1990

Annotation :

Une première partie bien acheminé autour de la reconstruction de Nikita, la deuxième vire à l'action avec plus ou moins d'intérêt, comme si Besson ne pouvait s'en empêcher. J'aime bien la composition de Tchéky Karyo cela dit.

Annotation :

Jamais été un grand fan de Julia Roberts, mais je crois que sans elle Pretty Woman aurait vraiment été un film lambda. Quelques passages comiques, le film est simple mais compréhensible dans son succès. Richard Gere par contre, je ne peux pas.

Annotation :

Certes plus reposé que ses prédécesseurs, ce dernier film assure très largement son quota de distraction. La confrontation des époques est astucieuse dans tous ses petits détails. L'essentiel est qu'il conclut chaleureusement une trilogie que je vénère continuellement.

Annotation :

La fin je ne peux pas, c'est kitsch à souhait et difficile de ne pas la regarder avec moquerie. Mais tout le reste se tient solidement, avec un casting en roue libre et une violence qu'on ne voit plus aujourd'hui dans les films d'action.

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Rarement un film ne m'aura autant fait croire à la vie après la mort. Pourquoi? Parce qu'on a envie d'y croire en voyant cela. Malgré la fin pathos et un côté prévisible, c'est touchant, le couple Swayze-Moore est solide, et Goldberg énorme.

Annotation :

Quelle escapade ! Un road-movie quasi-spirituel parsemé de rencontres toutes plus étranges les unes que les autres. Ce sentiment d'imprévisibilité qui règne partout est particulièrement gratifiant. Et le couple Cage-Dern a quelque chose d'envoûtant.

Annotation :

Attention, gros chef-d'oeuvre ! Les Affranchis est un film de maître comme c'est pas permis. Des prestations hallucinantes, des scènes prodigieuses, un scénario imposant doublé de répliques immédiatement cultes. Simplement un film divin et parfait.

Annotation :

C'est culte, mais mon dieu qu'est-ce que ça vole pas haut. C'est sûr que c'est rigolo tout le côté "pièges", mais on fermera les yeux sur les improbabilités du truc car c'est une comédie, et une comédie résistante au temps.

Annotation :

Assurément le film de Tim Burton qui se rapproche le plus du conte, des personnages à la musique en passant par les nombreux symbolismes de l'histoire. Les années n'ont en rien terni la magie d'Edward aux mains d'argent, même si je lui trouve quelques raccourcis.

Annotation :

On conçoit que ce n'est pas à la hauteur des deux premiers, pour autant on reste fasciné par la figure de Michael Corleone et je crois que le film apporte au moins une conclusion satisfaisante à cette trilogie et à ce personnage indémodable.