Tales of Berseria
7.2
Tales of Berseria

Jeu de Tri-Crescendo et Bandai Namco Games (2016PlayStation 4)

Avant de commencer je vous invite vivement à aller lire cette autre critique qui explique la genèse de la saga et résume le jeu, chose que je ne vais pas prendre la peine de faire ici.


Pour ma part, Tales of est une saga que j’ai découvert assez tardivement. Après avoir entendu nombres d’éloges au sujet de Symphonia, j’ai enfin pu le découvrir en 2012 grâce au remaster PS3 (j’ai vite abandonné sa suite par contre). Le jeu m’avait alors laissé relativement partager, j’ai tout de suite été charmé par l’humour, le visuel et la richesse narrative des fameuses saynètes ainsi que l’originalité et la profondeur de son gameplay A-RPG, son ost rock électro (que je connaissais déjà depuis quelques année) et ses donjons façon puzzle/énigmes architecturale aux antipodes des couloirs ennuyeux des jeux post PS2. Malheureusement l’histoire en elle-même ne m’avait pas hyper emballé, très prévisible (Lloyd, je suis ton père… NOOOON) et surtout artificiellement allongé par des techniques vraiment pas subtil (on va sauver le monde comme ça, ah non en fait essayons plutôt ça, à moins qu’il ne faille plutôt faire ceci, ah non en faite la première solution était la bonne oups) et quelques clichés un peu lourds dû à son orientation animé (Kratos qui se la joue Dark Sasuke, Sheena la MILF ninja à gros boobs et Préséa la gamine Moe). Cependant c’était globalement plaisant, surtout en cette décennie de disette J-RPG. Alors, bien que le jeu ne m’ait pas marqué plus que ça, j’ai tout de suite décidé de m’acheter les autres épisodes disponibles sur cette génération, à savoir le remaster de Graces et les 2 Xillia mais leur allure plutôt enfantine voir niaise m’a longtemps fait repousser l’échéance (et aujourd’hui 10ans plus tard ils ne sont toujours pas faits mais j’y viendrai un jour, c’est promis ^^’. On peut d’ailleurs espérer des remaster voir des remake PS5 sur leur nouveau moteur car Namco a déclaré qu’ils comptaient en faire d’autre après Arise, perso je croise les doigts pour que ce soit Abyss).


Toujours est-il qu’avec le temps la PS4 est passé par là, Zestiria et Berseria dont nous allons parler ici on à leur tour rejoint mon backlog à durée indéterminé, la faute cette fois-ci à leur aspect technique ultra daté qui n’engage pas tellement à la découverte quand on a encore des réserves sur leur capacité à nous plaire (l’âge faisant son œuvre je suis également de moins en moins enclin à démarrer des jeux longs d’autant que j’ai grandement décloisonné mon intérêt pour le jeu vidéo grâce à l’indé). Cependant je me suis essayé day one au remaster de Vesperia, lui aussi très plébiscité par les fans, pour un avis au final assez similaire à Symphonia, ne me permettant pas de tranché la question. Enfin, la sortie de Tales of Arise promettait un certain gap avec une ambitions revues à la hausse sur le plan technique et des personnages plus adultes pour un récit sans doute plus mature. Le verdict fut pourtant une nouvelle fois partagé, de bonnes innovations de gameplay mais mal exploité, un équilibrage discutable sur la fin du jeu et un scenario effectivement plus profond mais qui manquait encore de subtilité et d’audace tandis que les twist finaux le rendait quelques peu ridicule… Avis en demi-teinte pour la troisième fois consécutive mais qui démontrait au moins une chose c’est que la saga, si elle ne parvient jamais au firmament, semble néanmoins garder une certaine constance et mes attentes envers elle se sont donc affiné. C’est ainsi que je me suis enfin décidé à rattraper au moins un des précédents opus, celui qui m’attirais le plus j’ai nommé Tales of Berseria !


Et bien vous savez quoi, Berseria m’a une nouvelle fois laissé dubitatif, souffrant encore de nombreux défauts d’écriture ou de structure et bénéficiant globalement des mêmes qualités aussi. Pourtant le scenario a vraiment des bases solide cette fois, un potentiel malheureusement gâché et pour être honnête c’est probablement à la fois le meilleur et le moins bon Tales of que j’ai pu tester jusqu'à maintenant, un vrai casse-tête pour noter ça ahah.



Commençons par les points négatifs car c’est ce qui m’a frappé en premier (comme le jeu est vieux je vais me permettre de spoiler même si je vais faire au mieux pour mettre des balise) :



Un point rapide sur l’aspect technique, évidement regrettable mais finalement pas si dérangeant car le jeu n’a ni drop de framerate, ni bug, ni chargement à rallonge et se montre visuellement homogène, on oublie donc vite ce côté daté, c’est comme si on était devant un remaster de jeu PS2 ou un jeu de la Switch. D’après ce que j’ai compris le jeu a été développé conjointement avec Zestiria pour la PS3 à l’origine, c’est très probablement la raison de ce retard (le moteur n’ayant pas changé) mais ça n’excuse pas tout, la PS4 était quand même bien installé au moment de sa sortie (quand je pense aux gens qui se plaigne actuellement de la cross gen sur l’année de lancement de la PS5, ou pire, ceux qui nie le fait que cela bride énormément les production alors que là on parle d’un jeu cross gen sortie 4ans après le lancement de la PS4 et voilà le résultat). Concernant le level design/world building, ce n’est pas glorieux non plus, en plus d’être moche le monde est vide, les map compensent leur manque d’interactivité et d’attrait visuel par des collectables (qu’on ne repère pas à plus de 10m car la distance d’affichage est médiocre). Le procédé est facile et éculé mais bizarrement efficace, d’autant que les monstres sont eux aussi visible sur la map et qu’il y a des coffres un peu partout, ça détourne suffisamment l’attention du joueur et lui évite de trouver le jeu trop monotone (hormis dans la pleine d’Alidna ou le vide se fait clairement ressentir).


En revanche l’introduction du jeu est objectivement pénible, le scénario se montre vraiment nébuleux (au sujet des Malak/Malakim, des exorcistes, des démon, etc) on est balancé dans le récit sans réel contextualisation du monde ni explication de ses règles, et avec des personnages plutôt antipathiques. C’est donc difficile à suivre mais plus grave encore ce sont les didacticiels intempestifs qui entacherons grandement cette entrée en matière. Le gameplay est en effet très complexe pour rien à tel point que s’en ai parfois absurde (genre sur la fin du jeu j'ai débloqué un arte dont la condition d'utilisation c'était être en mode démon pendant au moins 20s puis donner 3coups et appuyer sur R2 avec une jauge de JP remplis à 3, limite si on ne me demandait pas de dessiner un pentacle sur ma console et poser la main dessus en récitant une incantation latine un soir de pleine lune pour pouvoir lancer cette attaque XD). Ça fait donc beaucoup de chose à assimiler d’un coup, il faudra patauger quelques heures pour maitriser les bases permettant de le trouver plaisant et comme souvent dans les J-RPG il faut également passer un certain cap (10-15h je dirais) avant que le scénario et les personnages ne se développent suffisamment pour devenir intéressant. J’ai donc eu beaucoup de mal à m’investir au début et si je n’avais pas insisté j’aurais sans doute mis une note entre 3 et 4…


Mais le pire c’est que ça ne s’arrête pas là, une fois passé ce premier cap d’introduction le jeu subit un léger ventre mou à base d’aller-retours complètement bidons et injustifiés pour allonger sa durée de vie (toute la période île prison à laquelle on revient juste pour voir une saynète avant de repartir finir la mission qu’on a entamé où lancer la suivante). Aussi le scenario souffre de pas mal de problème de cohérence et de facilité, exemple en vrac Eizen qui sait subitement plein de chose lorsque le groupe se retrouve dans une impasse,


les Malak qui change leur fonctionnement selon les besoins du scenario, les personnages totalement intouchables à au moins deux reprise flagrante, lorsque le village de Haria cède à la malveillance juste devant eux ou lorsque Innomiat hypnotise les habitant de la planète entière sauf eux…
D’ailleurs cette hypnose ne dure pas longtemps, je n’ai pas compris pourquoi, alors que ça semble être un évènement important appuyé par une cinématique, les pnj ne sont subitement plus sous son contrôle, serait-ce un ajout scénaristique de dernière minute mal intégré ?


Une petite pensé pour Zaveid aussi, qui voit tout le monde redevenir humain à la fin du jeu alors qu'on s'est acharné à buter sa femme en lui soutenant qu’elle n’était pas sauvable et que c’était donc le mieux à faire pour elle comme pour lui, je m'en suis voulu ahah.


Enfin, le final, pourtant pas mauvais dans le fond, m’a totalement laissé de marbre sur le plan émotionnel, j’aurais aimé verser ma petite larmichette mais rien, aucune émotion ne m’a envahi, le voyage ne prend jamais suffisamment aux tripes ou pas assez régulièrement pour se sentir impliqué et véritablement endeuillé de quitter cet univers, c’est dommage.



Voilà pour ce qui est des principaux éléments qui m’ont posé problème, il est temps de nuancer avec les points positifs ^^ :



C’est paradoxal mais malgré tout ce que je viens de dire le scénario est aussi le gros point fort du jeu, un récit de vengeance antihéroïque presque digne de The Last of US 2 dans un contexte religieux et fataliste qui aurait pu rappeler Final Fantasy X s’il avait été plus travaillé sur cet aspect. Clairement, sans tous ces petits défauts structurel et technique, le jeu avait le potentiel d’être vraiment marquant et le meilleur Tales of (parmi ceux que j’ai pu tester en tout cas). Les personnages de Velvet, Eléanore et Laphicet sont très intéressant, c'est rare d'avoir des personnages avec une évolution psychologique aussi conséquente et maitrisé. J’ai particulièrement apprécié l’ambivalence de Velvet qui réprime son humanité pour assouvir sa quête de vengeance quitte à sacrifier le monde et ses compagnons pour arriver à ses fins mais qui au fond ne peut cacher sa profonde tendresse et l’estime qu’elle conserve envers Artorius malgré tout. De leur côté Eizen et Rokurou m’ont moins passionné mais ne sont pas mauvais pour autant tandis que le comic relief de service Magilou et son acolyte Bienfu sont on ne peut plus efficace pour dédramatiser l’action et nous faire esquisser un sourire voir déclencher un rire sincère. Même Artorius est touchant dans son développement et c'est un bon antagoniste non manichéen et aux intentions noble, d'ailleurs Velvet ne cache pas le respect qu'elle lui voue paradoxalement à sa haine, cette relation particulière entre protagoniste et antagoniste est assez inédite.


De même qu’on se prendra d’affection pour le destin tragique d’Oscar et Teresa.


Seul Melchior prend des allures de véritable menace tant il semble omniscient et agissant dans l’ombre.


Par habitude des schéma narratif classique du J-RPG j’ai longtemps cru qu’il serait le True Last Boss, nous révélant qu’il manipulait Artorius depuis le début et qu’il était la véritable cause de la malveillance et des transformations démonique, ce justifiant par je ne sais quelle raison morale.


Bien sur les fameuses Saynète sont toujours de la partie, ces (très) nombreuses discutions contextuelles peuvent à la fois enrichir le lore ou éclaircir des éléments importants du scénario, mais permettent surtout de donner vie à la clique de héro en développant la personnalité et la genèse de chacun ainsi que leur rapport sociaux au seins du groupe par le biais de discussion banale du quotidien, je ne vous apprend rien en disant que c'est la générosité et la crédibilité de ses dialogues optionnels qui fait la force de cette licence. Je les ai trouvés particulièrement vivante dans cet opus grâce à un grand nombre de posture, d’animation labiale, d’expression faciale, entre autres procédés ingénieux comme des personnages qui peuvent survenir en arrière-plan pour donner un semblant de profondeur à la scène ou la couleur qui se transforme en effet blush afin d’appuyer la gêne du personnage. Après un Arise très décevant sur ce point (car plus dessiné et peu animé) c’était un retour aux sources vraiment appréciable. Pour ne rien gâcher les doublages Japonais et Anglais sont tous deux très qualitatif, c’est bien d’avoir le choix pour un jeu avec visiblement peu de budget et dont la licence est mourante (ou plutôt était car Arise semble s’être très bien vendu, il me semble même que c’est le plus gros succès de la licence et c’est tant mieux pour la suite).


Le gameplay une fois bien en mains (a défaut d’être véritablement maitrisé) est finalement assez plaisant, dans la droite lignée de la saga. C’est dynamique, riche et même si j’ai la fâcheuse tendance à ne jamais changer de personnage, il faut saluer sa capacité à varier le gameplay en donnant la possibilité de contrôle tous les personnages car d’autre jeux avec un budget, des moyens humain et un temps de développement considérablement plus élever ne sont pas fichu d’en faire autant avec pourtant 2 fois moins de personnages dans l’équipe (n’est-ce pas FFXV). J’aime également le système d’amélioration d’équipement et d’apprentissage de « compétence » à la manière de Final Fantasy IX, c’est simple et ça évite de rajouter une couche de complexité au gameplay déjà suffisamment danse, cependant la progression trop lente demande pas mal de farming et vue le nombre de loot on n’est jamais équipé du meilleur stuff, ce qui s’avère assez frustrant. Enfin petite nouveauté, les galcites qui octroie des bonus passifs permanant et se débloquent en accomplissant des actions spécifiques sont une très bonne idée pour récompenser l’implication du joueur. Plus ludique et efficace que de bêtes Trophée (tout de même présent je vous rassure) et tout aussi gratifiant, ces bonus ne pénalisent pas pour autant les joueurs qui feraient l’erreur de ne pas s’attarder sur les contenue annexe du jeu.


Car oui parlons du contenue secondaire, les rares quêtes annexes sont pertinentes et intéressantes, chacune étant centrée sur un personnage du groupe (à l’exception de Zaveid qui n’en fait pas partie) afin de les développer. S’ajoute à cela les monstres puissants et autres « code rouge » permettant de mettre au défis notre team tout au long de l’aventure ainsi que des donjon end game pour les plus motivés, sans oublier les ZA classe 4 pour simplifier le loot aux complétistes. Il y a également un jeu de carte dont les règles sont plutôt simplistes mais j’ai tout de même trouvé le principe sympa et il ravira les fans pour ses références à la saga. Les autres mini-jeux sont en revanche bien pourris hormis le jeu de service de table repris de Tales of Symphonia (si ma mémoire est bonne) mais nettement simplifier et totalement anecdotique. Bref, rien de très novateur en soit vous l’aurez compris mais on s’épargne les contenue remplissage de quêtes fedex insipide qu’on nous sert quasi systématiquement dans les grosses productions d’aujourd’hui donc c’est agréable ce côté old-school.


Dernier point à aborder, l’OST, je n’ai jamais été très fan de Motoi Sakuraba, j’ai apprécié sont travail sur Baten Kaitos et Tales of Symphonia qui avaient tous deux des pistes mémorables et une personnalité mais globalement pour ce qui est du reste je trouve ses compositions très lisses, au mieux fainéantes et au pire médiocre. Tales of Berseria s’en sort pas trop mal grâce à quelques piste réussi telle que le joviale thème de Magilou ou le mélancolique Main Title Thème (ou encore le surprenant thème des Minouz qui m’a fait beaucoup rire) mais dans l'ensemble on reste sur une ost peu inspiré, des mélodies pas fondamentalement désagréables mais souvent courtes et répétitives, elle manque aussi de variété d'instrument et par conséquent de corps/profondeur, comme étouffé dans leur enrobage synthétique. Pour le dire autrement c'est musicalement pauvre/superficiel et c'est dommage car c'est probablement ce qui rend le jeu émotionnellement plat. Aussi, le gros problème de cette bande son, ce qui l’empêche d’être marquante c’est qu’on associe difficilement un thème a un lieu, un personnage (hormis Magilou donc), une émotion ou un évènement


(Exception faite à la mort de Oscar et Térésa appuyer par une musique douce qui pose un climat de deuil et marque le froid qui se fait ressentir au sein du groupe en ne se coupant pas pour les combats temps qu’on n’a pas quitté la zone).


Parfois même on frôle la dissonance, il y a un vrai problème de structure et de mise en scène qui n’est pas forcément du au travail de Sakuraba mais a son intégration, ce qu'en a fait le studio. Autre exemple, la piste de la map ne boucle pas, une fois terminé il y a un blanc de quelques secondes avant qu’elle redémarre alors ok on peut dire que je pinaille ce n’est pas dramatique, ça ne m'a pas dérangé plus que ça mais sur le principe ce n’est pas très pro et ça ajoute au sentiment de "peu mieux faire" générale...



Bilan :



Voilà globalement pour ce qui est des qualités et des défauts de ce titre, un jeu difficile à apprécier (surtout au début) mais finalement pas aussi médiocre qu’il peut paraitre au premier abord, pour peu qu’on lui donne sa chance jusqu’au bout et qu’on se concentre davantage sur l’aspect psychologique et relationnel des personnages que sur la finesse d’écriture du scenario (qui n’est pourtant pas mauvais non plus dans les grandes lignes mais mal exploité) ou les détails de finition. A conseiller toutefois aux habitués du J-RPG car les néophytes risquent de vite abandonner devant la surcharge de didacticiel et la lenteur avec laquelle les éléments d’intrigue se mettent en place. Sur ce je vais me lancer sans plus tarder sur Zestiria en faisant fi de sa mauvaise réputation, puisque c’est censé être la suite de Berseria, ma foi, autant ne pas s’arrêter sur une si bonne lancé =) !

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le 11 janv. 2022

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Nixotane

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