Tout parait normal au premier abord pourtant quelque chose cloche, il n'y a aucune issue.
L'enfermement permet d'arrêter le temps pour nous mais l'horloge tourne et les responsabilités nous rattrapent. Chaque rappel de celles-ci même bienveillant est oppressant mais surtout demande un retour de notre part. Les flammes extérieures nous brûlent même à l'abri chez nous et si on fuit cette angoisse on s'enfonce encore plus. Birdie est selon moi la seule libération qu'une personne dans cet état peut apercevoir, il est la personnification d'une mort auto-infligée d'où cette scène finale. Que la balle nous touche nous ou Birdie le résultat est le même. Chaque moment passé dans cette situation fait grandir cette plante et pour cette fille elle a poussé jusqu'au point de non retour. Bref ce jeu est chouette mais il souffre de sa courte durée.