2019, pad en main

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Fini le 28/01

Depuis le temps que j'entends parler de ce jeu d'action à l'ambiance totalement pétée, et qu'il me fait de l'oeil pour diverses raisons, c'est avec une certaine fébrilité que je lançait le jeu sur ma switch. Déjà, première chose à dire, ça tourne bien, c'est fluide en plus ou moins toute circonstance et c'est un point non négligeable, vu la nature du titre. Je m'attendais peut-être à ce que ce soit un peu plus fin graphiquement, globalement on sent bien que c'est un jeu qui va bientôt fêter ses dix ans (assez aliasé, des textures parfois assez étranges...) mais ça n'entrave en rien le plaisir de jeu. Car autant le dire clairement, Bayonetta est un jeu sacrément kiffant ! On m'avait fait tout un foin sur l'exigence du jeu et sa difficulté, et franchement, y a un peu d'abus je trouve. Certes le jeu n'est pas facile en mode normal, et je suis mort très souvent, mais globalement je suis jamais resté bloqué bien longtemps. Après je dis ça, mais bon, niveau score j'ai du me taper une statue en pierre comme récompense de fin de niveau près de deux fois sur trois, donc je suis encore loin de maitriser le bousin, mais ça n'empêche pas les rixes d'être diablement fun et frénétiques. Cependant, même si j'étais déjà au courant, je regrette quelque peu un certain recyclage au niveau des boss qu'on va au minimum affronter deux fois chacun dans des versions différentes. Je pense nottament au niveau de la tour qui m'a rappelé l'un des derniers niveaux de DMC4 avec les dés, et où on raffrontait les anciens boss une troisième fois. C'était insupportable dans DMC, c'est quand même un peu plus sympa dans Bayonetta, faut le dire. Par contre les QTE pour lesquels il faut avoir des réflexes de saiyan, c'est juste pas possible, on est quasi obligé de crever au moins une fois et du coup ça flingue le score de fin de niveau de façon totalement gratuite. Après, sans réellement parler du gameplay pur, j'ai bien aimé l'aventure globale, c'était étrangement rythmé pendant la première partie, mais ça passe, la mise en scène extrêmement stylisée m'a bien plu, pareil pour l'ambiance musicale assez cool, ainsi que la diversité des situations avec des scènes parfois bien étonnantes. Bon après, pour ce qui est de l'histoire c'est clairement pas très intéressant en plus d'être plutôt alambiqué et difficile à suivre. Qu'à cela ne tienne, c'est pas pour ça que je joue à Bayonetta, et je suis bien curieux de faire le 2 qui, parait-il est encore un cran au dessus !

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Fini le 09/02

https://www.youtube.com/watch?v=2Sl7lkKWI_M

Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce Silent Hill Shattered Memories prend des risques ! Des risques plus ou moins bien gérés, mais tout de même, il essaie de bouleverser la "formule" Silent Hill, et y parvient sans jamais dénaturer la saga, et pour ça, respect ! Au final, ce Shattered Memories tient plus de ce qu'on appelle aujourd'hui un "walking simulator", que d'un Survival Horror plus classique. Car dans cette réécriture de Silent Hill, point d'armes ni munition, et encore moins d'objets de soin, et de même on ne stresse plus à n'importe quelle occasion car un monstre pourrait nous sauter dessus à tout moment, puisqu'ici les monstres ont disparu d'une bonne moitié du jeu. Ici, on marche, on se balade, on observe et on essaye de comprendre un peu le passé de ce qui nous entoure. On trouve parfois des bibelots qu'on peut tourner dans tous les sens, on immortalise des silhouettes figées dans un souvenir transparent. Et quand le froid glacial de la nuit reprend le dessus, on fuit, comme le lâche qu'on incarne, courant à toute berzingue à travers un dédale obscur et opressant, dans des phases pénibles à jouer, et donc cohérentes avec la volonté du jeu. Point de dissonance, seulement une cohérence jusqu'auboutiste. Cette fuite permanente s'achève ici de façon abrupte, mais efficacement préparée, par un twist qui est venu totalement flinguer toutes mes théories. Finalement, la seule chose que je pourrais réellement reprocher au jeu n'est imputable qu'à la console sur laquelle je l'ai parcouru, à savoir la Wii, et sa reconnaissance de mouvement toute pétée. Maintenant, et comme pour Silent Hill 2, l'esprit est maître en ces lieux abandonnés, face à ces souvenirs, laissés à l'abandon, que je ne suis pas prêt d'oublier.

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Fini le 24/02

Je dois être trop vieux pour ces conneries, je vois que ça. Globalement le jeu est sympa, avec un style graphique tout ronron et une ambiance du même acabit. Le gameplay peut paraitre assez déroutant, car jouable d'une seule main, et basé sur la reconnaissance de mouvements. Au final on s'y fait rapidement, même si on aurait du avoir le choix entre un gameplay à la reconnaissance de mouvement, ou quelque chose de plus classique, comme le proposait Tropical Freeze. D'autant plus que le jet de pokéball a parfois tendance à ne pas du tout suivre notre mouvement, difficile dès lors de tenter des lancés un peu plus techniques ou précis. Mais bon au final, peu importe de tout ça, c'est pas dramatique. Non, mon problème est simplement que je me fais chier à force sur ce con de jeu. Passées les 20 à 25 premières heures à farmer des captures et à progresser de façon extrêmement répétitive, le manque de réelles variations rend le tout relativement laborieux. Alors comme je disais, ptet que la formule Pokémon m'a gonflé, c'est fort probable, peut-être que si j'avais 6~7 ans de moins, j'aurais adoré, c'est possible. Aujourd'hui, je trouve ça juste trop chiant. Cependant, j'ai toujours un affect pour la licence, et je suis très curieux de voir ce qu'ils vont faire pour le vrai nouveau jeu ambitieux censé sortir cette année. J'attends juste des nouveautés et une aventure moins monotone, ils peuvent complètement y parvenir.

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Fini le 26/02

Par où commencer... Tout d'abord, je dois bien dire que je suis déçu. Je savais que le jeu était le moins bon des quatre premiers, que les réactions étaient mitigées, mais j'avais envie d'y croire. Tout d'abord parce que Silent Hill 2 est probablement la plus grande oeuvre vidéoludique jamais créée, et que de base, je me considère comme un fan de cette licence. Mais aussi parce que merde, ce con de jeu tente des trucs ! Alors certes, on perd totalement certains éléments iconiques de la licence, à commencer par le combo radio/lampe-torche, ou encore les déambulations dans les rues embrumées de Silent Hill, d'ailleurs la brume a quasiment disparu de cet épisode. Mais ça fait plaisir de voir le Team Silent essayer de nouveaux trucs, et ces nouveautés sont globalement le bienvenue. J'aime l'idée des fantômes, j'aime l'idée d'avoir un antagoniste serial killer, j'adore le concept de l'appartement, et tout l'aspect voyeuriste qui s'installe de façon routinière, et j'apprécie le fait d'incarner un type qui n'a rien de spécial, qui se retrouve juste là au mauvais endroit, au mauvais moment. Tout partait très bien. Puis vient le chapitre de l'hopital, très court, mais intense, avec ces fauteuils roulants et puis cette tête (qui aura, je pense, marqué plus ou moins tout le monde), et là on se dit que ça y est, le jeu est lancé ! C'était sans compter sur une deuxième moitié de jeu qui n'est simplement pas palpitante du tout. D'un coup, sans nous dire pourquoi ni comment, v'la-t-y pas qu'on se retrouve à devoir parcourir une deuxième fois la quasi totalité des stages, dans une version quelque peu modifiée, le tout en se coltinant un personnage à escorter. Incompréhensible. Et à ce moment là, le jeu cesse d'être intéressant préférant nous plonger intégralement dans la monotonie et le déjà-vu. Cette histoire de devoir se retaper toute la première moitié du jeu avec des objectifs différents ne serait, je pense, pas un problème si le jeu parvenait à créer des moments d'intensité, de surprise, de choc, et à maintenir une tension à toute épreuve. Sauf qu'au bout d'un moment, quand ça devient moins dangereux de tracer comme un dératé à travers tout le niveau, que de tenter l'affrontement ou la furtivité, dans un survival horror, je considère qu'il y a un problème. Silent Hill 4 a un problème. Cependant Silent Hill 4 reste un bon jeu, et je suis content de l'avoir fait, mais il aurait pu être teeeeellement mieux. C'est dommage.

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Fini le 02/03

On prend les mêmes et on recommence, Bayonetta 2 est la suite évidente au premier Bayonetta (merci Captain Obvious), ça transpire par tous les pores ! L'ambiance, le gameplay, les persos, la mise en scène tout est cohérent avec le précédent épisode, et c'est tant mieux, car celui-ci était déjà très bon sur beaucoup de points. Ici, c'est pareil, on est donc pas dépaysé, et c'est encore mieux (youhou !) Les points qui n'avaient pas besoin d'être améliorés restent excellents (ce gameplay NOMDEDIOU) et le reste s'avère plus convaincant que par le passé. Je pense notamment au scénario qui est bien plus simple à suivre que par le passé et bien plus rythmé, même s'il n'est pas non plus très intéressant. Cette aventure multiplie les instants de bravoure dantesque, et les séquences de fou-furieux, comme la phase de "surf" sur la tornade d'eau, ou toute la traversée des enfers. En plus de ça, le jeu est très agréable pour les yeux, bien plus que par le passé. Et sans parler de l'aspect technique, le jeu s'avère bien plus coloré, dépaysant et artistiquement réussi que le précédent, ce qui fait grandement plaisir. Mais tout ça ne serait rien sans ZE point important, à savoir le gameplay, et fort heureusement, celui-ci est très réussi. Mieux que ça, il est grisant ! J'ai retrouvé ces sensations que j'affectionnais tant en jouant à God of War (pas celui de la PS4, faut pas déconner), ce plaisir simple de péter des bouches de façon frénétique et stylée. Et pour ça, je te remercie tellement Bayonetta 2, tu es très clairement le jeu le plus amusant auquel j'ai joué cette année (en même temps, j'ai pas encore joué à grand chose loul), et j'ai très hâte de te revoir dans une troisième aventure, en espérant des nouvelles à l'E3. On croise les doigts !

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Ragequit au bout de 20h le 18/03

Kingdom Hearts 1, depuis le temps que j'en entendais parler, j'avais bien envie de le découvrir ce crossover entre Final Fantasy et disney, d'autant que je m'étais essayé au deuxième épisode, il y a de cela des an-nées. Bon, bah autant le dire, c'est pas la douche froide, mais un peu quand-même. Déjà, premier constat, qu'est-ce que c'est que cette caméra qu'est partie aux champignons ? Sans rire c'est n'importe quoi, je sais pas combien de fois j'ai ragé sur cet aspect, mais sérieusement c'est juste pas possible, d'autant plus que le gameplay est très pauvre de prime abord. On a aucun combo, aucune compétence on se contente de bourrer la touche d'attaque comme pas permis, et c'est juste pas amusant. Alors bon, au fur à mesure de la progression, on débloque des mouvements, des combos qu'il faut répartir en fonction de notre nombre de points de compétences disponibles, et on découvre le système de raccourci qui facilite grandement les joutes. Au final, le gameplay est sympa, on s'amuse bien au bout d'un moment, mais le début est quand même sacrément laborieux. Par contre je ressens une certaine déception au niveau des mondes qui sont vraiment tout petits c'est dingue, genre le level Peter Pan, c'est ni plus ni moins qu'un bateau. Hallucinant, Alice au pays des merveilles, c'est pareil, c'est trois, peut être quatre salles, dont une dont on va également visiter les murs. Et non seulement c'est tout petit, mais en plus c'est relié par des phases en vaisseau juste nulles, y a pas d'autre mot. Heureusement celles-ci peuvent se voir presque effacées assez tôt dans le jeu. A coté de ça, le jeu nous sert un scénario assez peu palpitant à base de pouvoir de l'amitié et toutes ces sortes de choses, et qui n'est même pas sauvé par une version française absente du portage HD, foutage de gueule relativement (et j'insiste sur la notion relative) compréhensible. Au final, je ne suis pas allé jusqu'au bout de l'aventure, ayant considéré avoir accordé suffisamment de mon temps à ce jeu, passé les 20h, et après ce qui, me semble-t-il aurait très bien pu conclure le périple après mon premier passage dans le Hollow Bastion. J'ai regardé la suite sur Youtube pour pouvoir pleinement aborder soit Chain of Memories, soit KH II en fonction de ma motivation à découvrir la saga.

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Campagne Claire finie le 24/03

Autant, j'ai adoré de bout en bout l'aventure, autant, je ne peux pas m'empêcher d'avoir un goût amer dans la bouche quand je me dis qu'il faut compter sur le remake d'un jeu qui a plus de 20 ans, pour proposer une expérience parfaitement rythmée et saisissante, mettant l'exploration et le suspens à l'honneur. On arrête pas le progrès ! Qu'à cela ne tienne, RE2(019) c'est super top ! Comme dit, ça fait du bien de revenir à ce système de jeu d'antan, à base d'environnement à explorer, de clés à trouver pour devérouiller telle porte qui renferme tel passage secret, menant à tel item salvateur. En fait c'est tout con, mais ça me fait terriblement penser à du Metroidvania, et moi j'adore ça le metroidvania. Ce sont des jeux qui, je trouve, dégagent un sentiment assez unique quand on finit par connaitre ces environnements par coeur à force de les arpenter et de découvrir de nouveaux trucs à chaque passage. Et le jeu parvient formidablement à casser la monotonie qui pourrait s'installer, en donnant donc accès à de nouvelles armes, upgrades, ou bien en rajoutant des mobs dans une zone déjà explorée, tels des Lickers, ou encore cet incroyable Mister X, terriblement impressionnant et menacant. Rien que l'introduction de ce personnage balance direct la purée, un grand moment ! Et puisque je parle de ce Mister X, je dirais que Resident Evil 2(019) parvient à merveille à créer un suspens et une tension palpable, qui éclate toujours au parfait moment dans un feu d'artifice qui laisse sans voix. Je dirais pas qu'on a peur quand on joue au jeu, mais on est clairement pas rassuré, que ce soit à cause des zombies qui peuvent nous vider un ou plusieurs chargeurs de pistolet de par leur résistance, ou ne serait-ce que quand on entend les pas du Mr X se rapprocher inexorablement, alors qu'un licker nous fait face. En un mot comme en cent c'est la panique ! Je reprocherai simplement les phases de Boss je dirais. On affronte toujours le même streum, et les fights sont peu intéressants, et quand bien même ils font grimper l'adrénomètre d'un cran, ils ne sont pas très compliqués. Je suis mort une seule fois lors d'une phase de boss, et c'était le boss final, que j'ai vaincu en bourrant comme jaja. Cela n'est pas un gros problème cependant, et j'ai hâte de me lancer dans la campagne de Bis de Léon, dans un moment, histoire de ne pas arriver à saturation au milieu du chemin !

EDIT : deuxième campagne finie, mon avis change pas, c'est du très lourd !

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Fini le 22/05

Vanquish est un jeu énorme, péchu, dynamique, diablement fun et qui se renouvelle parfaitement sur sa courte durée de vie, qui n'est finalement pas un défaut, c'est ni trop court, ni trop long, c'est juste parfaitement rythmé. Et ce malgré un scénario inintéressants à base de méchants soviétiques de l'espace qui détruisent une ville de les états unis de la terre, et que la présidente de les états unis de la terre (pour citer ce cher Pseudoless) elle aime pas trop ça et que donc, on va casser du robot pendant cinq heures avec notre super armure. Comme dit, l'intérêt est dans le rouge tellement qu'il est inexistant, mais au moins ça prend pas trop de place par rapport à ce qui nous intéresse vraiment, à savoir défourailler du robot de façon frénétique. Le problème, et c'est purement personnel, c'est que c'est juste trop rapide pour moi, j'ai parfois vraiment du mal à suivre, et jouer une demi-heure de suite me vide de mon énergie comme pas deux. Je saurais pas expliquer pourquoi Bayonetta ça passe et pas ce Vanquish, peut être la caméra bien plus proche et, par définition, mobile, dans ce dernier, mais force est de constater que bon, Vanquish est un jeu épuisant. En soi il mérite clairement une meilleure note (au moins d'un point), mais ce con de jeu m'a juste bien trop fatigué pour l'obtenir.

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Fini le 31/05

Je ne sais pas par où commencer. Red Dead Redemption 2 est incroyable, il faut dire ce qui est. Qu'on apprécie ou non ce jeu, il est indiscutable que l'expérience proposée est hors normes, ne serait-ce que par son parti pris de lourdeur, qui pourra certes en décourager plus d'un. Autant le dire de suite, j'ai adoré l'aventure, c'était quelque chose d'assez fou. Bon c'est pas le premier Open World que j'ai fait, et c'est pas non plus le mieux fichu sur ce point, autant être clair, Breath of the Wild étant bien parti pour rester LA référence du genre, à juste titre. Il y a aussi d'autre problèmes, comme une certaine répétitivité, ou un manque de fun assez évident (contre toute attente, c'est pas forcément palpitant de brosser son cheval, et nettoyer ses armes régulièrement). Mais en toute honnêteté, tout ça, je m'en fous royalement. Parce que ce RDR 2 propose une expérience qui me parle. Une expérience lente, qui laisse respirer ses personnages, son histoire, son décors, dans une cohésion et une cohérence qui m'ont laissé sans voix. Certains reprochent qu'on ne joue pas vraiment à RDR 2, ce avec quoi je suis entièrement d'accord, sauf que ce n'est absolument pas un problème pour moi. Je n'ai effectivement pas beaucoup joué à Red Dead Redemption 2, je l'ai en revanche pleinement vécu. J'emploie probablement un terme bien trop fort, mais eh, c'est comme ça que je l'ai ressenti. Je ne lançait pas le jeu pour m'amuser, mais pour me poser quelques heures dans cet univers sauvage et apaisant, faire deux trois bricoles pour tuer le temps, avant de découvrir la suite de l'histoire. En fait, ce jeu, c'est un peu comme une série télé qui ne s'arrête pas entre les épisodes, jusqu'au dénouement final, qui arrive un peu tardivement je trouve, mais bon. Et si l'histoire n'est, en soi, pas sensationnelle, elle est racontée avec une certaine justesse, et met en scène des personnages de grande qualité. Et j'aurais encore plein de choses à en dire, mais je le ferais probablement lors d'une critique, quand j'aurais probablement refait le premier Red Dead Redemption, dont je garde, au final, assez peu de souvenirs. En tout cas ce RDR 2 est clairement un immense coup de coeur, que je ne suis pas prêt d'oublier

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Fini avec le Ki le 01/06

Avant tout, je tiens à préciser qu'on a fait l'intégralité du jeu avec Richter, car j'aurais probablement pas eu le même ressenti si on avait incarné Maria, tant la différence est abyssale. En tout cas faut le dire, c'était très bien, malgré un certain nombre de passages relativement prise de tête (saloperie de tour de l'horloge), l'ambiance est là, le challenge est là, et c'est juste un plaisir à jouer, disons le clairement, même si, j'avoue que j'aurais rajquit (ou utilisé Maria) si j'avais pas joué avec le Ki, tant certaines séquences semblent sorties tout droit du fin fond des enfers.

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Fini le 03/06

Autant être clair, ce Chains of Olympus, en terme de jeu pur, représente le niveau 0 de la prise de risque. C'est God of War 1, avec une histoire inintéressante et confuse (malgré un petit coup d'éclat), et qui est censé tenir dans la poche. Ni plus ni moins. Donc forcément, ça sent fort le déjà joué, et en plus, c'était mieux fichu, et plus intéressant dans les épisodes PS2 (en même temps, voilà quoi. Mais bon sang, ça fait du bien de rejouer à un God of War comme ça, surtout après ma déception God of War 4, que j'ai toujours pas digéré. C'est pas inventif, c'est court, et le scénario est inintéressant, mais c'est marrant et c'est un vrai God of War, peu ambitieux certes, mais un God of War malgré tout, et ça, ça fait toujours plaisir. En plus il coute trois fois rien aujourd'hui, alors autant en profiter sans s'emmerder avec la rentabilité ou non de la durée de vie.

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Fini le 09/06

Eh bah voilà, ça c'est ce que j'appelle un God of War 4 nomdediou ! On reprend les mêmes et on recommence, Kratos, un bateau, la mer déchainée, une énorme créature marine à aller dessouder, y a comme un air de déjà vu, mais en même temps des petites nouveautés de gameplay viennent apporter un nouveau coup de fouet aux affrontements. De même, la mise en scène est vraiment ahurissante pour de la PSP (HDifiée certes, mais PSP quand-même), il suffit de voir tout le passage dans la ville avec le volcan en érruption derrière pour s'en rendre compte, Ready at Dawn ont mis les petits plats dans les grands. Le tout étant servi par des environnements nombreux et sympathiques, et un game design qui sent un peu moins le copié/collé, une fluidité à toute épreuve, une musique dans la continuité des précédents épisodes, et surtout des moments d'une très grande intensité, comme ce team-up final ultra-kiffant. Les combats sont d'ailleurs plus intéressants que dans Chains of Olympus, grâce à de nouvelles features, et un challenge bien plus présent (bien que mon plus grand ennemi dans le jeu fut ces phases de plate-forme/poutres à la mords-moi-l'noeil). Bref, du très lourd quoi ! Et j'ai bien envie de le tester sur son support d'origine, si jamais je m'achète une PSP un jour prochain.

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Fini le 15/07

Eh bien voilà, ça, c'est fait, et je suis content de l'avoir fait, même si je pense être un peu passé à coté du titre. L'atmosphère est là, c'est enchanteur, dépaysant, tout ce que vous voulez, tant sur le plan visuel que du coté musical, c'est excellent, y a pas d'autres mots. Aussi j'avais des doutes sur le gameplay au début, mais finalement, s'il ne s'étoffe pas énormément, il reste agréable à prendre en main, et les différentes combinaisons d'armes permettent d'éviter la monotonie. Le problème à mon sens, c'est que le jeu n'essaie pas de nous faire vivre une épopée, mais un récit de plusieurs contes plus ou moins reliés par un fil rouge. C'est pas tant un problème en soi, simplement, quand je fais un jeu comme Okami, je cherche à vivre une grande aventure, et non plusieurs petites aventures. J'ai assez mal vécu le fait de terrasser le grand méchant de l'histoire au bout de 20h de jeu, pour qu'on me dise que j'en était à peine à la moitié ! Cependant, le jeu parvient à bien se renouveler et à rester intéressant malgré un challenge quasi inexistant (excepté les derniers Tosenbo qui m'ont obligé à maroufler comme jamais). Aussi je ne suis clairement pas fan du délire un peu SF dans lequel le jeu s'embarque dans sa dernière ligne droite. Il en reste tout de même un univers dingue avec des morceaux de bravoure et des séquence d'émotion réussis, et un jeu qui se parcoure sans déplaisir aucun !

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Fini le mode aventure le 14/08

Bon, eh bien ça n'évolue pas une seule seconde, vraiment, ce mode aventure est là pour dire que. Il n'a aucun espèce d'intérêt. Le concept des esprits est intéressant, mais si c'est pour qu'au final on se retrouve à switcher entre cinq ou six esprits primaires et une vingtaine de secondaires, quel intérêt d'en mettre plus de 1300 ??? Si autant le jeu allait vraiment à fond, en proposant une petite présentation rapide de l'esprit, et de la série, je dirais pas, mais là même pas, on se retrouve à collectionner des cartes qui n'ont aucune plus-value, c'est con quand même, d'autant qu'il me semble bien qu'auparavant Nintendo s'étaient cassé le cul à faire des modélisations 3D pour tous les personnages et éléments, et qu'on pouvait observer sous toutes les coutures. Là non, c'est juste des vieux artworks inutiles. Grosse déception pour ce mode aventure, bien que je n'en ai pas vraiment décroché depuis que je m'y suis lancé. J'enchainais mes 500+ matchs sans vraiment réfléchir, de façon machinale, et de temps en temps un combat s’annonçant un brin plus technique vient "relancer l'intérêt". Y a quelques bonnes idées, mais on se retrouve devant le jeu typique qui essaie d'en faire trop, plutôt que de faire bien. CEPENDANT ! Mon avis émis lors de la précédente liste tient toujours. C'est un jeu éminemment fun, facile à prendre en main et qui permet à n'importe qui de s'amuser avec un roster presque irréprochable, une ost de folie (forcément) et qui propose de très bons moments de jeu. Juste que ce mode aventure, c'est pas possible, et l'émissaire subspatial me manque.

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Fini le 21/08

Le jeu repose sur un concept intéressant, mais s'avère vite très répétitif car exclusivement basé sur des allers-retours et plombé par quelques maladresses qui viennent vraiment gâcher le plaisir. C'est joli, ça ne fait aucun doute, la DA est très chouette, je regrette juste quelque couleurs parfois assez violentes qui font un peu mal aux yeux à force. Si c'est le seul truc qu'a trouvé le jeu pour me faire pleurer, c'est à revoir. A signaler également une histoire certes touchante, mais dont j'avais déjà saisi le propos au bout d'une demi-heure de jeu, ce qui m'a rendu bien plus difficile le fait de me laisser porter par le récit, et donc mon implication s'est largement vue amoindrie. J'ai envie de dire que ça aurait été plus intéressant en temps que court-metrage, mais la structure narrative même ne s'y serait pas prêtée. En un mot comme en cent, je suis perplexe, mais ça reste une petite aventure sympathique, toute ronron et un peu faussement tire-larme sur les bords.

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Fini le 27/08

On va me traiter de rageux, ça ne fait aucun pli, mais comment une équipe réduite, avec un budget modeste, a réussi à faire en trois ans un jeu aussi supérieur au dernier God of War qui, lui, a bénéficié d'un budget colossal, et d'une équipe probablement tout aussi importante et non dépourvue de talent ? C'est une véritable énigme. Alors on me dira que les deux jeux n'ont rien à voir, ce à quoi je répondrai que c'est faux, étant donné qu'il s'agit, dans les deux cas, d'un voyage initiatique d'un personnage tatoué trimballant avec lui les restes de son défunt conjoint dans un monde emprunt de mythologie scandinave, et dont le voyage fera obligatoirement un détour par Helheim. Il y a un réel rapprochement à faire entre ces deux jeux, et l'avantage ne va clairement pas pour les aventures de ce cher Kratos ! Hellblade est donc un bon jeu, avec une narration solide, bien qu'un peu trop présente à mon goût, avec cette profusion de voix intérieures, et qui peine malheureusement quelque peu à se renouveler sur la durée (ça va que le jeu est court !). Au bout d'un moment, enchainer les énigmes en mode "jeu d'éveil" et les combats similaires dans des arènes closes plus ou moins restreintes (engendrant alors possiblement d'agaçants problèmes de caméra folle). Cependant, l'ambiance est là, les combats, s'ils sont trop nombreux, sont malgré tout assez plaisants à faire, de même pour les énigmes, et il y a quand même de très chouettes moments, et tout un passage bienvenue, et bien placé qui vient un peu casser cette monotonie. Bref, c'était bien, j'espère que Santa Monica Studio en prendra de la graine pour God of War 5, l'espoir est toujours "permis" !

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Arrivé au monde 5, full co-op canapé avec Sympho le 13/09

Très similaire à sa suite, ce DKCR est cependant inférieur à mon sens en raison de l'absence de phases aquatiques, ainsi qu'à l'impossibilité de jouer sans la reconnaissance de mouvement à la mords-moi-l'noeil de la wiimote. On était également d'avis que cet épisode Wii possède une plus grande difficulté que sa suite. Difficile cependant de savoir si le jeu est effectivement plus ardu, ou bien s'il s'agit simplement de la maniabilité à la branlemote qui vient biaiser ce ressenti, mais à en juger par notre nombre de mort respectif, j'ai bien l'impression que cette deuxième possibilité s'avère plausible. Bref ça reste un excellent jeu de plate-forme, avec une bande-son de grande qualité et qui vaut trèèèèèès clairement le coup d'être joué, encore à ce jour, et même si sa suite le surpasse en tout point.

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Fini le 23/09

N'ayant qu'à peine joué au jeu d'origine, sur Gameboy, je n'ai aucune espèce de nostalgie vis à vis de Link's Awakening, contrairement à Ocarina of Time ou Wind Waker. Tout ça pour dire que si j'ai adoré ce remake, c'est clairement pas en raison d'un quelconque aveuglement. Parce que oui, j'ai adoré ce remake de Link's Awakening ! Si techniquement ça ne me semble pas casser trois pattes à un canard, la patte graphique et les designs me parlent vraiment, c'est beaucoup trop ronron pour me laisser insensible, et je comprends pas comment on peut être déçu de cette DA, faudra m'expliquer un brin. Y a un charme indéniable, et une ambiance aux petits oignons, notamment dû à la bande originale de grande qualité (même si quelque themes ne sont pas ouf). C'est con hein, mais il se passe quelque chose, y a comme une simplicité qui relève finalement de l'évidence et rend certains moments vraiment poignants. Alors y a pas énormément de morceaux de bravoure, et il pourrait manquer un certain souffle épique, mais il se dégage un tel sens de l'aventure avec un grand A, que finalement, l'intérêt est ailleurs. Vraiment ça fait du bien par où ça passe, et ça me donne envie de relancer une partie de n'importe quel Zelda "de mon enfance"... Ce qui n'arrivera probablement pas de si tôt

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Lâché en cours de route en septembre, aux environs du chapitre 8

Je sais que j'étais sur la fin de l'aventure, mais non, j'en ai eu marre, marre de cette répétitivité (tant des environnements, que des tâches à accomplir, ou tout simplement de la structure même du jeu, et des chapitres qui le forment), de ce scénario prévisible et typique du shonen neuneu qui a vite fait de me gonfler, de ces phases d'enquête qui ne sont là que pour exploiter un minimum le gimmick d'incarner un flic, et qui n'apportent rien au delà, tout en étant ultra dirigiste dans ces phases là. Sérieusement, okay les combats sont cools, assez techniques, et tout autant épiques, l'OST est stylée, c'est vrai. Mais à coté de ça y a des aberrations pas possible, genre des phases de plate-forme dans un jeu où on ne saute pas, ou encore des phases d'infiltrations dans un beat them all. Non seulement c'est inintéressant, mais c'est également frustrant. La progression quant à elle se sépare entre les phases dans le monde "réel", qui sont techniquement assez soignées, avec une DA assez sympa, qui parvient efficacement à se renouveler, et les phases dans le plan astral, qui n'offriront rien d'autres à nos yeux que des blocs noirs sur fond rouge, partout, tout le temps, sans aucune variation. Je dirais rien, si ces phases dans le plan astral étaient plus courtes et moins nombreuses, mais là nooon, on y passe des heures en tout, c'est sympa lors des premières expéditions, mais au final ça devient juste dégueulasse à force, et ça semble tout droit sorti d'un épisode de Code Lyoko. Tiens d'ailleurs un jeu Code Lyoko ambitieux, m'est avis que ça pourrait être bien stylé. Bref, déception que ce Astral Chain, malgré son système de fight, sa BO, et son mode photo. Peut-être que j'essaierai de venir à bout de l'aventure un jour, mais c'est pas une priorité.

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Fini le 30/09

Très certainement le meilleur jeu co-op auquel j'ai joué, c'est intense, et demande de la réflexion, de la stratégie et de la coordination, bref, tout ce que j'ai en horreur, c'est donc le meilleur jeu imaginable pour s'engueuler avec un pote, devant n'importe quel Mario Kart à mon sens ! A voir ce qui pourra être amélioré dans le 2

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Fini le 22/10

Sympathique petite replongée dans Rapture, avec une ambiance aux petits oignons. Cependant ce que je reprochais déjà à l'époque à Infinite (que j'ai bien envie de refaire maintenant) est toujours là. Ça s'embarque dans un espèce d'imbroglio scénaristique peu palpitant et confus, avec des personnages revisités somme toute sympathiques, mais le tout parvient à lasser et paraitre répétitif en à peine deux heures de jeu.

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Fini le 23/10

C'est déjà bien mieux ! On garde l'ambiance délicieuse, et on y ajoute un gameplay basé sur de l'infiltration, et qui fonctionne assez bien (même si bon, trois balles de colt dans la tête qui ne suffisent pas à éliminer le moindre pégu de base, ça fait bizarre), ainsi qu'une plus grande variété des environnements visités, qui vient largement atténuer un quelconque sentiment de redondance, et c'est gagné ! En plus de ça l'intro est énormissime, donc vraiment rien à redire. Ca donne bien envie de se replonger (AimeDésAires) dans la trilogie en tout cas !

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Fini le 07/11

C'est tout comme Journey, sans la composante multijoueur qui rajoutait quand même vraiment un truc. C'est beau, très beau, vraiment très très très beau, c'est ennivrant, et c'est un parfait jeu de relaxation, comme Flower et Journey avant lui.

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Fini le 08/11

Un tout petit jeu, succession de mini scénettes toutes plus ronron les unes que les autres, et sublimées par un habillage visuel et sonore de toute beauté, je recommande !

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Fait les deux premiers tiers le 10/11

Une fois passé un début vraiment encourageant, les problèmes de game design et les errances de gameplay ressurgissent de façon fracassante, surtout aujourd'hui j'imagine. J'imagine également que les devs étaient conscients de ces défauts qui peuvent te rendre des passages tout cons assez chiants, puisqu'ils ont inclus un onglet spécial pour rentrer des cheatcodes, même si c'était clairement pas le seul à faire ça à l'époque. C'est somme toute une adaptation de film assez solide, clairement pas dans le bas du panier en tout cas, et c'est quand même assez fun. Le doublage français (pas intégral hélas) majoritairement officiel, les musiques des épisodes I et II, les animations super fluides, tout ça fait qu'on s'y croit, et vraiment ça le fait. Quel dommage qu'ils aient pas réussi à surmonter ces quelques problèmes qui empêchent le jeu d'être vraiment bon...

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Fini le 20/11

Eh bien le moinsse que l'on puisse dire, c'est que je l'aurais attendu ce con de jeu, depuis le Pouvoir de la Force 2 en fait je crois. Un vrai gros jeu solo Star Wars, une vraie aventure, dans lequel on ferait tâter de notre sabrolaser à quelques stormtroopers malheureux. Qu'est-ce que j'en ai rêvé de ce jeu pendant des années... Et après toute cette attente, Jedi Fallen Order montra son gameplay au dernier E3, et laissa par la même occasion énormément de joueurs dans la perplexité, pour une raison qui m'échappe complètement. Bref le jeu sort, et... Bah voilà, c'est lui, le jeu que j'ai autant attendu, c'est bien lui, et il remplit parfaitement toutes mes attentes, et de fan de Star Wars, et de gamer. Bon, faut être honnête, c'est techniquement pas au point, causant des baisses de framerate assez relou, des temps de chargements impromptus et très longs, sans parler de quelques bon gros bugs visuels de type portions complètes de niveau qui s'affichent progressivement, une par une. Parait-il qu'il va y avoir un patch, et c'est franchement pas dommage. Outre ces problèmes techniques, je vais pas mentir, je suis un peu frustré de la conclusion du titre. La mise en scène est top, le combat de boss est cool, bien ardu, mais clairement pas infaisable (comme le reste du jeu globalement), vraiment ça en jette, mais l'issue de tout ça, me laisse vraiment perplexe, mais j'y reviendrai sûrement dans une critique un peu plus tard. Passées ces quelques frustrations, le résultat est juste vraiment au top, y a de vraies sensations assez grisantes qui se dégagent du bousin, que ce soit par l'utilisation du sabrolaser, ou même des pouvoirs de la force, grâce à un sound design de grande qualité, et une difficulté bien présente, mais encore une fois pas trop relevée non plus. Ma grosse attente portait aussi sur l'aspect scénaristique, et là aussi, c'est assez réussi, avec des personnages bien cools (BD-1 ftw), une histoire qui se suit, et qui parvient aisément à mettre en place des séquences assez marquantes. Encore une fois, mon seul problème réside dans l'issue de tout ça, mais bon. Bref, un très bon jeu, et probablement le meilleur de l'univers Star Wars depuis Kotor 2 (que je compte refaire car j'étais totalement passé à coté quand je l'avais fait il y a quelques années).

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Fini le 27/11

Bon, eh bien, forcé de constater que la formule Pokémon ne m'a pas gonflé. Vraiment j'ai bien aimé cette nouvelle aventure Pokémon, bien plus que l'épisode Let's Go, peut-être même davantage que Y, mais va falloir attendre que ça décante un peu pour être sûr. C'est un Pokémon, ni plus ni moins, ça réinvente pas la roue, mais ça apporte quelques petites nouveautés plus ou moins bienvenues, et plus ou moins bien branlées. La zone ouverte déjà, bien plus petite qu'il n'y parait, vient apporter un peu de renouvellement au bousin, même si le coup des micro-climats qui changent d'une parcelle à une autre, sans aucune forme de cohérence (passer sans transition du blizzard à la tempête de sable, ça fait bizarre. Soite, le jeu garde son aspect artificiel, ça me va, on va pas lui reprocher des trucs alors que la volonté est ailleurs. Le problème selon moi de ces terres sauvages, c'est leur répétitivité, on a l'impression d'y croiser toujours les mêmes pokémon, c'est dommage, les taux et conditions d'apparition sont parfois beaucoup trop pétés. Cette zone ouverte apporte avec elle une nouveauté de taille (ho ho ho) le dynamax et les raids. Encore une fois, bonne idée, donnant un gros aspect combat de kaiju aux affrontements, mais il est évident que ces raids ont été pensés essentiellement pour le multi, tant il est impossible de venir à bout d'un raid en solo, tant les IA qui nous accompagnent semblent se donner du mal pour être constamment à la ramasse. Quand on se retrouve à affronter un pokémon de type sol hyper agressif, avec deux pokémon extrêmement sensibles au type sol, et un magicarpe en bonus, il apparait physiquement impossible de triompher quoi que l'on fasse. Bref, une bonne idée, à retravailler, rééquilibrer peut être. A part ces deux nouveautés, c'est un jeu Pokémon, donc c'est exactement ce qu'on connait depuis la gameboy, et on serait franchement con d'exiger une révolution aujourd'hui alors que la série ne s'est jamais révolutionnée à aucun moment depuis les origines. Ca se joue bien, c'est très sympa en multi, nottament les raids, il y a une petite mise en scène sympa, renforcée par une musique globalement de qualité (sauf pendant les match d'arène, et les raids) et une direction artistique vraiment plaisante. Et oui, c'est techniquement et à la ramasse, et le plus beau dans toute cette histoire, c'est que je m'en tamponne la nouille avec une pelle.

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"Re"-fini le 30/11

Kotor 2 est un jeu pour lequel il faut s'investir, dans lequel le fun n'est pas inné, et c'est pour cette raison que j'avais abandonné mon premier run il y a trois ans, à une heure de la conclusion. Je m'étais mal démerdé pendant tout le jeu, du coup, je me retrouvait à trépasser à la chaine, et j'en ai eu marre. Depuis, j'ai réessayé à plusieurs reprises de lui redonner sa chance, mais il y avait systématiquement un problème, un truc qui me freinait toute motivation. Et puis finalement au bout de je-ne-sais-combien de tentatives, je suis parvenu à l'issu de ce Kotor 2, et je ne saurais absolument pas dire pourquoi cette fois ça a marché, mais cette fois ça a marché. Ça a même tellement bien marché, que ce prologue que j'avais toujours considéré d'un ennui mortel, m'a cette fois-ci passionné, avec son atmosphère anxiogène et son cadre totalement propice à un film d'horreur, plein de mystère et de suspense. En fait, j'ai l'impression que tout est question d'état d'esprit, j'imagine que j'y jouait d'une façon peu pertinente à l'époque, et qu'aujourd'hui, j'étais bien plus réceptif à la proposition du jeu. Peut-être que, comme le premier Kotor, c'est un jeu qui s'améliore de run en run. Je ne sais pas, j'en ferais probablement une critique dans quelque temps, pour tenter de défricher tout ça. Mais en l'état, je dirais que tout aussi repoussant qu'il soit (dans le sens le plus primaire du terme, je veux dire que le jeu ne nous prend pas forcément par la main) Kotor 2 est vraiment une expérience forte, ainsi qu'une pièce maitresse de l'univers Star Wars, et qui aura probablement servi un minimum d'inspiration à Rian Johnson pour The Last Jedi. Outre de réels problèmes tels que des bugs, ou encore un réel manque de finition évident (malgré l'énorme mise à jour steam sortie y a quelques années), ma plus grande frustration concernant ce Knights of the old Republic II, c'est que près de quinze ans plus tard, Knights od the old Republic III n'est toujours qu'un doux rêve...

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(ENFIN) Fini le 11/12

Je dois dire que quand j'avais découvert ce jeu, il y a des années, en même temps que Kotor 1 et Jedi Outcast, j'étais plutôt saucé. J'étais frustré de voir mon cousin jouer à Halo 2 sur sa Xbox, et ce Republic Commando faisait une plutôt bonne réponse à cette frustration. Puis j'avais jamais vu un jeu Star Wars aussi sale et bourrin, bref, c'était stylé quoi. Et aujourd'hui, bien des années plus tard, je l'ai enfin fini. Et c'était pas dingue, clairement. Je saurais pas du tout comment le jeu a été reçu à l'époque, mais en tout cas, à jouer aujourd'hui, c'est vraiment pas très palpitant, on enchaine les couloirs et les salles remplis d'ennemis plus ou moins balèzes, en donnant vaguement des indications à nos collègues, jusqu'à triompher, et arriver à la salle suivante ou rebelotte. Le jeu n'est pas non plus rattrapé par son scénario, totalement minimaliste et inintéressant, en plus d'être pas très clair. Heureusement, musicalement le tout fonctionne, avec des themes inédits assez stylés, et bien entendu des sélections de musique des films, mais hélas ça tourne rapidement en rond. Parfait résumé du jeu en fait, c'est stylé, y a un bon souffle épique, mais ça tourne rapidement en rond, et on finit par se faire vite chier.

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Joué à peu près 3~4h, arrivé au monde de neige

Mouais bof, c'est sympatoche mais pas super enjaillant pour l'instant, je suis clairement pas sûr de continuer l'aventure de si tôt