2022: Approfondissement

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Sous l'étendard du "cinéma de l'extrême", Arte propose quelques films de ce réalisateur allemand des années 70. Un film sur un vagabond, sur sa vie d'errance, de peine et d'amour.

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L'oeil coupé et les statuts des amants dans le sable.

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Retour au pays natal pour Jacques Nolot qui accompagne sa mère dans ses derniers jours et se confronte à ses proches. C'est pas mal, cependant moins brillant qu'un Pialat avec La gueule ouverte par exemple

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Deux soeurs s'entraident au cours d'une existence heurtée par plusieurs drames. François Damien et Sara Forestier jouent avec justesse. Très bon moment.

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Pas les mots.

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L'énigme reste entière

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Pas évident. D'un côté le film balaie des sujets intéressants: rédemption, politique américaine vis-à-vis des prisons et de la torture. De l'autre, je me suis laissé trop naïvement happé par les casinos et les parties de poker, ce qui a eu pour conséquence de couper le souffle des thèmes évoqués. Le film est toutefois admirablement bien réalisé.

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Hypnotisant. Un retour à la nature pour y découvrir ses merveilles et ses paysages. Un monde silencieux, secret et source d'inspiration.

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Vu dans la nuit, me suis un peu endormi devant mais il y a des moments rigolos

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"Peut-être étais-je quelque peu sentimental ou enclin à une mélancolique nostalgie". Si le film aborde et interroge les moeurs (patriarcat, rôle de la femme, pensée conservatrice tournée en dérision, ...) de la société suédoise, par extension occidentale, il se penche aussi sur l'examen rétrospectif d'un père/éminent docteur qui retourne en enfance pour calmer son anxiété. Les fraises sauvages sont sa madeleine de Proust. Il revit instantanément ses souvenirs, marqués par un brillant réalisme. De telle sorte que ces rêves, par extension des discours de sa bru, lui prodiguent un message sur sa réalité, son existence: il est aux yeux des autres un personnage sans âme, glacial, égoïste, dédaigneux et méprisant. Un voyage dans le passé, un retour aux sources qui lui dévoile la vérité. Des dialogues soignés, poétiques et justes. Je ne peux que recommander

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Déjà en 1975 au cinéma, on parlait de réinventer la femme. Ce court-métrage de moins de 10min est une belle piqure de rappel, voire un schéma vaccinal complet servant à interpeller, à nouveau, les consciences : ne plus cantonner les femmes aux places qu'elles doivent traditionnellement occuper.

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Allusions aux pogroms et à l'enfermement des populations opérées par les régimes totalitaires.

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En hommage à Sidney Poitier, décédé ce 6 janvier 2022. Au début j'avais peur du Qu'est ce qu'on a fait au bon dieu? avant l'heure. Mais c'est plutôt fin, les dialogues étant bien tournés, marquants, pas atteints d'extrême lourdeur. L'ensemble se tient. A voir

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J'ai visionné celui de David Lynch. J'approuve le principe créateur d'utiliser du vieux matériel, en l'occurence le cinématographe des frères Lumière, pour réaliser un court-métrage sous contraintes (3 plans maximums, pas de lumière artificielle, ...), comme au bon vieux temps. Le film dure 1 minute et on sent la patte Twin Peaks (le meurtre, les battements d'ailes de hibou en, le feu) bien présente.

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Le David sort son bateau et fait un tour sur un lac. L'eau est magnétisante, la bande sonore est lourde et stressante.

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Ahhh ce bruit d'insecte en panoramique à de quoi en dégoûter plus d'un! (Port du casque obligatoire). Dans Bug Crawls, Lynch joue plus avec l'ouïe que la vue pour se jouer encore une fois de nous. Plus j'avance dans sa filmo, plus je suis fasciné par la façon dont il orchestre et façonne le design sonore.

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David Lynch se met en scène avec son fils pendant 10min dans un jardin et font la rencontre d'un géant qui veut boire du lait.

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Au seuil de la vie // Madres Paralelas - Tsounami 5

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+1 pour la revisualisation : c'est quand même du pur cinéma, aussi enfantin qu'extraordinaire. Retour aux sources

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C'est excellent. (dommage pour le top 2021...)

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Alors... c'est définitivement une oeuvre à contempler sur grand écran. Sur mon ordi et avec mon casque, j'ai senti que ça gâchait un peu l'immersion dans ce film noir et déjanté. Même si elle est élevée, ma note est anecdotique compte tenu de ce qui se passe à l'écran. J'aimerais le revoir dans de meilleures conditions, en salle notamment, pour avoir le coeur net : le considérer comme chef-d'oeuvre absolu.

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Un court-métrage hongrois dans lequel un vaisseau épie une planète peuplée par des haricots. Cette planète n'est autre que la Terre. L'utilisation du légume tourne au ridicule certaines situations (la police qui balance de l'eau sur les manifestants ou encore le spectacle sportif). Ils m'ont donné la pêche ces haricots!

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franchement belle claque avec l'ami Pirawatt