2019 : séries

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C'était magnifique. Les 10 épisodes sont passés comme une lettre à la poste. C'était tellement stupide et bête que ça en devenait truculent j'attendais chaque échange avec fébrilité j'étais pendue aux lèvres des personnages, chaque réplique claquait de connerie c'était une réussite sans cesse renouvelée !!! Beaucoup trop savoureux. Ce que j'ai adoré par dessus tout c'est que la série se veut plus ou moins intelligente car ça se passe dans le milieu littéraire c'est une love story entre un libraire passionné de livres anciens et une étudiante en lettres aspirante écrivaine donc très très deep, beaucoup de réflexions, pléthore de références. C'était l'élite de la crétinerie. Je souligne aussi la rare finesse psychologique et le côté très palpitant de l'intrigue amoureuse très nuancée, entre passion folle et darkness. Non vraiment l'ambition de ce projet... ya de l'ampleur. Je me suis pas ennuyée un seul instant en vrai c'était un cadeau à côté duquel je ne voulais surtout pas passer.
Saison 2 : cette série c'est véritablement pour moi un énorme plaisir coupable, mais sans aucune shame je le dis. La première saison j'avais regardé au second degré pour me foutre de la gueule du truc tellement c'était stupide. Pourtant en secret j'ai aimé et j'attendais la saison 2 comme une petite folle. Netflix m'a offert ce cadeau de fin d'année, le 26 décembre BIM j'étais collée devant mon écran et j'ai BINGÉ les 10 épisodes hihihihi. J'ai adoré c'était mieux que la 1 serieux car moins eau de rose et beaucoup plus dark et psycho genre le 1 c'était en mode Jane Austen à NYC et là on passe sur Dostoïevski quoi. C'est crime et châtiment à Los Angeles le machin !!! Moi ça me suffit amplement. Et PennPenn est cutie.

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Donc là on a une série coréenne de 20 épisodes d'une heure chacun, ce qui veut dire que j'ai quand même passé 20 heures, VINGT HEURES OUI, devant ce truc. En fait j'ai décidé de m'ouvrir aux autres cultures c'est pour ça. Bref il s'agit là d'un drame (?) judiciaire (?) croisé avec ce qui s'apparente à une comédie romantique (?) mais je m'avance avec précaution parce qu'en réalité on se rend vite compte que c'est un objet télévisuel non identifiable par nos standards occidentaux. Je me suis demandé si en Corée les gens aimaient ça, mais je pense que même là bas ça reste un programme probablement destiné aux adolescentes coréennes pré pubères... Là on avait une avocate de 28 ans qui dormait avec des lapins en peluche et qui écrivait des coeurs dans son journal intime en mettant "mon patron est trop cool <3333". C'était spécial. L'intrigue c'est que la nana avocate kawaiiiiiii elle est folle amoureuse de son patron le procureur (qui ressemble à Ken version chanteur extraterrestre de KPOP) mais pendant 20 épisodes ils ne peuvent pas s'aimer parce qu'au début il ne veut pas, après elle ne veut plus, et quand ils tombent enfin d'accord bah il ya des meurtriers et des pyromanes qui foutent leurs plans en l'air, des secrets de famille et des conflits moraux très intenses donc en gros ils ne baisent que DEUX FOIS en VINGT HEURES et c'est en HORS CAMÉRA donc on ne voit rien. Jpp.

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L'histoire de quatre amis soldats israéliens qui renouent les liens 11 ans après une mission tragique au Liban, pour faire un voyage en Colombie dans le but de retrouver une meuf qu'ils croyaient morte 9 ans auparavant. En fait cette série déjà autant cracher le morceau tout de suite ça m'a rendue hystérique très très rapidement parce que le casting compte deux beaux gosses d'une magnificence assez rare, très régulièrement filmés en gros plans, avec des flashbacks pour expliquer comment ils souffrent et comment ils sont courageux mais traumatisés mais héroïques mais fragiles mais canons, enfin le combo magique qui me met les étoiles dans les yeux, ce genre de choses quoi. A partir de là il m'en fallait très peu pour être conquise parce que le main material était déjà très très solide. Mais en plus ce qui est cool c'est que l'intrigue tient en haleine, c'est une série à suspens il y a vraiment des rebondissements des révélations des secrets de l'action. Je ne dis pas que ça se tient de bout en bout ; non, certains trucs sont assez gros on a du mal à gober le délire. En fait la pilule est assez énorme à avaler mais les beaux gosses font passer le truc très crème, calmement. C'est propre c'est posé. De là on accepte aisément les quelques invraisemblances qui jalonnent le scénario. Mais en vrai si on passe outre la notion de crédibilité (somme toute relative), on se laisse vraiment prendre parce que l'histoire est quand même haletante et rondement menée, les personnages sont cools et ont de bonnes arches, la recette fonctionne c'est très accrocheur. Je pense que c'est binge worthy en toute honnêteté (sérieusement).

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La série Netflix en six épisodes, #LeParfum, très librement inspirée du roman homonyme, dont l'intrigue a été transposée dans l'Allemagne contemporaine pour en faire une sorte d'enquête policière bien glauque. Cette série c'est particulier, très rapidement on comprend que ça ne va pas être une partie de plaisir. Sous entendu on sent très vite l'enfer s'approcher. On démarre sur le cadavre d'une meuf mutilée à divers endroits, avec plein de détails immondes que le médecin légiste ne manque pas de nous fournir (ne le remercions pas). La cadavre de la nana est par ailleurs retrouvé par son gamin attardé, qui joue avec une mèche de ses cheveux en courant gaiement (un bout de chair en prime au bout de la mèche sinon c'est pas drôle). On comprend vite que son voisin, un mari violent qui bat et qui viole sa femme à répétition, baisait avec la morte. Du coup les enquêteurs ils réalisent que tout ce petit monde se connait bien et ils se disent "les coupables doivent être un groupe de potes chelous qui étaient ensemble à l'internat ya 20 ans". Donc ils vont voir les dudes. Yen a un c'est un parfumeur de renom pervers et psychopathe qui peut sentir de très très loin si une femme est enceinte, pas du tout flippant. T'en as un autre c'est un proxénète qui s'est fait violer par sa mère quand il était enfant (sa daronne mettait du Nutella sur sa chatte pour qu'il la lèche). Le troisième c'est un violeur tyrannique qui bat sa femme (le fameux du début oui) et le quatrième c'est un puceau sans dent qui a une malformation de la bite et qui est un peu dérangé dans sa tête donc il voit une psy. La psy, personne ne l'aime car tout le monde lui préfère sa sœur handicapée, donc la nana est mal baisée. Au milieu de ces 4 gars tu as une fille, celle qui se fait tabasser par son mari, en fait elle était avec les 4 mecs en pension et elle s'est faite violer par deux d'entre eux quand elle avait 13 ans. Elle s'est ensuite mise en couple avec l'un d'eux, naturellement. Quand elle était enfant à la suite de son double viol elle est tombée enceinte et s'est avortée elle même avec des aiguilles, elle a failli mourir. Bref ça fait beaucoup de pistes sur lesquelles les flics peuvent enquêter. Parmi eux un bourrin qui va aux putes, un commissaire infidèle sadique et une flic maso en mal d'amour folle amoureuse du sadique. Je précise que je n'ai pas tout dévoilé car j'ai voulu garder quelques révélations croustillantes. La photo est souvent jaunâtre ou verdâtre, ça se passe dans des terrain

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Toujours sur Netflix j'ai regardé la mini série en quatre épisodes sur Ted Bundy hihihi c'était trop biiiiiieeeen !!!! En vrai le premier épisode était un peu chiant j'avoue mais ça posait le contexte, et après ça démarre sur les chapeaux de roue, le Ted on ne l'arrête plus, un vrai fou le mec !!! C'était super intéressant car en même temps ça retraçait le parcours criminel de Bundy mais ça parlait aussi du climat socio politique aux États-Unis, et également des méthodes d'enquête du FBI qui était trop en galère. Ça parle du début du profilage donc ça m'a clairement fait penser à #Mindhunter qui est juste une des séries les plus oufs. Et évidemment tout ça était entrecoupé d'interviews de Ted, d'images d'archive, d'entretiens audio, donc on rentrait bien dans la psychologie du gars. C'était effroyable mais totalement excitant ! J'ai kiffé de dingue. Folie folie

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Sur Netflix j'ai aussi regardé la série coréenne de 6 épisodes #Kingdom. C'était un period drama avec des zombies, ça parlait de pouvoir surtout. Yen a ils veulent le trône donc ils font de la merde et évidemment qui paye les pots cassés ? Les paysans et les ouvriers et les fermiers bref les pauvres !!! Critique de l'hégémonie, de la domination des puissants sur les plus faibles, critique certes de la monarchie mais également, je le dis pourquoi pas, critique du capitalisme

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saison 2, l'assassinat de Gianni Versace. J'ai trouvé ça brillant. Je sais que la seconde saison n'a pas connu le succès critique de la précédente, mais j'ai adoré, je le dis haut et fort. Après c'était moins sur Versace que sur son tueur en fait, Andrew Cunanan, donc c'était une sorte de retour sur le parcours de ce gars, pour savoir pourquoi et comment il est devenu criminel. Ça offrait un insight super intéressant sur sa personnalité, avec en plus ce côté "genèse d'un tueur", véritablement moi ça me fascine à chaque fois, je suis très bon public. La structure narrative était très intelligente car c'était backwards, ça rajoutait vraiment une dimension encore plus géniale car on savait d'emblée ce qu'il venait de se passer : du coup chaque épisode creuse un peu plus la racine du mal, en repoussant les limites jusqu'à l'origine. Ce qui est amusant aussi c'est que ça change nos rapports aux personnages vu que la chronologie du récit est inversée, ça commence par la fin donc la perspective n'est pas habituelle, on ne peut pas vraiment s'attacher, et à partir de là, le dispositif relève davantage d'une forme de curiosité malsaine, c'était étonnant. Par ailleurs j'ai beaucoup aimé la réflexion qu'il y avait derrière, car avant tout c'était le cri de revendication d'un anonyme qui rêvait de devenir quelqu'un à tout prix, et ça exposait une fois de plus les dérives de la fame et de l'American Dream. En ce sens, Versace il servait plutôt de contrepoint, c'était l'exemple parfait de celui qui a réussi et qui donc contribue insidieusement à alimenter cette névrose à double tranchant de Cunanan, qui l'erige à la fois en modèle absolu mais surtout en rival, dont l'existence même fait injure à la sienne. Enfin, c'est comme ça que je l'ai compris. Il y avait vraiment une double tragédie qui se faisait écho.

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récit délectable d'une dinde de Newport Beach en quête d'amour, qui se fait enculer profond par un sociopathe toxicomane de la plus belle espèce. Très clairement ça sentait le sapin cette affaire, mais heureusement la fille de la dinde était préparée mentalement en cas d'apocalypse de zombie, et ça a sauvé la mise de toute la petite famille. Faut regarder pour comprendre.

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Ahhaha en gros c'est l'histoire d'une famille dysfonctionnelle qui plaque tout pour retourner s'installer sur une petite île paumée après que la mère soit morte d'un cancer foudroyant, donc ça raconte comment le père il doit gérer ses trois gosses (dont deux ados connards) son deuil et son job (le dude est secouriste). Ça raconte aussi la vie des trois gosses ya la fille de 17 ans c'est une énorme connasse le mec de 15 ans débile profond et la gosse de 12 ans bien gentille mais un peu pigeonne sur les bords. Ils ont une tante aussi qui a une vie un peu fucked up. Il y a des secrets de famille et des love interest, des moments de pleurs et des moments de rires, la vie qui reprend le dessus après le drame, l'importance de la valeur famille et tout. C'était bien insipide et fade comme il faut, je l'ai regardé sans problème et j'ai tout oublié le lendemain. Merci à eux.

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Saison 2. Quand j'ai vu que la saison 2 était sortie je m'y attendais pas j'ai fait une crise d'hyperventilation de joie j'en pouvais plus ! !!!!!! C'est tellement beaucoup trop bien cette série je me lasse pas, le Vatican les cardinaux les politiciens les gitans et les romains de la hood tous en train de fraterniser et de se trahir successivement pour servir leurs intérêts. C'est merveilleux ce sont tous des pourris et en même temps on ne peut pas s'empêcher de les kiffer. J'adore la mise en scène, la bande son, les acteurs, le style un peu gangsta mélangé au faste de l'Italie, ça rend vraiment bien. Je binge je binge.

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Pendant 20 épisodes d'une heure chacun (donc là encore 20 heures oui), un riche PDG de Séoul et une petite assistante originaire de province s'aiment sans pouvoir se le dire. Au début c'est par hasard après c'est par obligation ensuite c'est par contrat après c'est sincère mais c'est secret ensuite c'est compromis ensuite c'est fini après ça recommence ensuite c'est interdit puis, après 20 épisodes tumultueux, ils se rendent enfin compte qu'ils étaient fated to love each other since day one. Au milieu de cette histoire impossible il y a un foetus, Doggypoo, un dude qui tient la chandelle pendant 19 épisodes, un love interest qui s'accroche un peu trop et des personnages secondaires très goofy. L'intrigue s'étale sur plus de trois ans, c'est assez fou. Les séries coréennes suscitent de plus en plus ma curiosité car elles ont un goût de revenez- inexplicable en mode so bad that it's good, et puis c'est un monde parallèle quoi. Improbable.

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Beaucoup trop drôle je riais je riais à chaque épisode. Le mec fait tellement l'éloge du minable c'est magnifique j'adore surtout son air affligé en toutes situations en mode "achevez-moi tout de suite je ne supporte pas la médiocrité de ce monde". C'est superbe quel panache !! Et en même temps le mec arrive à être touchant et profondément humain à la fin il y a même une sorte de message optimiste qui émerge de tout ça, comme si au milieu du marasme boueux qu'est la vie, il te montrait au final que les pépites d'or existent, et que ça vaut le coup. J'adore Ricky.

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Chapitre 2. C'est vraiment fascinant cette série c'est indéfinissable il faut vraiment le voir pour le croire. C'est une expérience sensorielle et spirituelle, les épisodes ils prennent le spectateur par la main et ils nous invitent à baisser la garde à follow the flow à nous ouvrir à l'improbable, et si on accepte de believe, alors ça devient magique, comme un voyage hors de tout. Par contre, si on ne rentre pas dedans je pense qu'on n'est pas à l'abri de quelques éclats de rire nerveux.

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Un peu dur, j'ai traîné pour la finir celle-ci. Dommage parce que le postulat de départ était super intéressant c'était une belle tentative de dystopie à la française, mais purée le jeu d'acteur de l'enfer !! Je sentais les flammes me brûler à chaque fois que quelqu'un balançait une réplique, pas un pour rattraper l'autre, ça sonnait tellement creux et faux. Du coup le résultat est froid et désincarné. Je pense que c'était un peu voulu, mais pas à ce point. Ça entre dans la catégorie "dommage".

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Malgré un aspect un peu répétitif et redondant au fil des épisodes j'ai adoré, ça tient surtout au personnage principal très dandiesque et à la composition de Cumby so British ça sonne comme une évidence.

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Je me suis arrêtée sans regarder la saison 2, car si au début la mayonnaise prend bien et que les situations sont marrantes grâce aux deux héroïnes qui sont bien campées, avec des bonnes répliques et une personnalité fun, c'est quand même super trop nul à dormir debout comme histoire.

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un mockumentary australien écrit comme une série de 6 portraits qui mettent en scène des personnages complètement cinglés, c'était juste magique. Ok l'humour était gras et facile à certains moments, mais ce mec a des idées de génie et puis certaines situations étaient tellement hilarantes, j'ai beaucoup trop ri. L'écriture était assez inégale et certains personnages étaient bien plus solides que d'autres cela dit. J'ai une petite préférence pour Keith Dick, un fashion guru secrètement amoureux d'une caisse enregistreuse, qui tient un magasin de mode avec sa femme Patika. Chapeau l'artiste. Juste petit bémol sur la fin le dernier épisode bcp trop cheesy en mode Ode à la tolérance et la différence genre il faut s'accepter tels que nous sommes on est tous beaux blabla. Lourdingue

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Purée je l'ai pas terminé donc c'est inachevé, mais je le mets quand même car je suis allée très loin j'ai supporté 8 épisodes de cet enfer avant de dire stop. Au début j'étais assez curieuse, et puis je trouvais pour être honnête que c'était assez cool de faire une série qui se passe dans la communauté indienne vers l'Arizona, les paysages étaient beaux et l'environnement était plutôt atypique, ça changeait en apparence des séries pour ado formatées et aseptisées qu'on nous sert à longueur de journée. Mais au fil des épisodes, ça devenait de plus en plus n'importe quoi parce que ça surfait sur beaucoup trop de trucs, le vaudou, les rêves, le destin, la réincarnation des âmes, la sorcellerie, la culture mystique amérindienne, les drogues introspectives, la méditation gourou, le surnaturel, les forces occultes un peu sectaires, puis à un moment on bascule dans une sorte de théorie du complot carrément hallucinée et j'ai dit c'est plus possible.

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J'ai regardé #Smithereens qui est un des nouveaux épisodes de Black Mirror. J'ai maté car il y avait Drewdrew. J'ai apprécié le concept et le dispositif, puisque la très grande majorité de l'action se déroulait dans une voiture, et que l'intrigue se jouait principalement au téléphone. Il y avait un côté huis-clos assez oppressant. BREF, la mise en scène était sympa, sans pour autant être révolutionnaire. Là où j'ai moins accroché, c'est sur la vision. Généralement quand je regarde BM je m'attends à être perturbée par un message à la fois malaisant et percutant, qui me met en face de ce que je suis, tout en dénonçant les travers de la société dans laquelle je vis. Or là, déjà on n'atteignait pas ce niveau d'universalité, ça restait très individuel je ne me suis pas sentie touchée ni concernée, ça ne frappait pas fort car ça restait dans l'anecdotique finalement. Ça n'a pas transcendé ses thèmes. Ensuite ça dénonçait surtout l'addiction aux réseaux sociaux, mais plus encore, les dérives de ces outils, qui finissent pas être des logiciels de surveillance massive à grande échelle, des bases de données mondiales qui permettent de retracer tous tes faits et gestes sur un plan macro, quand paradoxalement, au niveau micro, la communication se perd et que les gens ne savent plus rien les uns des autres. L'opposition était intéressante, mais ça enfonçait quand même des portes ouvertes. Et la tentative d'humanisation du PDG n'est pas crédible. Ça perd beaucoup de son impact. Ca rentre dans "dommage".

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Saisons 4 à 6.
Superbement superbe. J'ai pas les mots à ce stade.

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Super série sur le deuil, le couple, l'amitié et la féminité. Jai bien aimé le mélange des tons entre comédie noire et drame, avec un petit côté mystère, le duo était super. Je regrette juste beaucoup le dernier épisode qui est nul en plus d'être super prévisible. J'espérais qu'ils allaient éviter de tomber dans cet écueil de facilité. Dommage. Mais globalement très bon.

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Une mini série format super court sur les aventures d'un dude de Bushwick qui chill round the block avec son doggo Bruno et en fait il leur arrive plein de trucs genre ils cherchent du blanc de dinde, ensuite Bruno se fait kidnapper, après ils dansent la salsa.. c'était spécial vraiment mais ça m'a offert de belles barres même si le concept n'est pas 100% maîtrisé.

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Saison 2.
Putain c'était bien, mais alors c'était beaucoup beaucoup trop court !!!! Je pensais pas ! A un moment je m'apprêtais à mettre "Next" et en fait c'était fini !!! Genre 6 épisodes je crois, ce qui est vraiment super frustrant. J'ai bien aimé que le récit se recentre plus particulièrement sur Rasmus ici présent, qui lutte pour maitriser son pouvoir, ça passe assez efficacement de série d'apocalypse à série de super héros, la transition est assez smooth. J'aime bien le virage, le problème c'est qu'ils ont à peine de temps de l'amorcer que c'est déjà terminé, donc très clairement je sais pas si je l'ai dit, mais frustration. Les effets visuels sont top et la mise en scène est assez stylée, les acteurs sont cools, clairement ils se foutent pas de nous c'est bien. J'attends la suite du coup.

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Ya rien à dire c'était une putain de bonne série, c'est assez phénoménal. Mise en scène top, suspense top, acteurs top, photo top, décors top, scénario top. C'était propre. Ça fait plaisir.

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RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
C'était génial ça m'a offert de beaux moments comme je les aime où tu deviens obsédé par une série tellement c'est trop cool tu mates dans le métro tu mates dans le bus sur ton tel sur ton ordi le matin pendant le dej le soir tu rentres vite pour mater le week-end tu fais du matage intensif... Superbe. Mais c'est triste quand ça s'arrête ça fait un vide. J'attends la saison 5.

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Saison 7. Ca a un peu perdu de sa saveur et de sa wittiness des premiers temps, mais ça fait toujours plaisir de les retrouver. J'adore Louis quoi. Et évidemment je suis team Donnarvey.

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Clairement c'est la période canicule donc initialement je voulais mater la saison 2 de #Dark puis je me suis démotivée total en mode "c'est allemand et c'est très compliqué" (ce qui est vrai). Donc je me suis dit qu'un truc français un peu débile sans prise de tête ce serait détente et j'ai lancé ça. En vrai au début ca ne m'a pas plu du tout j'ai trouvé ça mal joué les acteurs ne m'ont pas plu et c'était quand même super vulgaire pipi caca prout donc j'étais en mode "ok je vais pas continuer". Mais je dois avouer que vers l'épisode 3 j'y ai pris goût car il y a une certaine dynamique qui commence à s'installer et surtout c'est quand même grâce à Darmon et Enrico tout ça, sinon j'aurais lâché je pense. Ils m'ont soûlée tous, à s'appeler "frère" toutes les 5 secondes, c'était le niveau zéro du dialogue et certaines situations étaient plus gênantes que véritablement comiques, sans parler de ce scénario improbable... Malgré tout on finit par se prendre au jeu, sûrement grâce au coté clan et famille finalement. Ca envoie un message sympa et c'est cool de faire un truc qui mélange toutes les générations sans distinction, au final tout le monde trouve sa place, ça parlait d'amour et d'amitié c'était cool. Juste un peu trop débiles dans leur délire les gars.

Annotation :

C'était beaucoup trop drôle du coup j'ai bingé c'était assez superbe, les sortes de losers magnifiques 2.0 en mode gen Z, j'ai adoré c'était très moderne et assez barré, franchement super écriture, le rythme était top les acteurs aussi, c'est une sorte de Breaking Bad de la vraie vie, en mode lameness. C'est génial.

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C'était tellement hardcore. Horrible et révoltant. Difficile de trouver les mots à ce stade.... C'est éloquent il faut le voir c'est superbe cette série. Je suis passée par toutes les émotions et bien plus encore. Ca hante des histoires pareilles.

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Comme quasiment tout le monde je l'ai maté très rapidement ça se binge easy c'est un peu comme du McDo quoi. Alors là j'ai adoré retrouver les personnages, notamment les plus "vieux" comme Nancy et son mec et surtout Steve, accompagné ici de Robin. A mon sens c'était le meilleur duo de la saison. Après j'ai aussi beaucoup aimé replonger dans l'ambiance super 80's c'est toujours aussi cool. Et Billy <3. Par contre j'ai trouvé qu'il y avait des longueurs de ouf notamment parce que les personnages étaient trop disséminés et toute l'intrigue avec Joyce et Hopper et les Russes m'a vachement soulee, les hommages à Terminator et aux films de guerre froide espionnage aussi. Y avait un côté plus relou, mais le point positif c'était les nouveaux personnages notamment Erica et j'ai bien aimé l'arc de Dustin. Dans l'ensemble c'était toujours aussi sympa mais c'est quand même une série assez facile quoi.