X ³: Reunion
7.2
X ³: Reunion

Jeu de Egosoft et Deep Silver (2006PC)

X3 est vraiment un bon, pas vraiment accessible, mais vraiment bon. Il faut aimer le genre : gestion, apprécier la lenteur du commencement : au moins dix heure avant d'avoir une affaire qui tienne à peu près la route et prendre plaisir à naviguer sans fin dans un espace qui paraîtrait presque infini.
Le jeu est complexe, profond. Le système économique révèle rapidement son incroyable complexité. Plusieurs races s'affrontent et échangent, les besoins fluctuent, les approvisionnement aussi.
Vous êtes lâchés là, au milieu de ce monde fourmillant sans autre explication qu'un scénario qu'on oubliera bien vite. Il faut vous débrouiller et choisir votre voix, rien n'est tracé, aucun guide, juste votre choix.
nibrunie
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste

Créée

le 16 juin 2010

Critique lue 646 fois

3 j'aime

1 commentaire

nibrunie

Écrit par

Critique lue 646 fois

3
1

D'autres avis sur X ³: Reunion

X ³: Reunion
CédricY
8

Critique de X ³: Reunion par CédricY

Un univers d'une liberté absolue. Un vieux jeu qui ne se dénature pas. Certes il est moins aboutis que sa dernière version X3 Albion prélude, mais la gestion des poins de vie des destroyers lourds et...

le 14 oct. 2013

Du même critique

Rayman
nibrunie
10

Rayman sans les lapins crétins

Un de mes tous premiers jeux. Que des bons souvenirs. Une direction artistique et un gameplay qui m'avait scotché à l'époque. Bon je devais faire un niveau par mois (les bons mois), mais c'était...

le 16 juin 2010

1 j'aime

Shrek 4 - Il était une fin
nibrunie
4

bon débarras ?

Ce dernier épisode de la quadrilogie sera sûrement le plus vite oublié. Le premier épisode m'avait beaucoup plus pour le ton différent qu'il employait : un conte de fée raconté de manière un peu...

le 3 juil. 2010

L'Illusionniste
nibrunie
8

humaine animation

Ce film d'animation m'a beaucoup plu. On le regarde en appréciant la touche graphique et en se laissant porter par le scénario. L'ambiance oscille entre légèreté et tristesse. On a toujours...

le 23 juin 2010