2022, les films vus, sur grand écran

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Une très bonne mise en scène et de très bon acteurs, mais alors ça à pris un sacrè coup de vieux en terme de mœurs et de relations de couple, c'en est parfois malaisant.

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Un très bon film sur la capacité du système capitaliste à broyer les êtres humains qu'il exploite et donc de la nécessité à s'organiser et lutter contre. All capitalists are bastards

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Un ofni assez plaisant.

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Au fur est à mesure du visionnage des éléments me revenaient en tête, toujours autant peur devant, mais je qualifierai presque le film plus d'un drame que d'un film d'épouvante.

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Le film est bien écrit et mis en scène, mais bon tout ce qui est torture j'ai toujours du mal…

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J'avais oublié que je l'avais vu y'a deux/trois ans… du coup ba j'anticipais un peu tout au fur et à mesure. Ça reste un bon film néanmoins.

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Un quatrième mur brisé d'entré, une histoire loufoque, bien mis en scène, avec des choix de réalisation tranchés et une chouette musique, du Quentin Dupieux de qualité, notamment la dernière séquence style cinéma muet. Néanmoins le sujet sur la quette de beauté était déjà abordé dans Steak, et l'arc de Benoît Magimel paraît un peu sous développé.

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Y'a une chaîne Youtube parlant de cinéma qui s'intitule "Every frame is a painting". Ce film c'est un peu "every frame is a photo". Agnès Varda, photographe, forcément. Mais là elles sont tellement belles ces photos, elles s'enchaînent, on se demande si ça va durer, et ça dure, et j'étais bouche bée à chaque fois, elles sont toutes plus belles les unes que les autres, des trois personnes âgées dans un village, au mariage de Suzanne devant la mairie, aux premiers doutes de Pomme en Iran, à la discussion entre Pomme et Suzanne durant la grossesse de la première, au passage du facteur, aux contre champs de spectateur de rues, etc. Elles sont composé avec soin et goût, accord de couleur, cadre, disposition des éléments et/ou personnages… C'est ainsi qu'au delà même du propos, de l'histoire, par cette accumulation de beauté photographique, j'en ai pleuré. Ça ne m'étais jamais arrivé, ni au ciné, ni dans un musé, une galerie, un lieu remarquable, ni ailleurs.

Sinon le film est intéressant, émouvant parfois, drôle à d'autres, bien raconté, peut-être un poil de longueur mais difficile d'identifier ce qui aurait pu être retiré, et le rythme reste cohérent. Rétrospectivement c'est un instantané des 60/70s et de la place du cheminement féministe chez les premières concernée dans leur vie quotidienne, c'est presque documentaire ou historique par certains aspect. Forcément les questions ont un peu évoluées et peuvent faire "féminisme à maman", mais d'autres non et ça reste d'actualité.

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Un très bon film, avec acteurices excellent·e·s, mention spéciale pour Jonah Hill que je ne connaissais pas (à priori), je ne citerai même pas Léo, ça fait longtemps (avant ce film) qu'on sait qu'il est dans la catégorie des légendes… rythmé parfaitement, très bien réalisé, avec des punchlines toutes plus abjectes et bien écrites les unes que les autres, etc.
Et clairement il faut cinq minutes pour comprendre que ces gens n'ont aucune morale (en plus de le savoir déjà si on est un minimum attentif au monde qui nous entoure) lors de son premier déjeuner avec son mentor, et à la fin on comprend que le système ne s'autorégule pas, c'est un faux-semblant (et là aussi on le sait normalement déjà si on s'intéresse au monde qui nous entoure), révélant donc tout le cynisme de notre système. Donc au delà de ces messages qui pourraient être donnés en 1h20, le film par sa durée, ce qu'il montre à voir pendant aussi longtemps, par des acteurices aussi talentueux·ses, un réalisateur virtuose, ses choix de narration, etc, incarne l'étrange fascination mêlée de dégout sur ce monde de fric, drogue et sexe répugnant.
J'ai passé un très bon moment ne regrette pas d'être allé le voir, mais en vrai, j'aurais pu voir deux autres film bien plus inspirant dans le même temps, dans le sens où je n'ai pas découvert grand choses ni voyagé.

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Un remake quasi plan par plan du génialissime "Ne Coupez Pas", c'est donc feignant, et pourtant Hazanavicius semble vouloir dénoncer les remake feignants… en réussissant moins bien ce que faisait l'original (prendre des acteurs connus diminue l'effet de surprise des actes deux et trois, pourtant au centre du film), et en ajoutant d'autres incohérences, bien plus visibles celles-ci.
Seules les trois quatre courtes scènes avec Jean-Pascal Zadi sont fraîches et drôles, mais c'est très mince.

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Thriller assez intéressant et original puisque l’intrigue se fait autour de dauphins. Pour autant assez daté, j’ai vite été marqué par la captivité et l’isolement de ses congénères dont est l’objet Alpha, me bloquant donc dans le développement "père/fils" de sa relation avec Pa.

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Très beau film, magnifiquement interprété par Tilda Swinton et Idris Elba. Toutefois j’ai trouvé que le film perdai en rythme une fois achevé le récit du parcours du Djinn.

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À priori on pourrait se dire en sortant que le film ne raconte pas grand chose, ce qui n’est pas faux, mais il montre pas mal à voir de la vie d’un adolescent néerlandais de quartier populaire début 2k20s. Touchant.

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C’est toujours un plaisir de regarder des films fait par des personnes qui connaissent leur médium. Ici on a droit a une belle mise en scène, de très beaux plans, un récit pas linéaire mais pas trop complexe pour autant qui prend le temps et introduit des personnages petit à petit. Une histoire pas si originale tout compte fait dans les grandes lignes, mais qui l’est par les petites, les détails. J’ai beaucoup aimé l’équilibre de caractères entre les différents personnages (très bien interprétés, particulièrement Keke Palmer), la manière aussi dont le film parle de cinéma par ci par là.

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Photographie et réal au top, très bon·nes acteurices, superbes costumes, un très bon moment.

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Un film très agréable avec une pointe d’humour et de tendresse, Blanche Gardin et Laurent Lafitte très bons.

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Documentaire très intéressant sur la place des femmes dans le syndicalisme dans les 70s loin des centres métropolitains

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Film intéressant tourné sur les lieux des évènements, sur un pan de l’histoire de la Sicile que j’ignorais totalement. Petite baisse de rythme et d’intérêt lors de la partie au procès.

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De superbes décors, une bonne mise en scène, un très bon rythme, mais le film à quand même vieilli dans certains codes cinématographiques, comme les rires aux éclats, l’amourette réciproque après 5 minutes de discussion… Quelques plans emblématiques, comme celle avec les ombres projetées, mais aussi quelques égarement "je viens vous prévenir, mais que puis-je faire pour vous aider ? […] alors écoutez, j’ai un plan…»