"Vas-y on fonce !"
Hurlais-je à mon compagnon de fortune après un passage où il fallait défendre une position en attendant l'ouverture d'une porte.
Paf !
Porte franchis !
Ecran noir, son qui freeze, retour au dasboard de la console...
Là on s'échange un regard, moi mort de rire car c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase, lui comprenant pas ce qui venait de se passer...
"J'espère qu'il y a pas eu corruption de sauvegarde..."
Non !
Mais refaire tout le début du niveau, oui :-)
Et c'était reparti pour un tour, rebuter ces cons de zombies qui spawn de n'importe où, de ces clébards casse bonbons, mais en version speed runner car il fallait pas traîner. Car plus vite il fallait avancer, et plus vite on allait finir cette purge de jeu qui avait déjà arracher 17 heures de nos vies...
Ce Resident Evil est sans doute (et pour l'instant) le pire jeu de la licence et voir même le pire AAA que j'ai joué dans ma vie... Une licence qui aura toucher plus que le fond avec ce volet, véritable furoncle informe complètement éclater au sol.
Ce n'est plus un survival horror, mais un survival de joueur face à une immondice. Rien ne marche, l'histoire série Z, la jouabilité hasardeuse, les ennemis qui pop de n'importe mais surtout dans votre dos, la laideur des graphismes et surtout SURTOUT CES PUTAINS DE QTE DES ENFERS !!!! Grâce à eux, vous découvrirez les joies de la masturbation de stick dans tous les sens !
La licence était définitivement morte après un tel ratage qui lorgnait plus du tout du côté de l'ambiance mais vers l'action ultra gogol dont les cinématiques claqués finiront de vous achevez les dernières larmes d'amertumes et de rage coulant sur votre visage...