2024 : odyssée au cœur du septième art

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10+

Idée particulièrement alléchante que de mixer le tennis sur fond de musique techno, avec au cœur du récit un triangle amoureux où les intérêts sont départagés au cours d’un match. Les langues et les corps se délient au sein d’un film punchy, maîtrisé à la perfection, scotchant le spectateur à son siège avec un travail miraculeux sur le son où les balles sifflent comme des fusées et où la musique dynamise et intensifie le récit jusqu’à en avoir le souffle coupé. Une telle maîtrise de mise en scène est miraculeuse, rendant organique et sexuel le tennis, tel un orgasme cinématographique. Le meilleur film de l’année.

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10+

Au-delà de l’exceptionnel, au même niveau que le premier qui était déjà mythique. Cette deuxième partie est légendaire. Les frissons devant chaque scène, un sens du spectaculaire inouï, chaque scène a un immense impact sur le spectateur, vibrant, époustouflante mise en scène de maître. Impossible de dire un mot à la sortie de la salle et pourtant tant à dire, sur les enjeux politiques, sur l’évolution des personnages, le côté intimiste parfaitement intégré aux côtés de scènes de grand spectacle. Une vision unique de ce qu’est un film émerveillant, unique, poignant, éblouissant, en un mot : immense.

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10+

D’une poésie et d’une beauté à couper le souffle. Une ambiance à tendre le plus tendu des strings. Personnages exceptionnels. Un film anti-spectaculaire sur la chute de l'Amérique. C’est hallucinant de maîtrise, quelle vision d’auteur, Alex Garland ne cesse d'impressionner.

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9,5+

Obsédant, traumatisant, un film d'une efficacité diabolique qui flirte avec ce qu'on pourrait qualifier de chef d'œuvre. Fascinant, il l'est plus d'une fois, il cloue le spectateur à son siège, sans artifice de mise en scène, juste ce qu'il faut pour provoquer des émotions intenses, le tout avec une actrice impassible, insaisissable, qui revêt la poker face comme rarement on l'a vu. Immense film, potentiellement le meilleur de l'année.

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9,5+

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9,5+

2024 s’ouvre avec un de ses meilleurs films et potentiellement inégalable. Entre séquences à couper le souffle et de très fortes émotions véhiculées grâce à une mise en scène dantesque, le film navigue entre le film de survie et le film d’aventures avec un rythme et une émotion inépuisable. Certaines scènes laisseront à coup sûr les spectateurs vous laissera bouche-bée. Un très grand film, suite logique dans la carrière de Bayona.

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9,5+

Découvert au dernier festival de Cannes où personne n'a su savourer le plaisir infini de ce long-métrage brillant, une habitude de la part du réalisateur américain, qui n'a de cesse d'envouter ses spectateurs, baignant dans une lumière douce et pourtant au contact de personnages se tirant le chignon façon guerre froide. Le film provoque la gêne, l'inconfort, souvent l'interrogation et le rire, le tout sur une musique exceptionnelle et des interprétations toutes aussi géniales, Natalie Portman en tête.

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9,5+

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9,5+

Injustement sous-estimé, un long-métrage absolument brillant sur l'emprise. Au détour d'une mise en scène de haute volée et d'une production design délirant de beauté, «Priscilla» magnifie ses comédiens et nous envoûte de sa douceur éclatante. Grand film.

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8,5+

Alicia Vikander est flamboyante au sein de ce long-métrage qui se distingue par le soin apporté à ses décors plus somptueux les uns que les autres. C'est un film qui parle de la condition de la femme, muselée, qui va tenter de s'affranchir du rôle qui lui était destiné. La palette d'émotions de Vikander la mènera droit vers une récompense pour son talent.

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8,5+

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8+

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