas la difficulté du titre qui vous posera spécialement de problème durant vos parties, puisque les passages les plus ardus consistent tout simplement à vous balancer une tonne d'ennemis à la tronche.


Le dernier écueil du jeu concerne la collecte d'armures : si vous fouillez un peu les niveaux, vous pourrez tomber sur des failles dimensionnelles à visiter afin d'y récupérer un casque, un plastron ou des jambières. Se met alors en place tout un parcours d'obstacles à effectuer à chaque fois, ce qui offre des passages de plates-formes assez intéressants (mais rarement exigeants, eux aussi), mais dont la récompense finale ne se fait que peu ressentir, malheureusement : il s'agit là de bonus surtout cosmétiques, avec une protection contre les ennemis accrue mais qui ne l'est que sous certaines rares conditions. En tout cas, il y a de quoi s'amuser à mesure des parties, notamment grâce à certains collectibles qui permettent d'activer des triches ou de jongler entre les paramètres graphiques du jeu, tandis que d'autres permettent de débloquer, une fois rassemblés, une arme secrète dont les effets visuels peuvent en mettre plein les yeux.


Verdict


Quelques années d'attente auront suffi à remettre la licence des Ratchet & Clank sur le devant de la scène, pour redevenir une vitrine technologique pour Sony. Les innovations de gameplay tirant profit de la PlayStation 5 suffisent-elles pour autant à en faire un titre incontournable ? Si les fans de longue date seront d'abord ravis de retrouver les deux héros qui ont bercé leur enfance (voire leur adolescence) dans Rift Apart, ils resteront un peu sur leur faim une fois l'aventure bouclée : le dépaysement et les décrochages de mâchoires sont là, mais clairement pas en nombre suffisant, et le dernier titre d'Insomniac Games peine à faire preuve d'originalité une fois qu'on en gratte un peu la surface. Le côté convenu de son scénario, noyé dans des dialogues de remplissage, mêlé à un gameplay solide mais qui ne va pas plus loin que nécessaire, entachent un peu le beau tableau porté par une direction artistique de toute beauté et des graphismes flamboyants. Si l'on a du mal à lâcher la manette avec de beaux moments à la clé, on espérait que cet épisode sorte un peu des sentiers battus après cinq années d'absence. En attendant de voir ce que proposera la suite, ce portail dimensionnel nous renvoie à des zones bien trop familières.

Ratchetlombax
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le 21 nov. 2022

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