2002 - 2014 - 12Y - 36A

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Une belle classe/claque pop anglaise de haut vol, un album froid et chaud, à moins qu'il ne soit chaud et froid. Je médite encore.

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Une voix nazillarde mais enfin un album qui nous fait oublier le côté varietoche ou superbowl de ce gars qui, quand même, avouons-le a un sacré feeling popblues (cékoica ?)

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Du rock'n'roll gras pour les meilleurs enfants du couple Blues/Devil

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Il est pas si bon hein, on est d'accord. Mais on était juste avant le pire : l'époque des stades. Rien que pour ça on peut le réécouter encore aujourd'hui et on a même le plaisir de constater qu'on se souvient de deux ou trois morceaux.

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Un album très classic-rock pour du Bowie, mais c'est aussi celui de sa dernière tournée avant la suite que l'on sait. Et puis mince, même en faisant simplement du rock, le gars il est au dessus d'un bon paquet d'autres.

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Chef d'oeuvre posthume et inachevé du maître punk qui n'a jamais été punk ni même fait du punk

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Le début de la fin aussi... Mais bon ça passe tout seul comme quand tu mets RTL2 sur ton autoradio.

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Dernier album avant d'être définitivement crispé par les le côté geignard et grandiloquent. Des riffs qui attaquent bien, comme de la musique militaire.

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Rock + Sexe

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Pépite garage absolument méconnue et pourtant tout est là : le chant, les guitares, le style.

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Oui, comme tout le monde, à un moment tu flashes sur le riff de "Take Me out" et tu écoutes l'album, non le morceau en boucle. Et après tu retournes quand même à Gang Of Four qui a fait 10 fois mieux plus de 10 ans avant.

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Les puristes du rockabilly détestent, les puristes du psychobilly détestent, les gothiques détestent, les punks détestent. Rien que pour ça et pour le jeu de contrebasse et de guitare, t'es obligé d'aimer.

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T'écoutes du blues, du blues, du blues, et d'un coup tu entends BRMC. Et là tu te dis, cool du blues V. 2.0. Ces gars là ont tout compris. Et puis après tu te fatigues de la rangaine on est des motards.

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Un petit belge méconnu, et pourtant y a plus de pop, de rock, et d'inventivité là dedans que dans la moitié des albums anglais de la même année.

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On commençait drôlement à s'ennuyer dans la sphère punk française en 2005. Et un jour, on apprend que t'organises des concerts punk, alors on t'envoie sa galette. Et là, bim, du punk-rock français de bon ET de mauvais goût en même temps. Fusion réussie des Cadavres et des Wampas.

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En 2005, que dire d'un énième album du Mc Cartney... si ce n'est qu'encore une fois tu te laisses attendrir. L'album, tu t'en fous, c'est juste que ça te rappelle des morceaux que t'as déjà entendu 1000 fois, ceux des Beatles et de tous ceux qui les ont pompés ensuite.

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Un an plus tard, le deuxième ! Quelle productive, et d'un coup un son plus rock et plus punk. La preuve, la contrebasse est maintenant cassée sur la pochette. Délicieuse chanteuse.

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Y a pas à dire, en 2005 ça fait pratiquement 10 ans qu'ils sont là (et dix ans après ils sont toujours là) et à chaque fois c'est la claque rock et stoner (OK stoner commercial mais c'est pas un gros mot dans ma bouche).

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Ce n'est pas du blues, ce n'est pas du rock, ce n'est pas du métal. C'est une grosse voix, une guitare acoustique jouée électrique, et le combo français le plus rock'n'roll de l'année.

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Blues + Sexe

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T'as jamais aimé la country ? Moi non plus. Et d'un coup t'as un gars qui t'amène un mélange de blues, de folk et de country, sur fond d'ouragan Katrina, et là tu t'ennuies pas une seconde.

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Les punk, non les pop, non les punk, non les pop, non les punk Buzzcocks effectuent un retour réussi et un peu bedonnant, mais non sans leur évidente classe anglaise.

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Alors que tu t'ennuyais en France Punk (cf année 2005), l'un des groupes rock alternatifs mythiques de la décennie précédente t'offre une galette qui te file un sacré coup de poing. Du rock, du punk, des textes et une reprise de Bang Bang qui t'achève.

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Ha bah mince, là encore du blues mélangé à de la pop. Et là encore des belges. Ils sont fous et on danse.

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System of Down (et pour cause) version romantique.

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Pearl Jam, Pearl Jam, Pearl Jam quoi ! Et sans doute le moins grunge de leur album, mais des balades acoustiques qui préfigurent les chansons que Vedder prépare pour la BO d'Into The Wild peu après.

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Les revoilà eux tiens. Quelques années après, pas mal de bars miteux et mythiques sont passés par là. Et une belle inspiration pour des morceaux qui malheureusement commencent à sonner trop Guerilla Poubelle. D'ailleurs on ne suivra plus au delà de cet album.

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Quand tu regrettes Hellacopters pendant des années et que d'un seul coup le chanteur te sort un album où chaque morceau incarne chaque enfant du rock (hard rock, pop, rock 60's, rock 70's) à la perfection, tu retrouves le sourire. Inconvénient de cet album : taillé pour les autoradios, tu oublies bien vite chaque morceau une fois sorti de la voiture.

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Rigolo, 10 ans avant t'écoutais déjà les débuts de ce groupe que personne ne connaissait et qui traînait dans des rades obscurs du fond des états-unis, pour défendre leur blues crade... Et d'un coup y a plusieurs milliers de personne autour de toi qui veulent te faire découvrir un groupe incroyable... Allez, on fait pas son snob et on reconnait qu'ils ont évolué vers un truc à la fois terriblement mainstream (indépendamment de leur volonté sans doute) et en même temps dont la recette prend immédiatement.

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Et si le meilleur groupe rockabilly du monde était de Suède et des années 2000 et suivantes ?!! Étonnant, non ?