2021, pad en main

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Fini le 03/01

Variation toute ronron sur le thème du clown flippant, dont l'objectif premier sera ici de devenir copain avec tout le monde afin de pouvoir faire tout plein de câlins ! Dropsy parvient aussi habilement à créer des moments plus ou moins dérangeants, mais qui tranchent toujours radicalement avec l'ambiance qui règne ici. Un bon petit point'n click qui fait du bien par où il passe en somme !

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Fini le 07/01

D'avantage une extension de Dark Forces 2 Jedi Knight que vrai nouveau jeu, ce Mysteries of the Sith est donc extrêmement similaire à son ainé, même si quelques variations sont à noter. Déjà c'est tout con, mais l'utilisation du sabrolaser me parait moins brouillonne que précédemment. Je ne saurais dire si le gameplay a été peaufiné ou si je m'y suis simplement habitué, mais je dois dire que dans les faits, je me suis d'avantage marré sabre à la main dans cette extension. Les boss sont ainsi un peu plus sympathiques à combattre, même si pas incroyables, et leur nombre restreint aide à les rendre un poil plus impactants. Le jeu a par ailleurs quelques niveaux très sympathiques (je pense au niveau de la prison avec le rancor), et parvient habilement à se renouveler au niveau de ses environnements, faisant que les missions s'enchainent sans problème. Malheureusement le level design de ce Mysteries of the Sith accuse sérieusement son âge, à tel point qu'il me parait presque impossible de finir ce jeu à sa première run sans jeter un oeil sur la soluce à un moment ou un autre, il faut une concentration maximale et scruter méticuleusement chaque recoin de décor pour espérer avancer. C'était déjà un le cas dans Jedi Knight 1, mais je trouve qu'ici c'est encore pire. De même si le jeu original manquait déjà clairement d'ergonomie, rien n'a été amélioré sur ce point dans le stand alone. A noter aussi la disparition des cinématiques live, ce que je trouve dommage, j'aimais bien l'aspect totalement kitch des cinématiques dans Dark Forces 2. Quoi qu'il en soit ce Jedi Knight Mysteries of the Sith est malgré tout un bon jeu qui mérite d'être fait, et qui scénaristiquement fait bien la transition vers le saint Jedi Knight 2.

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Fini le 11/01

Pour être parfaitement honnête je suis relativement déçu de ce Luigi's Mansion 3, et pourtant je n'ai jamais joué au premier Luigi's Mansion (mais je compte bien y remédier un jour prochain). Disons que là où j'attendais une relecture grand-public des codes du Survival Horror, j'ai eu un plutôt chouette jeu d'aventure. Du coup je peux pas dire que c'était nul, mais c'était pas ce que j'en attendais. Ici l'exploration est assez faible à mon sens du à ce découpage en étages qui ne communiquent absolument pas entre eux. Généralement j'adore quand un jeu me propose de parcourir un unique lieu immense, de façon linéaire et dirigée (façon Prince of Persia) ou un peu plus ouverte et bien plus libre sur la durée (comme Resident Evil 1), mais ici je trouve que ça marche absolument pas. Enfin si, ça marche, mais à niveau micro, les niveaux sont généralement très attrayant visuellement, et regorgent de petits secrets à découvrir, mais de façon globale, c'est juste l'anarchie, aucune espèce d'uniformité, et cet immense hôtel n'est finalement guère plus qu'une succession de stages variés et enchanteurs certes, mais à mon sens totalement hors propos pour la plupart. Du coup c'est varié, pour sûr, et c'est également très beau, mais niveau construction et découpage de l'aventure, j'ai l'impression qu'on est d'avantage face à un jeu de plate-forme que d'un survival horror. A coté de ça, je trouve que si les environnements, les situations et les boss parviennent parfaitement à se renouveler, je trouve dommage que le gameplay lui n'évolue pas d'un iota une fois Gluigi obtenu. Alors le jeu nous distribue quelques miettes ça et là, mais c'est toujours de l'ordre de l'occurrence sans suite, comme ce moment où on nous file une scie circulaire (un exemple parmi d'autres), y avait tellement de possibilités, et au final son utilisation se limite à deux salles. A noter également quelques péripéties qui viennent purement rallonger la durée de vie de façon extrêmement maladroite (oui je pense à toi, saloperie de chaton !) Bon j'ai bien conscience que ce texte donne l'impression que j'ai absolument détesté le jeu, sauf que pas du tout, j'ai aimé ce Luigi's Mansion 3, je trouve que c'est un jeu d'aventure tout à fait charmant et hautement sympathique, à l'image de son protagoniste extrêmement attachant. J'ajouterai même que le jeu doit probablement être excellent en coop avec un potes, malheureusement je l'ai fait intégralement en solo.

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Fini le 20/01

Ce Hyrule Warriors a été mon tout premier Musou, parce que je dois bien dire que ce type de jeux ne me branchait absolument pas, je me disais que ça sentait bon le jeu hyper répétitif, où on a l'impression de constamment taper dans le vent. Quelle ne fut donc pas ma surprise en testant la démo, de me rendre compte que le feeling manette en main était en fait bon ! Du coup, le fan de Breath of the wild que je suis ne pouvait simplement pas ne pas y jouer, tant la promesse d'explorer la chute d'Hyrule et la resurrection du Fléau était alléchante (pour info le synopsis de ce Hyrule warriors est relativement similaire à celui que je fantasmait pour Breath of the wild 2). Au final, passé la déception quand à l'aspect non-canonique du jeu, je dois dire que je m'y suis totalement retrouvé dans ce Hyrule Warriors l'ère du fléau. Et je peux maintenant dire que je comprends l'attrait pour les Musou, et ce plaisir simple et régressif que de pourfendre du streum par paquets de douze. A cela s'ajoute un réel plaisir de revoir les prodiges de Breath of the Wild (définitivement, gros keur sur toi Mipha), et même cet univers de façon plus globale en fait. Et même si ce n'est pas forcément LE prequel qu'on nous avait vendu, l'aventure distille quand même sans vergogne des moments de pure epicness, ces même moments qui pouvaient éventuellement faire défaut à Breath of the Wild (même s'il y en avait quand même hein). Enfin, petit point sur la technique, c'est effectivement pas fameux, même si la patte graphique est très agréable et que la DA l'est tout autant, faut bien avouer que, comme tout le monde le sait, bah c'est pas hyper fluide, et y a parfois de grosses chutes de fps, voire même de résolution parait-il (mais là, je crois pas l'avoir déjà constaté, sauf peut être dans une situation spécifique, mais je suis pas bien sûr), mais personnellement ça ne m'a jamais empêché de jouer, contrairement à la caméra qui fait n'imp dans les endroits exigus. Par contre, c'est quand même un jeu fatiguant pour les yeux, ça, ça fait aucun doute.

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Re-fini le 28/01

Bon, bah je peux maintenant le dire, je n'avais clairement pas apprécié ce premier Silent Hill à sa juste valeur quand j'y avais joué en 2014. A l'époque je ne m'étais pas encore remis des coups de massue Silent Hill 2 et 3, et celui-ci m'a forcément paru moins intéressant, plus basique, à la limite du brouillon pour la suite. Tout était déjà là, mais rien qui ne puisse tenir la comparaison avec les épisodes ultérieurs. Bon, et si aujourd'hui, je le pense toujours un petit peu (mais dans une bieeeeeen moindre mesure), maintenant je vois que ce Silent Hill a clairement un réel intérêt, indépendamment de sa valeur archéologique pour tout amateur de survival horror qui se respecte. Je vais par contre pas m'étendre plus que ça sur le sujet, je garde ça en réserve pour un projet à venir. En tout cas, ça fait du bien par où ça passe !

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Re-fini le 20/02

Plutôt qu'un "bête" résumé à chaud, voici directement ma critique pour ceusses que ça intéresserai, parce que de toute façon je trouverai rien à dire de plus sur ce Silent Hill 2 dans ce commentaire, que ce que je dis déjà dans ce texte.
https://www.senscritique.com/jeuvideo/Silent_Hill_2/critique/38596578

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Fini le 14/03

Acheté sur un coup de tête total, uniquement pour me changer les idées, je dois dire que j'avais clairement pas de grandes attentes pour ce Immortals. Pour tout dire j'aurais probablement fait un autre choix si le let's play du bon gros Yoshiphile avait pas légèrement éveillé ma curiosité. Tout ça pour dire que j'ai globalement vraiment aimé Immortals Fenyx rising, pendant à peu près vingt heures, qui ont laissé place à une quinzaine d'heures pas bien folichonnes, malgré une poignées d'heures finales qui relevaient largement le niveau. Cependant, je dois dire que c'est pas une question que le jeu devient moins bien passé vingt heures, étant donné que l'on peut globalement le parcourir dans l'ordre qu'on veut (comme Breath of the Wild du coup). Plutôt une question de lassitude en fait je dirais, car les énigmes ne se renouvellent pas spécialement, de même pour les combats (même si une fois les capacités spéciales bien améliorées, ça devient vraiment sympa), sans parler de l'exploration. Celle-ci m'ayant bien d'avantage donné l'impression de faire les courses dans une grande surface, que de vraiment explorer et découvrir des trucs au gré de mes déambulations. Et pour revenir un peu plus longuement sur les énigmes, si elles peuvent être globalement sympathiques, on nous donne le choix très rapidement de débloquer des capacités qui viennent totalement casser ces pauvres énigmes. Pourquoi me faire chier à récupérer un bloc au bout d'un parcours d'obstacles afin de le poser sur un socle, alors que je peux directement créer une statue sur le dit socle, pour un résultat identique ? J'ai l'impression que c'est un jeu qui essaie de s'adapter à tout type de joueurs, pour tenter de frustrer personne, mais disons que du coup, j'ai eu du mal à trouver tout ça très palpitant sur la longueur. Après, je trouve que ce Immortals s'est un peu facilement fait rembarrer comme le vulgaire clone de BotW qu'il est, alors que, si bien sûr de nombreux éléments sont repris, je trouve la critique un peu injuste, car les deux jeux ne se jouent pas du tout de la même façon. Immortals est bien plus dynamique et pêchu qu'un Breath of the wild, mais du coup, je le trouve presque hyper actif.

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Fini le 22/03

J'attendais rien du tout de ce Mirror's Edge Catalyst, pour moi l'Open World était une mauvaise idée, et l'arbre de compétence n'avait rien à foutre là. Et là, quand je l'ai commencé, grosse surprise, je prenais mon pieds ! Je retrouvais ce gameplay si unique propre à Mirror's Edge, sans la frustration de ne pas comprendre ce que le jeu attendais de moi, puisque j'étais globalement libre de mes actions. Et là je me suis dit que finalement, cet open world avait un gros potentiel, d'autant plus qu'on nous donne rapidement une corde pour pouvoir nous balancer vers un toit éloigné façon Spider Man. Bon scénaristiquement c'était pas des plus palpitant, mais le kif était présent. Puis petit à petit, à force de faire des allers retours entre les différents points d'objectif, et parce que j'étais trop con pour voir la fonction "VOYAGE RAPIDE", je commençais à me dire que c'était bien gentil d'avoir un open world, mais si c'est pour devoir repasser en permanence par les trois même couloirs, c'était pas la peine. Et finalement ce monde ouvert s'est avéré une vraie coquille vide, car ça promettait des sensations exceptionnelles, qui m'auraient clairement poussé à viser le 100% (peu importe ce que je dois ramasser, tant que j'ai du fun à le ramasser), mais au final on tourne très vite en rond, il n'y a pas 36 parcours pour passer d'un quartier à l'autre, et finalement, si ça se renouvelle plutôt efficacement au niveau des environnements (du moins j'arrive à les distinguer sans trop de mal) le fait de devoir emprunter toujours les même chemins m'a vite lourdé. A coté de ça, c'est triste à dire, mais j'ai l'impression que le premier Mirror's Edge sur PS3 était plus détaillé niveau textures, là c'est assez tragique, non seulement y a quasi aucune texture à afficher, mais en plus, celles-ci ont pas le temps de charger sur PS4. Dans un jeu où le principe c'est de courir et bondir à toute vitesse en permanence, ça la fout sacrément mal, surtout quand le premier était si marquant au niveau de son esthétique. Grosse déception donc sur la partie technique, d'autant plus que le jeu est développé par Dice, avec leur moteur Frostbite, qui fait des merveilles sur les Battlefront made in EA. Bref, c'est dommage, mais après, ça reste le gameplay mirror's edge, donc c'est forcément bien kiffant manette en main, et il y a quelque très chouettes passages dans les missions principales qui renouvellent quelque peu l'intérêt

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03/04

Je le dis, j'ai été médisant avec ce Tomb Raider, ce n'est pas une bouse, et ma note de 3 n'était absolument pas justifiée. Ce reboot de Tomb Raider est en fait un jeu somme toute sympathique, mais qui m'a semblé plombé par sa volonté d'en faire trop pour que le joueur s'emmerde pas, et par ses promesses non tenues. Bon déjà, quand on vend un jeu sur la catchphrase "A survivor is born", ça me semble un peu la moindre des choses d'avoir un minimum d'éléments de survie. On peut chasser les animaux ? Super, ça sert littéralement à rien, et les seuls moments où on va devoir se soigner, c'est quand le jeu aura décidé de nous filer une upgrade. Bref coté survie, c'est même pas le minimum syndical, c'est juste le vide absolu. A la même époque The Last of Us allait déjà plus loin alors que c'est même pas un jeu de survie. Après pour cette question du trop, je pense à tous ces petits colectibles absolument inutiles, censé stimuler pour l'exploration, mais qui sont tellement insignifiants en temps que récompense que finalement ça donne même pas envie d'explorer, de se balader ou de résoudre des énigmes. Et en soi le jeu n'invite même pas particulièrement à faire cette démarche, avec son rythme effréné qui ne prend que trop rarement le temps de souffler. On peut le faire, et c'est assez sympa, mais c'est du pur annexe absolument pas gratifiant. En parallèle l'aventure propose une épopée extrêmement frénétique qui n'a pas peur de nous faire enchainer les gunfights interminables toutes les deux minutes, aboutissant sur une séquence de destruction toutes les trentes minutes (Lara croft, pire archéologue ever). C'est stylé et impressionnant une fois, deux fois, peut-être trois, mais la dixième ça commence à bien faire. C'est con, mais je trouve pour le coup les Uncharted bien mieux rythmés sur ce point (après ça mérite surement réexamen) et donc plus engageants. Aussi ce Tomb Raider se veut terriblement dramatico-tragique, surlignant d'autant plus la sacra-sainte dissonance ludo-narrative inhérente à ce genre de jeux. Le problème c'est qu'ici on essaie de nous faire éprouver de l'empathie pour une bande de personnages tous plus inintéressants les uns que les autres, Lara en tête. Cependant, je suis curieux d'essayer la suite, pour voir s'ils auront su se calmer sur les séquences de destruction, instaurer un meilleur rythme, et rendre les personnages un peu plus palpitants, parce que y a vraiment moyen de faire un truc vraiment très sympa même si pas révolutionnair

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Fini le 26/04

Bon, bah ils ont globalement réussi ! C'est de la pure redite par rapport au précédent Tomb Raider, mais ils se sont globalement calmé au niveau du rythme et des séquences de destruction, et si les persos sont toujours très peu intéressants, ils le sont tout de même un poil plus que par le passé. Aussi les quelques modifications apportées, comme le remaniement du craft, ou encore les "tombeaux" facultatifs (par ailleurs assez réussis) rendent le tout plus stimulant que dans l'épisode de 2013. Il y a également de belles séquences de grimpette ou d'énigme disséminées ça et là qui aèrent bien l'aventure et la rendent largement plus digeste. Après, dans sa globalité, ça m'a pas non plus bien passionné manette en main. C'est sympa, c'est très joli pour le coup, mais je doute d'en garder beaucoup de souvenirs dans deux mois.

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Fini le 30/04

Pas le God of War le plus prenant, mais pas non plus le moins palpitant, ce God of War Ascension est un très bon beat-em all, un peu plus audacieux que ce qu'on pourrait croire, avec sa réinvention du système de combat. A part ça il manque quelque peu d'ambition, malgré sa réalisation de haute volée (et quelques séquences marquantes), et souffre d'un manque de polish (bugs en tout genre) dommageable, mais pas rédhibitoire. Quand j'y avais joué il y a cinq ans, j'avais rajquit sur le fameux défi d'Archimède, mais j'imagine qu'une mise à jour à du réduire la difficulté de cette séquence, l'ayant first try lors de cette seconde run.

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Fini le 12/05

Malgré un niveau d'investissement proche du néant de mon coté, je dois dire que j'ai quand même pas passé un moment désagréable manette en main. Ca se laisse jouer sans conviction, mais sans réel déplaisir non plus. On est clairement face à un Prince of Persia Sands Awakens, qui va reprendre point par point la recette qui faisait le succès des Sables du temps à l'époque, sans jamais en retrouver la maitrise et le génie (oui j'ose le mot), mais qui propose deux trois petites nouveautés clairement bienvenues et qui renouvellent très efficacement les phases de plate-forme, qui du coup sont constamment assez stimulantes. Le problème c'est quand entre ces phases de parkour hautement sympathique, les gars se sont sentis obligés de mettre des combats totalement daubés du culs, qui semblent pompées sur du Dynasty warriors en version mou du genou. Bref du sympathique, et du nettement moins, mais y a malgré tout cette vibe héritée des opus PS2 qui me parle pas mal, et encore une fois des phases de plate-formes jamais bien hardues, mais toujours assez agréables.

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Fini le 21/05

Réel enfant illégitime de Silent Hill et de Castlevania, ce RE8 m'avait déjà acquis à sa cause dès son annonce, grâce à la DA qu'on nous montrait dès le premier trailer, et est instantanément devenu une de mes plus grosses attentes vidéoludiques. Résultat des courses, c'est exactement le jeu que j'étais venu chercher, et j'ai diablement kiffé l'expérience globale. Alors y a des trucs qui m'ont laissé relativement perplexe, notamment une zone et son boss qui juraient radicalement avec l'ambiance très "folklorique" du reste, en partant dans un délire à la Tetsuo, et clairement c'est la séquence qui m'a le moins plu de toute l'aventure. Mais à coté de ça ce RE8 est une proposition horrifique riche et généreuse quoiqu'un peu trop condensée rendant l'histoire certes très rythmée, mais sous-exploitant quelque peu certaines séquences. Aussi on pourrait reprocher une trop grande ressemblance dans la structure et le game design avec RE7, mais étant donné que j'avais déjà vraiment aimé RE7, et que celui là me parait clairement plus réussi sur tous les domaines, je serais bien mal avisé de bouder mon plaisir !

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Re fini le 03/07

J'avais déjà dit tout le bien que je pensais de ce Silent Hill 3 dans une précédente liste, j'en pense pas moins aujourd'hui, c'était un jeu de fou quand je l'ai découvert, c'est toujours un jeu de fou aujourd'hui. Le truc que je tiens à souligner c'est la façon dont une simple idée thématique peut renouveler totalement le regard qu'on porte sur un jeu. Clairement je regrette pas pour l'instant d'avoir commencé à refaire les Silent Hill et à réfléchir dessus car ça renouvelle et enrichit fortement l'expérience.

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Fini le 05/07

Après avoir arrêté Demon's Souls au bout de quinze heures de jeu, sans avoir terrassé le chevalier de la tour, et après avoir "fini" Bloodborne avec mon pote (et c'était essentiellement lui qui tenait la manette durant la majeure partie de notre périple), voilà que je viens à bout de Dark Souls, de moi même. Alors que j'avais une véritable aversion envers la formule From Software, surtout après mon rajquit de Demon's Souls, je comprends maintenant toute l'ampleur du bouzin. J'ai pris le jeu comme un pari, ça passe, ou ça casse... Eh bien c'est rentré comme dans du beurre ! Le truc qui fait que cette fois c'est passé et pas avant, je pense que c'est parce que maintenant, presque 10 ans après la sortie du Dark Souls original, j'avais eu le temps de savoir à quoi m'attendre, et comment appréhender l'affaire. Et là où je m'attendais à rager un nombre incalculable de fois, dans le cas hautement improbable où je parviendrai à en venir à bout, eh bah forcé de constater que le jeu ne m'a que rarement fait criser en fait. Et ces crises sont d'ailleurs majoritairement survenues pendant la première moitié de l'aventure, notamment via des boss. Par ailleurs celui qui m'a finalement donné le plus de difficulté, je me demande si ce serait pas les gargouilles du début de l'aventure. Alors peut-être que la difficulté est étrangement calibrée, mais étant donné que From Software a pensé toute son expérience sur l'expérimentation et l'apprentissage, il ne parait finalement pas si illogique que ça que les boss soient bien plus ardus quand on ne sait pas jouer, que quand on a déjà quarante heures au compteur. En tout cas j'ai été happé par ce premier Dark Souls, et j'ai maintenant très envie de découvrir la suite, et de me relancer dans Demon's Souls et Bloodborne. Maintenant que j'ai une idée un peu plus précise de l'expérience proposée.

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Fini le 06/08

Même si j'ai préféré à ce Mario Sunshine les épisodes Galaxy et Odyssey, il n'a clairement pas à rougir face aux autres épisodes. Parce que ce Mario Sunshine, bien qu'imparfait, est vraiment excellent ! De par son set-up qui sent bon les vacances, et l'arrivée de la buse qui renouvelle généreusement le gameplay, le jeu se parcourt vraiment avec plaisir et entrain, et finalement la difficulté du jeu, pour laquelle on m'avait fait tout un foin, ne m'a clairement pas freiné bien longtemps. Il y a des niveaux plus retors que d'autres, mais ça reste largement raisonnable en soi. Après je pense que cette difficulté vient surtout de la capacité de tout un chacun à gérer une caméra clairement récalcitrante, tant celle-ci représente le véritable boss final du jeu. Et personnellement, elle n'a jamais vraiment cessé de me coller des bâtons dans les roues, jusqu'à la toute fin. M'enfin, si ce problème ternit bien l'expérience de jeu, le plaisir reste malgré tout présent, d'autant que je pense bien que ce que j'avais kiffé dans Odyssey et Galaxy, est déjà présent d'une façon ou d'une autre dans ce Sunshine, il y manquait simplement un petit coup de polish. Bref, très loin d'être un canard boiteux, Mario Sunshine est un excellent jeu, et un incontournable de la gamecube (et donc, par extension, un incontournable tout court)

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Désinstallé le 16/08

Je crois savoir que j'étais pas bien loin de la fin quand je l'ai désinstallé, mais vraiment y a rien à faire, je m'emmerde fermement devant ce Horizon Zero Dawn. Très sincèrement je n'en tire aucune forme de satisfaction manette en main, alors que pourtant il me bottait bien ce jeu à la base ! Les premières présentations de gameplay m'avaient vraiment plu, et puis rien que le fait d'avoir des dino-robots géants ça pouvait être qu'énorme ! Oui, mais en fait non. Parce que le monde ouvert inutile et inintéressant à parcourir (même si pas dénué d'une certaine allure esthétique), parce que la BO que j'ai trouvé inexistante, parce que l'histoire, si elle commence vraiment très bien, n'arrive pas à être assez intriguante pour garder éveillé, ni à être assez mystérieuse ou énigmatique pour maintenir un niveau d'implication constant. Du coup tant pis pour ce horizon Zero Dawn, et c'est non merci pour Forbidden West, à moins que Guerilla revoient sérieusement leur copie, ce dont je doute sérieusement.

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Fini le 23/08

Un petit puzzle game sans prétention mais tout à fait charmant, de par son esthétique, son atmosphère plaisante, et son aspect Escape Game assumé.

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Fait le 29/08

Un parfait jeu feel good, pas prise de tête et beaucoup trop ronron dans son esthétique et dans son ton. Alors oui c'est court, mais bon, c'est un peu le concept d'une ballade, et en plus c'est annoncé d'entrée de jeu ! Et je pense que je le relancerai à l'occasion parce que vraiment, on s'y sent bien. Pour un peu on pourrait dire que c'est un jeu où il fait bon vivre !

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Fini le 17/10

Sah quel plaisir, comme dirait l'autre ! Comme pour Dark Souls ou Hollow Knight que j'ai déjà abordé précédemment, ce Metroid Dread c'est vraiment tout ce que j'aime, on est livré à nous même sur une planète mystérieuse et hostile qu'il va falloir dompter grâce à notre bras canon, et le frisson de l'exploration et de la découverte ne m'a jamais véritablement quitté durant les dix heures qu'il m'a fallu pour en venir à bout. Je suis quasi sûr d'avoir écrit peu ou prou la même chose sur Hollow Knight, mais en même temps mon ressenti est sensiblement similaire, bien que les deux expériences soient sensiblement différentes en terme de philosophie de jeu. C'était d'ailleurs ma seule réelle appréhension quand à ce Metroid Dread en fin de compte, est-ce qu'un nouveau Metroid aurait encore sa place en 2021, surtout avec un épisode en gestation depuis quinze ans, maintes fois rebooté et abandonné. Et la réponse est un grand oui ! Mercury Steam est clairement à son affaire et parvient à renouveler intelligemment la façon de jouer à Metroid, et bon sang, qu'est-ce que ça fait plaisir ! Alors tout n'est pas parfait, mais n'empêche, quel panard !

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Joué une bonne soixantaine d'heures

Comme pour le World, quel plaisir que d'aller poutrer du gros monstre en solo ou à plusieurs. Y a vraiment de pures sensations qui se dégagent de tout ça manette en main, le bestiaire m'a vraiment plu, avec quelques créatures vraiment énormissimes (mizutsune, c'est toi que je regarde), et les nouveautés de gameplay changent vraiment la donne, à tel point que ça va être compliqué de revenir sur le World maintenant. A la limite je regretterai juste le léger nombre de map, j'en aurais bien aimé une ou deux en plus, m'enfin, c'est pas rédhibitoire non plus!

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Joué une trentaine d'heures

Cas curieux que ce Pokémon Perle Scintillante, car trop old school pour les joueurs qui ont apprécié les derniers épisodes, et trop assisté pour les vieux de la vieille. De mon coté, j'ai un peu l'impression de revoir le remake de Link's Awakening, en moins réussi malgré tout. Notamment parce que ce pokémon est vraiment très très très moche et là je parle pas de la DA globale, mais vraiment de la technique pure. Aussi, et ça c'est purement personnel, mais après Let's Go Evoli et Epée, c'est vraiment agaçant de revenir aux rencontres aléatoires, à tel point que j'ai à moitié arrêté ma run parce que j'en avais marre d'être harcelé par des tentacruels. A part ça, bah c'est Pokémon Perle quoi, et bon, c'est bien quand même Pokémon Perle !

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Fait ptet les deux premières missions

Passé outre l'instant Wow, forcé de constater que les shmups, qui plus est en vue FPS, et sans l'apport de la VR, c'est pas forcément pour moi, tant pis donc

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Joué quelques heures

Malgré son univers esthétique vraiment très agréable à l'oeil, et son gameplay parkour qui reste dans la droite continuation de la trilogie des sables du temps, le jeu souffre de sa structure en monde "ouvert" (plutôt à embranchement d'ailleurs) qui amène à reparcourir en boucle les mêmes couloirs pour réaffronter les mêmes quatre boss. Aussi le jeu rame sur PS3...

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Joué une petite trentaine d'heures

Malgré le caractère éminemment casse gueule de son concept, ce Ring Fit Adventure fonctionne en fait véritablement sur sa proposition. Non seulement il est très attrayant de par son univers visuel coloré et toutes ses composantes RPG, mais il accomplit également pas mal son objectif principal que de nous faire bouger. J'ai pas souvenir d'une seule session que j'ai pas fini en sueur de la tête aux pieds (mais c'est ptet juste parce que je suis un gros fragile cela dit)

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Trop peu joué pour donner vraiment un premier avis