2021: Demain c'est loin, alors matons des films !

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Et un nouveau voyage cinématographique commence avec ce conte bariolé, son bouddha parlant, le crabe géant, du sword skating et ma préférée: la partie 1 2 3 soleil avec le monstre :D
Du plaisir et de la bonne humeur avec des effets spéciaux très..."spéciaux" pour ce 2e volet d'Histoire de fantômes chinois. Cheers !

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Petit hommage à Haruma Miura, petit ange parti trop tôt il y'a quelques mois.
Et puis j'ai toujours eu un faible pour Kimi ni todoke, que ce soit la manga, l'anime ou ce petit film doux et fluffy.

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La légende du masseur aveugle entre les mains de Tonton Kitano. Divertissant mais pas vraiment convaincant, surtout avec ces effets numériques pas du plus bel effet. Mais tout de même un moment sympathique passé devant ce Zatoichi remis à jour, et puis ce dernier show,
super ! :)

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Destins amers... Un film où mélancolie et nostalgie accompagnent la recherche d'identité de ces gamins perdus dans une société indifférente.

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Parce qu'il faut aussi une petite touche horrifique pour bien commencer l'année ;)
Un film qui fait son petit effet, trouvant sa puissance dans la mise en abyme, entre le cinéma et le réel, souvenirs passés et visions du présents. Malheureusement plus ça va et plus ça perd en subtilité, peut-être trop de choses... Mais il faut avouer que l'ambiance installée est assez angoissante et le mystère en amont nous tient en haleine.

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C'te crémaillère de folie :o Un western nouilles (oui j'assume) aux fumées rougeoyantes. Je connais pas trop le Johnnie mais ça a l'air d'être un sacré numéro :) On va sûrement se recroiser To !

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Parce que y'a pas que la violence dans la vie et parce que les coréens s'y connaissent autant en romances mélo qu'en thrillers violents. Il faut aussi saluer la performance de la belle Han Hyo-joo, et puis So Ji-sub bien sûr :)

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Shadowz_On a beaucoup entendu le terme "Vague" ces derniers temps, alors autant l'utiliser à bon escient en abordant ce petit film fantastique de l'australian wave, avec une apocalypse plus onirique que ce qui nous attend hihi ;) Un film, certes, un peu lent mais qui aborde des thématiques intéressantes dans une ambiance étrange et réussie.

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Shadowz_Basic Instinct. Un film froid et cru qui ne laisse certainement pas indifférent avec des zombies luxurieux et un jeune Cronenberg qui sait déjà manier le scalpel en images.

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Encore un destin de femme malmené dans une société qui ne fait pas de concessions. Mizoguchi-sensei peint délicatement et froidement le portrait de O'haru, cette femme qui essaye de s'accrocher à ce qu'elle peut malgré le sort qui s'acharne car après tout il faut bien vivre, mourir n'est pas aisé.

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Je ne m'attendais pas à grand chose mais je dois avouer que ce petit thriller de la Hammer est une bien belle surprise. L'atmosphère est bien mise en place et suivre la belle Penny dans sa chaise roulante devient vite angoissant. Malheureusement, le rythme s'accélère un peu trop vite vers la fin, mais ça reste assez jouissif.

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Pouvoir d'évocation immense basé sur la parole plus que l'image. Deux actrices à l'éloquence ravissante (Katharine Hepburn et Elizabeth Taylor) dans un jeu de recherche de la vérité mené par Clift.
"Truth is the bottom of a bottomless well."

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Shadowz_En fait, un petit Corman fait toujours du bien! Ici dans un registre SF que je ne lui connaissais pas encore. Bon c'est cheap mais c'est assez plaisant, avec un alien man in black creepy, les dangers d'une guerre nucléaire et une créature chiffon sur cintre... Et puis cette affiche !

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Agréablement surprise par ce thriller/action movie coréen sur fond de dystopie et avec des inspirations cinématographiques à la pelle (comme ce Terminator du matin calme). Bon le dernier quart d'heure est malheureusement vraiment de trop et certaines choses auraient gagné à être plus approfondies (alors que d'autres ne tiennent pas trop debout), mais franchement, on se régale visuellement et la photo est superbe. Et puis ça fait plaisir de voir des têtes connues de K-Dramaland dans ce genre de film, on retrouve Choi Woo-sik (déjà dans Parasite) et Lee Je-hoon (Signal) :)

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Shadowz_Uff je suis fatiguée... En fait les Sono faut bien les espacer dans le temps parce que franchement c'est tendu et bien tordu, et puis c'est un peu long. Il faut dire que ce Cold Fish est assez indigeste et malaisant mais surtout très sombre. Un personnage principal totalement frustrant rencontre un coach de vie assez extrême (Denden parfaitement détestable, il est parfait) et sa femme dingo, pour enchainer des situations hallucinantes jusqu'à la catharsis. Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça, j'ai un peu de mal mais ça me fascine... Prochaine dose dans quelques temps ^^

"La vie n'est que douleur." Et bim !

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Un fleuve pictural aux torrents mystiques. Certaines scènes sont d'une force et d'une beauté intenses. Les acteurs sont habités et on voyage ainsi avec Andreï en ces temps troubles semés de violences et de rencontres, de foi et de doutes, de création et de silence... Deuxième Tarko, deuxième claque, et je sais qu'il en reste quelques-unes.

"Tout n'est que vanité et poussière."

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Un joli petit film, touchant sans trop en faire, contemplatif de petits moments entre les saisons de personnages attachants, avec en toile de fond l'homosexualité dans une société qui a du mal à l'accepter.

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Shadowz_Film de zombie à caractère écolo et anti-flics, quelle belle surprise ! Un petit film hispano-italien, qui se passe dans la campagne anglaise, avec des acteurs correctes, un assez bon scénario malgré quelques longueurs, et surtout une belle mise en scène. L'ambiance est plaisante dans ce bled british où une machine industrielle à ultra-sons rend les morts (et pas que) zinzins (et pas que), avec des flics qui s'acharnent sur les deux "hippies" de la grande ville. Malgré le titre un peu racoleur, c'est un bon petit film de morts-vivants bien fait, on ne va pas cracher dessus.

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Un petit film qui met du baume au cœur. Lars and the real girl est une fable qui aborde les thèmes de la solitude, de la solidarité, de l'ouverture à l'autre. Lars est différent (sous les traits d'un Ryan Gosling attendrissant derrière sa stache), mais grâce à son délire il arrivera à toucher toute une communauté qui n'aura d'autre choix que de le soutenir. Une belle surprise, et ça fait du bien au battant :)

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Shadowz_Bon tout le monde a droit à sa maison "hantée", le Venezuela aussi. Petit film qui ne révolutionne pas le genre mais le concept était prometteur et lorgne plus vers le fantastique. On regrettera pourtant le trop plein de jump-scare et de musique assez envahissante, et cette fin bien trop explicative. Un bon point pour la tentative de renouveau, et puis je suis sensible aux maisons horrifiques :)

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Bon j'ai une grosse envie de cramer de l'inquisiteur là !!! Film tchécoslovaque s'inspirant de vrais procès pour sorcellerie avec une inquisition que rien ne peut arrêter. Apparemment allégorie des parodies de procès communistes, ce film hérisse le poil et ne laisse pas indifférent tant la mécanique et l'exécution formelle sont soignées.

Encore une dose de f*** l'Humanité ^^

(merci à Fritz pour la découverte. J'ai pris mon temps car je savais que ça allait m'énerver :p)

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Splendeur apocalyptique herzogienne. Un conte noir comme le pétrole qui se déguise en eau pour nous tromper, et des flammes qui déchirent un ciel sombre de fumées. Petite pépite.

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Je propose le titre alternatif "Die in Vain" qui se rapproche plus du titre original que les titres internationaux. Sinon, beau film de Kobayashi-sensei, en quasi huis-clos sur l'île où se trouve la fameuse taverne qui abrite une belle brochette de bandits qui vont essayer de se racheter un karma. L'atmosphère est sombre et le noir et blanc est sublime. Et puis ce superbe final aux lueurs de lanternes qui dansent dans la nuit, et les yeux fous de Nakadai pour couronner le tout.

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Sous ces airs de comédie à la française, cet Énorme surprend un peu dans sa forme et dans son fond, notamment cette inversion des rôles de genres qui cassent les évidences, et une vision singulière sur le couple et la grossesse. Réappropriation oui, mais par la femme.
Difficile à classer mais pas dénué d'intérêt.

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lili en mode dimanche cucul.

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Shadowz_Petite pépite british, plus drame psychologique que film d'horreur comme le laisse penser le titre. Une belle représentation de la maladie mentale (schizophrénie) avec une atmosphère qui devient vite oppressante, dans un quasi huis-clos (le bon vieux manoir délabré) où on passe souvent de l'émoi à l'effroi, ou l'inverse. Bon, le scénario ne tient malheureusement pas la route jusqu'au bout, mais ce petit film méconnu dégage un truc.

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Ou: The Biggest Fool ^^ Quand O. Welles nous balade dans son parc d'attractions, au milieu de requins sanguinaires, de menthe religieuse, de miroirs éclatants et éclatés... alors que des chinois auraient pu faire le job tranquille ;)

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Entre beauté visuelle et lyrisme cinématographique, avec une superbe intro, des plans incroyables et un envoûtement total, à chaque segment. Soy Cuba e viva la libertà ! :)

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Je n'ai jamais autant eu la sensation de percer moi-même un trou avec mes petites mains afin de m'évader d'une prison. Le film et ses 5 personnages principaux nous font ressentir les tourments de l'enfermement, l'angoisse des rondes, la sueur qui coule et l'espoir de prendre la poudre d’escampette. On y est, on partage le taf et on ne voit plus le temps passer !